La France prisonnière d'une Europe fantasmée ? Réponse au storytelling d'Attali par un réalisme souverainiste
La France prisonnière d'une Europe fantasmée ?Résumé pour les pressés : Attali, vieux briscard de la technocratie, balance un tweet qui ressemble à une fatalité ce 31 octobre : « Aujourd'hui, c'est la France qui ne peut plus se passer de l'Europe, et non l'inverse. » En pleine pré-campagne 2027, les souverainistes contre-attaquent avec un sarcasme bien dosé : regardez la Suisse, la Norvège ou le Japon, ces « seuls » qui raflent la puissance pendant qu'on végète. La pirouette d’Attali? « La réponse est dans la question. » Pathétique esquive d'un récit obsolète.
Les réponses explosent sur X dont 80 % sont critiques et des threads viraux clament que sans la France, l'UE n'est qu'une machine technocratique vidée de sens. Les statistiques sont implacables : 53 ans d'europhilie, et voilà notre chômage à 10 %, dette à 116 % du PIB, industrie effondrée à 9,4 %. L'UE n'est plus un rempart, c'est un sarcophage : 100 000 pages de normes par an, 87 milliards d'euros de charges sur nos PME, 80 % de notre droit dicté par Bruxelles. Et la covid a montré les chaînes d'approvisionnement et de décisions brisées. Tout démontre la fragilité d'une intégration qui noie plutôt que d’apprendre à nager ou à respecter les droits fondamentaux.
Pire : cette « espace de droit et de liberté » sans terre unifiée, un mirage supranational sans frontières cohérentes. Schengen ? 1,1 million d'asiles irréguliers en 2024, refus arbitraires de visas à des militants (Amnesty octobre 2025), extraditions express sans recours. Un vide ontologique qui légitime les « viol soft » : un RGPD laxiste et à application à géométrie variable, une PAC ruineuse, une armée européenne qui capote parce que, comme le dit le Dr Frot – saint-cyrien du Kosovo –, « dans le feu, seule compte la réalité nationale ». Le passeport français est-il souillé d'étoiles bruxelloises en une profanation symbolique, imposée sans nous demander.
Les faits cognent : Suisse n°1 en compétitivité (FMI 2025), Norvège à 4e PIB/habitant, nous ? Contributeurs nets, perdant 4-6 % de PIB en conformité. Sondages ? 44 % d'image positive de l'UE, 60 % pour une « Europe des Nations », 48 % prêts au Frexit si elle nous lâche. Attali essentialise un monolithe fluide (de 6 à 27 membres, Ukraine en vue) qui nous dilue : de 17 % des voix en 1957 à 8 % aujourd'hui.
Bref, la souveraineté n'est pas un suicide, c'est une renaissance et un respect des uns et des autres. Alors n’est-il point temps de dire stop au mirage technocratique et vive les bilatéralismes agiles et le glocal ancré dans notre sol ? À 18 mois de 2027, chers lecteurs de France-Soir, reprenons notre destin et la Défense de la France : pas de pirouettes, que du réel. La France respire libre, ou elle crève enchaînée. Votre voix décide.
