Criminalité obsessionnelle des "gars sans couilles" des Sables d'Olonne
Cette criminalité surfe sur la misogynie permissive habituelle des élus et /ou fonctionnaires locaux . Ceux-ci règlent des comptes corporatistes de copains par intervenants locaux interposés et protégés. La plupart des misogynes sont mariés et expriment par leurs actes criminels ou la protection de la criminalité portée à leur connaissance, leur mépris de genre . Certains vont même jusqu’à utiliser leur épouse en paravent pour expliquer des règlements de compte qui ont entrainé certaines décisions locales ( suppression de subventions) . Certaines épouses ou compagnes ou mères collaborent , parfois en ricanant, mais surtout en minimisant les faits, ou en se croyant du côté des vainqueurs. Ainsi Claude SUTEAU , aux Sénioriales parlait « des conneries « que son mari faisait subir à des cibles « avec ses copains » , comme s’il s’agissait seulement d’enfantillages. Cette façon d’envisager la criminalité perpétrée en groupe , par son mari , n’était considé