Le Japon lance une alerte face à la découverte d'une forte augmentation des traces du « vaccin » contre la COVID dans des tumeurs du cancer du sein
https://www.globalresearch.ca/japan-issues-alert-covid-vaccine-spike-breast-cancer-tumors/5905542
Des chercheurs japonais de renom ont tiré la sonnette d'alarme après avoir découvert des traces de la protéine Spike du « vaccin » à ARNm contre la Covid-19 de Pfizer à l'intérieur de tissus cancéreux.
Cette découverte alarmante a provoqué une onde de choc dans le monde de l'oncologie et suscite de nouvelles craintes quant au rôle potentiel de ces injections dans la stimulation de la croissance tumorale.
Ce cas surprenant a été documenté dans une étude menée par le Dr Shigetoshi Sano, MD, PhD, professeur de dermatologie à la faculté de médecine de Kochi et expert mondialement reconnu en cancérologie et immunologie.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans le Journal of Dermatological Science.
Selon le rapport du Dr Sano, une femme de 85 ans, qui avait été traitée pour un cancer du sein et déclarée en rémission, a développé une nouvelle lésion cutanée quelques semaines seulement après sa sixième dose du « vaccin » à ARNm de Pfizer.
Une biopsie a révélé que la lésion était une métastase cutanée d'un carcinome mammaire invasif. Après coloration du tissu, les chercheurs ont fait une découverte surprenante :
• Les cellules tumorales testées étaient positives pour la protéine Spike du SARS-CoV-2
• Mais négatif pour la protéine de la nucléocapside — le marqueur viral qui indiquerait une infection naturelle
Ce schéma, explique Sano, indique fortement une origine vaccinale plutôt qu'une origine infectieuse.
Des résultats inquiétants
La protéine Spike a été retrouvée à l'intérieur du cytoplasme et même dans les noyaux des cellules cancéreuses.
Le moment choisi est tout aussi préoccupant : la nouvelle métastase est apparue un mois après sa sixième dose de Pfizer.
Bien que l'étude ne porte que sur un seul cas, ses implications sont considérables.
Comme le soulignent les auteurs, cela démontre pour la première fois que la protéine Spike du « vaccin » à ARNm peut se loger dans les tissus tumoraux et potentiellement altérer la biologie des cellules cancéreuses.
Comment Spike pourrait-il influencer le cancer ?
Le rapport met en lumière plusieurs pistes que les scientifiques remettent désormais en question :
- Régulation positive de PD-L1 : les tumeurs deviennent plus résistantes au système immunitaire
- Perturbation de l'interféron de type I : paralysie des défenses naturelles contre le cancer
- Effets des récepteurs hormonaux : interaction possible avec la signalisation des œstrogènes dans le cancer du sein
D'autres experts avaient déjà mis en garde contre la contamination des vaccins et l'expression prolongée de la protéine Spike, notamment les possibilités de persistance de l'ARNm, d'absorption extracellulaire de la protéine Spike ou d'intégration de fragments de plasmide d'ADN dans les cellules.
Des preuves alarmantes, qui exigent des réponses
L'équipe du Dr Sano souligne l'urgence de poursuivre les recherches :
- Hybridation in situ (ISH) pour l'ARNm de la protéine Spike dans les tumeurs
- Spectrométrie de masse pour confirmer les peptides de pointe
- Études de cas et études de cohortes pour déterminer si des schémas similaires apparaissent chez d'autres patients
Pour l'instant, les preuves sont claires : les métastases cancéreuses d'une femme âgée ont été testées positives à la protéine Spike directement après des vaccinations répétées par Pfizer, et non suite à une infection.
Cette révélation soulève de nouvelles questions inquiétantes quant à la durée de persistance du pic « vaccinal » dans l’organisme, à ses effets sur les tissus vulnérables et à sa capacité à accélérer ou à transformer la progression du cancer.
Nous remercions le Dr William Makis de nous avoir signalé ce problème.
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