*** Edito complet ***
Dans un tweet du 31 octobre 2025, Jacques Attali, figure tutélaire de l'élite technocratique française – conseiller des présidents de Mitterrand à Sarkozy –, assène une sentence lapidaire : « Aujourd’hui, c’est la France qui ne peut plus se passer de l’Europe, et non l’inverse. » Ce post, qui relaie un article éponyme sur son site personnel, surgit en pleine pré-campagne pour la présidentielle de 2027, alors que les voix souverainistes s'amplifient face à un establishment chahuté. Philippe Murer contre-attaque avec sarcasme, énumérant les succès de nations « seules » comme la Suisse, la Norvège ou le Japon, qui « acquièrent de la puissance » là où la France végète. Attali, fidèle à son art de l'esquive, rétorque d'une pirouette : « La réponse est dans la question, pour qui sait la lire. Ou la poser. 😉 »
Cet échange, aussi bref que révélateur, expose une fracture béante : d'un côté, le storytelling alarmiste d'Attali, qui essentialise l'UE comme un rempart vital contre les « géants » mondiaux ; de l'autre, un réalisme souverainiste qui démasque ses approximations – évolution ignorée de l'Union, confusion entre règles protectrices et règlements asphyxiants, complexité administrative mortifère. Pour les lecteurs de France-Soir, rompus à l'exercice de décortiquer les illusions du pouvoir, cet article démonte ces biais avec des arguments factuels. Nous montrerons que la France n'est pas vouée à l'effacement sans l'UE, mais piégée par sa dérive technocratique. Nous aborderons aussi la question symbolique de la nationalité et du drapeau, en nous inspirant du réquisitoire percutant du Dr Olivier Frot, saint-cyrien et docteur en droit. Enfin, nous comblerons un vide criant : l'UE, censée incarner un « espace de droit et de liberté », n'est qu'une abstraction sans territoire terrestre unifié, un carcan technocratique qui facilite les violations des droits fondamentaux.
L'écho massif : X en feu contre Attali
L'échange a enflammé X en quelques heures : plus de 1 200 réponses au post d'Attali, dont 80 % critiques, générant 307 likes mais 81 post moqueurs et 1 200 réponses. Des threads viraux inversent les rôles : « Ce n’est pas la France qui dépend de l’Europe : c’est l’Union européenne qui, sans la France, perdrait son sens, sa légitimité et sa voix, » assène @Appel_au_peuple, dénonçant une « machine technocratique » qui dilue les nations. @CitanandaShanti tape sur les stats : « 53 ans que vous vantez l'Europe, et 53 ans que la France coule : chômage de 2% à 10%, dette de 20% à 116% du PIB, industrie de 22% à 9,4%. » @Kaptain_Europe ironise : « C'est l'UE qui a besoin de l'argent de la France pour survivre. » Ces voix, amplifiées par des appels au Frexit, montrent que le réalisme souverainiste n'est pas marginal – c'est presque le pouls de la nation en ligne.
Les approximations d'Attali : une Europe figée dans un récit obsolète et déconnecté de la réalité
Jacques Attali dépeint l'UE comme un monolithe indispensable : sans elle, la France verrait sa notation financière s'effondrer, son modèle social (dette à 116 % du PIB) s'évaporer, et ses entreprises se muer en « nains » face aux États-Unis ou à la Chine. Ce cataclysme annoncé repose sur une vision essentialiste, qui gomme l'évolution chaotique de l'Europe depuis les années 1940. Née des cendres de la Seconde Guerre mondiale avec la Déclaration Schuman (1950) – un outil pragmatique pour réconcilier France et Allemagne via le charbon et l'acier –, l'UE, alors Communauté économique européenne (CEE) à six membres, visait une coopération économique limitée, ancrée dans la paix et la reconstruction. Les élargissements successifs (de 6 à 27 membres entre 1957 et 2013, amputés du Brexit en 2020) ont érodé ce socle : du club élitiste des années 1960 au « Big Bang » est-européen de 2004, imposant des normes uniformes à des économies hétérogènes. Le Traité de Maastricht (1992) a greffé une dimension politique (citoyenneté européenne, euro), tandis que Lisbonne (2009) a sacralisé la primauté du droit communautaire, malgré le « non » massif des Français (55 %) au référendum de 2005 sur la Constitution européenne. Aujourd'hui, avec des candidatures comme l'Ukraine ou la Moldavie (2022), l'UE flirte avec un périmètre virtuel de 30+ membres, rendant absurde l'idée d'une « Europe cohérente ». Attali essentialise cette entité fluide comme un rempart éternel, occultant que la France fondatrice, qui pesait 17 % des voix au Conseil en 1957, n'en représente plus que 8 % – une dilution structurelle qui transforme ce qui protégeait hier (marché commun) en entrave demain (normes du Green Deal freinant le nucléaire français, atout souverain).

