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Brook Jackson : Il y a deux ans, Ron Johnson a décidé de cacher au public américain le risque de cancer lié à l'ARNm, déjà connu à l'époque.

Combien de personnes ont développé un cancer à cause d’injections d’ARNm depuis 2022 ?

Sasha Latypova 10 octobre 2025

Cet article est inspiré de l'extrait de l'interview récente de Brook Jackson dans l'émission de Shannon Joy Extrait deSense Receptor Shannon Joy

Brook est un héros américain, et je suis contente qu’elle en parle publiquement maintenant. Interview complète ici. Full interview here.

Il faut que davantage d’écailles tombent des yeux de la foule MAGA-MAHA aux yeux écarquillés.

Ils sont tous au courant. Ils sont tous au courant. Bobby Kennedy le sait. Le sénateur Ron Johnson le sait. Je suis désolé, je vais m'arrêter un instant. Je n'oublierai jamais cette réunion à huis clos avec le sénateur Ron Johnson. Certains de ces visages de première ligne que nous apprécions tous et dont nous ne voulons pas trop parler, mais je n'oublierai jamais cette réunion où nous parlons de la contamination de l'ADN et de ses conséquences potentielles pour les patients atteints, disons, d'un cancer. « Vous savez, est-ce quelque chose que nous devons examiner ? » Et je n'oublierai jamais que le sénateur Ron Johnson a dit que nous ne pouvions pas simplement… car nous essayions, lors de cette réunion, d'élaborer un programme pour le lendemain, qui serait diffusé en direct au public. Nous essayons donc d'élaborer ce programme. Et il a dit que nous ne pouvions pas simplement dire aux Américains qu'ils pourraient développer un cancer. J'y étais, et Mary Bowden était là aussi. J'étais tellement écœurée par cette déclaration. Parce qu'il faut alerter les gens. Les gens doivent pouvoir parler de leurs symptômes, de leurs scanners ou de tout autre examen à leur médecin et en discuter ouvertement. Et je n'arrivais pas à croire qu'il ait dit ça. J'ai sauté dans le premier avion possible, qui était à 5 heures du matin, en provenance de Washington, mais je me suis barrée. Et j'apprécie ce qu'il a fait, il a accompli de grandes choses à 100 %. Mais qu'il soit maudit pour avoir dit ça comme ça ! C'était il y a deux ans. Combien de personnes aurions-nous pu prévenir à ce moment-là que c'était quelque chose que nous savions ? C'est maintenant consigné au Congrès, n'est-ce pas ? Lors de sa propre audition. Mais deux ans plus tôt, vous disiez qu'on ne pouvait rien dire. On ne pouvait pas effrayer les gens. Il faut avoir peur. Les gens doivent avoir peur du gouvernement des États-Unis et ils doivent certainement avoir peur des sociétés pharmaceutiques qui s’en tirent impunément grâce au ministère de la Justice et à notre gouvernement qui les aide à commettre ces crimes.

Ron Johnson decided, the day before conducting his “truth summit” that “we can’t just go out there and tell the American people that there’s a possibility that they’re going to get cancer”. And what did American people get?

Cancer, of course.

Le cancer, bien sûr.

Les données ci-dessous proviennent des comptes d'Ethical Skeptic et de US Mortality. Ces analystes utilisent des méthodologies différentes et sont souvent en désaccord, mais ici, ils montrent la même chose. Ces séries ne présentent des données que jusqu'en 2024 ; la situation actuelle est pire.

Je peux également ajouter que Ron Johnson n'est de loin pas la seule personnalité influente de la « liberté de santé » à avoir caché au public les risques de cancer pendant que les injections continuaient de se multiplier. Plusieurs scientifiques « diseurs de vérité » très en vue que je connais ont également déclaré en privé qu'ils ne devraient pas affirmer que l'ARNm provoque le cancer, simplement pour ne pas effrayer les gens ! Il existe de nombreux mécanismes connus et bien étudiés par lesquels les thérapies géniques en général, et l'ARNm/LNP en particulier, provoquent le cancer. Cela a été documenté par la FDA avant 2015, ainsi que par de nombreux articles scientifiques. Ces « experts scientifiques » se font passer pour des diseurs de vérité intrépides dans les cercles de la MAHA. Je garde leurs noms secrets pour l'instant, car certains d'entre eux sont très procéduriers, mais cela pourrait changer à l'avenir.

Cette semaine, Ron Johnson est présenté dans les médias « liberté » comme ayant courageusement enquêté sur « l'espionnage des sénateurs républicains par Biden par le FBI », comme s'il s'agissait d'une révélation bouleversante ! Écoutez-moi bien ! Vous connaissez le Patriot Act ? Il est bien plus facile de lister ceux qui n'espionnent pas les Américains, sénateurs compris, que ceux qui le font. C'est une diversion qui, une fois de plus, ne mènera à rien.

Ron Johnson a joué un rôle dans la pandémie de Covid-19, ce que l'on appelle « l'exutoire ». Nombre d'entre nous ont constaté qu'il y en a un dans pratiquement chaque grand pays en confinement : Christine Anderson dans l'UE, par exemple, ou Malcolm Roberts en Australie. Un sénateur ou un parlementaire isolé a été « autorisé » à « dire la vérité sur la Covid-19 », afin que tous les dissidents puissent être canalisés vers ces « auditions publiques », sans résultat.

Oui, Johnson a dit beaucoup de bonnes choses. Oui, les participants à ces réunions (à l'exception de Bob Malone, qui ment à chaque mouvement de lèvres) ont généralement tenu des propos positifs. Cependant, de nombreuses personnes endeuillées, désespérées et blessées ont dépensé de l'argent, du temps et des efforts pour se rendre à Washington pour prendre la parole ou assister à ces audiences bidon, dans l'espoir d'obtenir justice. Tout cela pour rien.