Nicole Shanahan, ex-femme du cofondateur de Google Sergey Brin et ancienne colistière de RFK Jr, dénonce publiquement la mafia mondialiste de Davos et de la Silicon Valley

 https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2025/12/01/nicole-shanahan-ex-femme-du-cofondateur-de-

Publié le 1 décembre 2025 par Olivier Demeulenaere

Il faut naturellement prendre ces déclarations avec les précautions d’usage puisqu’elles émanent d’une femme qui affiche son soutien à Donald Trump, s’est convertie au judaïsme il y a dix ans et se dit aujourd’hui « a Jew for Jesus ». Néanmoins elles ne manquent pas d’intérêt, d’autant qu’elles rejoignent les propos de Desiree Fixler, une autre initiée du WEF et du « Great Reset ». OD

Quand une personne qui était autrefois la reine de la philanthropie progressiste de l’élite déclare que tout le système a fait faillite – et qu’il a peut-être été détourné à des fins bien plus sombres –, le monde doit l’entendre.

Comme l’écrit « Camus » dans un article publié sur X, Nicole Shanahan, ex-épouse du cofondateur de Google Sergey Brin, ancienne colistière de Robert F. Kennedy Jr. et signataire personnelle de chèques philanthropiques à neuf chiffres, vient de dénoncer publiquement la manière dont les épouses de « la mafia de la tech » de la Silicon Valley ont été utilisées.

« Je ne pense pas que beaucoup d’épouses de la mafia de la tech se rendent compte… qu’elles ont été utilisées pour préparer le terrain de ce que Klaus Schwab appelle la Grande Réinitialisation. Leur argent, en particulier, a été réquisitionné par le biais d’un réseau composé de conseillers d’ONG, de Hollywood, de Davos et de leurs propres entreprises.

Un tout petit groupe de personnes… complètement aveugles à la manière dont leur travail de fond est utilisé pour permettre la mise en œuvre de ces politiques de Grande Réinitialisation ».

Puis elle enfonce le couteau dans la plaie :

« Ces femmes trouvent leur raison d’être dans le travail philanthropique. Je croyais sincèrement aider les communautés noires et autochtones à s’élever. Mais aujourd’hui, les problèmes ont empiré. La criminalité s’est aggravée. La santé mentale s’est détériorée. Tout le modèle est défaillant.

Au bout du compte, elles finissent toujours par dire : « Mais le changement climatique… »
Justice sociale + changement climatique : ça convainc à 100% les femmes progressistes ».

Elle affirme même que beaucoup pensent désormais que les plus grands « problèmes liés au changement climatique » sont en réalité des problèmes de géo-ingénierie.

Ce n’est pas un podcast quelconque, mon pote.

C’est une femme qui a vécu dans des manoirs, siégé à des conseils d’administration, pris des jets privés pour se rendre à des fêtes à Davos… et qui dit aujourd’hui :

« Nous étions des idiotes utiles ».

Desiree Fixler a confirmé :

« Le WEF a vendu le « Great Reset » comme un moyen de « reconstruire en mieux » : action climatique, ESG, inclusion et PPP (partenariats public-privé).

Dans la pratique, cela a transféré le pouvoir des électeurs vers les ONG, les élites des entreprises et les technocrates non élus.

La politique a été rebaptisée « science » afin de faire taire le débat.

Les marchés ont été faussés par les scores ESG, les taxes carbone et les réglementations bureaucratiques.

Les entreprises ont été transformées en agents d’exécution de l’idéologie.

Comme le révèle Nicole Shanahan, les communautés n’ont pas été valorisées : la richesse et le pouvoir ont été propulsés vers le haut.

Nous avons obtenu des factures d’énergie plus élevées, une monnaie dépréciée, une crise de l’accessibilité financière, moins d’emplois et un contrôle insidieux sur notre façon de vivre et de nous exprimer ».

X/Twitter et ZeroHedge, le 30 novembre 2025

Traduction Olivier Demeulenaere