Pire encore, Attali amalgame « règles » (principes fondamentaux des traités, comme la libre circulation ou la non-discrimination) et « règlements » (actes dérivés directement applicables, constituant 60 % des textes européens). Les premières structurent un cadre équilibré, théoriquement respectueux de la subsidiarité (art. 5 TUE : décisions au niveau le plus proche des citoyens) ; les seconds prolifèrent comme une gangrène normative : 100 000 pages de droit dérivé par an, contre 10 000 en 1990. Ce foisonnement n'est plus un bouclier, mais un « sarcophage de complexité » – un tombeau administratif qui enterre l'agilité au moment où l'intelligence artificielle, la transition écologique et les chocs géopolitiques exigent un « choc de simplification » radical. La Commission européenne vante une réduction de 400 millions d'euros de coûts administratifs pour les entreprises en 2025, une broutille face aux 75 à 87 milliards d'euros que pèsent les charges européennes sur les PME françaises. Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) alerte en octobre 2025 sur la « complexité opaque » des aides européennes, rendant leur accès illusoire pour les citoyens et les entreprises. En résultent que 70 % des litiges juridiques français impliquent du droit UE, avec un taux de défaite de 60 % devant la Cour de justice de l'UE (CJUE). Cette transposition massive – 80 % du droit national émanant de Bruxelles – confisque l'autonomie, droit fondamental à l'autodétermination des peuples (art. 3 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, et art. 1 de la Charte des droits fondamentaux de l'UE).
Avons-nous, par inertie intégrationniste, créé les conditions de notre disparition ? Fort probablement car la globalisation UE a semé la fragilité, comme l'a révélé la crise Covid (imposition des passes sanitaires et des vaccins par une bureaucratie interdépendante qui a instrumentalisé la science et paralysé le débat) ou les chaînes d'approvisionnement rompues en 2020, forçant un retour « glocal » – global coopératif, local souverain – analysé par France-Soir dès cette époque.
L'UE : un « espace de droit et de liberté » sans terre, vecteur de violations technocratiques
Un point crucial : l'UE se présente comme un « espace de droit et de liberté » (préambule du Traité sur l'UE), mais cette abstraction supranationale est dépourvue d'un territoire terrestre unifié – un vide ontologique qui la rend vulnérable et propice aux dérives. Contrairement aux États-nations, ancrés dans un sol concret avec des frontières physiques, l'UE opère comme une superstructure technocratique : un réseau de normes éthérées, sans corps de garde-frontières commun ni souveraineté territoriale effective. L'espace Schengen, pilier de cette illusion, illustre parfaitement ce paradoxe : créé en 1985 pour abolir les contrôles internes (aujourd'hui 27 pays, 400 millions d'habitants), il promet une « liberté de circulation » sans frontières terrestres cohérentes. Mais en résulte une porosité chaotique : en 2024, 1,1 million de demandes d'asile irrégulières aux frontières extérieures, avec des trafics humains et de drogue exploitant les failles (rapport Frontex 2025). Cette absence de « terre » facilite aussi les violations des droits fondamentaux, sous couvert de « règles européennes » appliquées sans filtre local.
Les exemples concrets abondent. En octobre 2025, Amnesty dénonce des refus arbitraires de visas Schengen à des défenseurs des droits humains africains et asiatiques, violant l'article 13 de la Déclaration universelle des droits de l'homme (liberté de circulation) – un « viol soft » facilité par l'absence de territoire unifié, où Bruxelles décide sans appel. Ces activistes, invités pour témoigner, se heurtent à une bureaucratie opaque qui priorise la « sécurité » sur les libertés. Pire, la réforme du mécanisme de suspension des visas, adoptée le 7 octobre 2025, permet à l'UE de réimposer des obligations de visa contre les « menaces hybrides » – une mesure louable en théorie, mais qui, en pratique, cible les régimes répressifs tout en ignorant les violations internes à l'espace Schengen lui-même. Le Rapport 2024 sur la situation dans l'espace Schengen (lancé en 2025) admet des dysfonctionnements : contrôles frontaliers réintroduits par la France en 2023-2024 face aux flux migratoires, contredisant l'idéal « sans terre ». Cette superstructure technocratique – Commission non élue initiant 80 % des textes – permet un « viol soft » des droits : extraditions express via mandats d'arrêt européens (sans recours suffisant, comme dans l'affaire Puigdemont), surveillance généralisée sous RGPD (théoriquement protecteur, mais laxiste face aux géants du numérique), ou quotas agricoles de la PAC imposés contre les intérêts locaux, ruinant des milliers d'exploitations françaises.
Ce vide territorial n'est pas anodin : il déconnecte l'UE de la réalité des peuples, transformant un projet de paix en machine à broyer les souverainetés. Comme l'avertit le philosophe souverainiste Alain de Benoist, cette « Europe des marchands » sans sol est une « tour de Babel normative », où les droits fondamentaux deviennent des mots creux. Attali, en glorifiant cette abstraction, occulte qu'elle accélère l'effacement : sans ancrage terrestre, l'UE n'est plus un bouclier, mais un mirage qui légitime les excès technocratiques.
La souveraineté n'est pas un suicide économique, mais une renaissance
Face au cataclysme attalien, les faits sont impitoyables : des nations hors UE prospèrent, tandis que l'intégration saigne la France. Voici un comparatif 2025 (FMI et Eurostat) :

La Suisse, non-membre mais liée par l'EEE (Accord sur le marché unique), trône au sommet du classement mondial de compétitivité 2025 du Forum économique mondial, grâce à sa « capacité à concilier prospérité, confiance, éducation et durabilité ». Ses exportations culminent à 410 milliards d'euros en 2024 (47 % du PIB), surpassant la moyenne UE, sans subir la primauté normative de Bruxelles – un modèle de bilatéralisme agile (120 accords UE préservant monnaie et fiscalité). La Norvège suit : 4e puissance européenne en PIB par habitant, avec une croissance de 0,8 % au second trimestre 2025 (hors pétrole), et des exportations à 155 milliards d'euros (35 % du PIB). Ces « nains » géopolitiques négocient leur souveraineté, contrairement à la France, second contributeur net au budget de l’UE (10 milliards d'euros reçus en PAC 2023, contre 20 milliards versés), qui gaspille 4-6 % de son PIB en conformité normative.
Les sondages récents confirment ce scepticisme : seulement 44 % des Français ont une image positive de l'UE (contre 52 % en moyenne européenne, Eurobaromètre septembre 2025), avec un clivage socioprofessionnel marqué – 45 % des cadres y voient un « avantage », contre 29 % pour les ouvriers. Politiquement, 94 % des sympathisants Renaissance soutiennent le Traité constitutionnel européen (TCE), mais seulement 19 % chez les oppositions ; et en cas d'échec de l'UE à défendre la France (ex. : crises migratoires ou énergétiques), les « Frexiteurs » deviendraient majoritaires d’après Front Populaire. Octobre 2025 semble confirmer la bascule : si l'UE « échoue à nous défendre », 48 % des Français virent Frexit ; chez les sympathisants du RN, c'est 60 % pour la sortie pure. Globalement, 60 % des Français plébiscitent une « Europe des Nations » (accords commerciaux limités), contre 15 % pour une fédérale – un rejet viscéral du récit attalien.
La complexité UE a franchi le seuil critique, comme les conglomérats qui « enfanteront » des startups pour survivre (Sanofi en 2023). Avec 55 000 fonctionnaires et un budget de 1 200 milliards d'euros, elle engendre plus de rigidité que de puissance : croissance anémique (1 %/an vs. 3 % aux USA) et une recherche en berne avec un nombre de brevets inférieurs à la Chine.
Un virage « glocal » s'impose-t-il avec des coopérations bilatérales flexibles pour un monde interconnecté, sans le sarcophage bruxellois ?
Nationalité et drapeau : le symbole d'une souveraineté confisquée, au prisme du réalisme d'Olivier Frot
Au cœur de cette dérive trône le symbole par excellence : le passeport français, gravé d' « Union Européenne » et d'étoiles stylisées depuis 2006 (règlement UE 2253/2006), imposé sans consultation post-Lisbonne. Pour Attali, c'est un ornement anodin ; pour les souverainistes, une profanation de l'identité, diluant le tricolore dans un ensemble sans légitimité populaire (85 % des Français rejettent le fédéralisme). C'est ici que le Dr Olivier Frot, saint-cyrien aguerri au Kosovo (1999), docteur en droit, livre un réquisitoire implacable. Dans son débriefing du 24 septembre 2025, « Réalisme contre storytelling », Frot oppose la « réalité nationale » aux chimères multilatérales, forgée dans le feu : lors de l'incident de Macédoine (23 mars 1999), face à une menace serbe, les contingents italiens et britanniques ont décampé, abandonnant Français, Allemands et Hollandais. « Dans ces moments-là, il n’existe qu’une seule réalité : la réalité nationale. Quand il faut payer – en argent ou en sang – chacun pense à son pays », assène-t-il. Serrant la main d'un adjoint allemand « comme à un homme mort », Frot mesure l'illusion : l'armée n'est pas européenne, mais nationale. Les interprètes locaux ironisaient : « Comment pouvez-vous vous associer à ça ? » – une opération illégale sans mandat ONU, fruit d'un storytelling OTAN/UE qui dupe les soldats.
https://www.youtube.com/watch?v=DH6XrkfE9Mc
Ce témoignage viscéral s'étend à l'UE : l'« armée européenne », mirage récurrent depuis la CED (1954), capote car « c’est la nation qui décide, pas Bruxelles ». Frot fustige les « va-t-en-guerre en fauteuil » : « Ces gens-là n’ont pas fait une marche de nuit avec 30 kg sur le dos. Ils envoient les gueux se faire trouer la peau. » En Ukraine, la France verse des milliards sans vote parlementaire, contournant l'État de droit – « L’État de droit, on nous le brandit comme un totem quand ça arrange. »
Et le drapeau européen sur le passeport représente-t-il un emblème de cette « politique des grands pas » ? Désigner un ennemi (Russie, islamisme) pour fédérer, au nom d'une cause noble qui érode la souveraineté. Frot, ulcéré par les mensonges institutionnels, interroge : « Pourquoi ? » Pourquoi noyer le bleu-blanc-rouge, incarnation de « liberté, égalité, fraternité », dans des étoiles impersonnelles ? Les coopérations bilatérales fonctionnent (Transall franco-allemand), pas les utopies pléthoriques (SCAF). L'Europe est "l’empire de la norme et des états-majors, pas celui des capacités." Imposer son symbole viole l'autonomie citoyenne, surtout quand les Français, en crise de confiance, lient l'UE à un fardeau économique (72 % blâment les leaders nationaux).
Vers une décomplexification souveraine et ancrée
L'échange Attali-Murer n’est pas anecdotique : il cristallise le duel entre un storytelling élitiste alarmiste - où la France serait « balayée » sans une UE abstraite – et un réalisme qui libère. Les faits sont accablants : complexité coûteuse (87 Md€), succès hors-UE (Suisse n°1), rejet populaire (44 % positifs seulement). Avec Frot, on pèse le coût humain ; avec Schengen, on démasque l'illusion d'un « espace sans terre » qui viole les droits sous couvert de liberté. La France a-t-elle besoin de cette Europe fantasmée, ou d'une décomplexification radicale avec des bilatéralismes agiles, des spin-offs glocaux et un retour au sol concret ?
À 18 mois de 2027, n’est-il point temps de dire non à l'effacement technocratique et oui à une France qui respire, ancrée dans sa terre et ses droits. Lecteurs de France-Soir, vous le savez, la souveraineté n'est pas un privilège des élites, mais un droit inaliénable du peuple. Elle réside en vous, dans votre voix collective, dans les référendums et les choix éclairés qui redonneront à la nation sa maîtrise de son destin.
Le vrai pouvoir est dans vos mains et il nait dans la réalité. Pas dans les pirouettes ou les étoiles. Alors n’est-il pas du devoir de tout enfant de la Patrie de rappeler à Attali que la « pirouette » ne trompe plus personne.

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