Crime organisé - torture par électrochocs sans anesthésie et sans curarisation






Sur son site explicatif et militant , la CCDH, nous apprend  que le traitement par électrochoc, dont le nom a été embelli en convulsothérapie,  est basé sur des décharges électriques de 100 à 200 volts  envoyées vers le cerveau et qu’elles traversent.


Les électrodes qui conduisent la charge électrique peuvent être placées de façon différente selon l’effet souhaité  : sur une tempe, sur les tempes ou au sommet du crâne
 

Pour éviter la douleur fulgurante de cet acte barbare, l’électrochoc est pratiqué  sous anesthésie.
Pour contenir et/ou  bloquer les convulsions  et gestes incontrôlables  engendrées par les décharges électriques , l’anesthésie est complétée d’une curarisation .
 

Les traitements par électrochoc se font  par séries de 10 ou 20 , à raison de 3 fois par semaine , soit au cours d’hospitalisation complètes (800 à 900 euros/jour en fonction des établissements psy  ) ou lors d’hospitalisations de jour.
Mais il est précisé que ce traitement doit être consolidé avec d’autres séances pendant 6 mois !
L’électrochoc provoque une crise d’épilepsie généralisée qui dure entre 25 et 30 secondes, et dont certains patients ressortent avec :


-        Maux de tête,
    •    Nausées,
    •    Douleurs musculaires,
    •    Confusion
    •    Pertes de mémoire plus ou moins importantes et qui peut être irréversible.

 Pour rembourser ce procédé violent  qui provoque des mini crises d’épilepsie que d’autres  médecins essaient d’éviter à leurs clients/patients  justement  atteints d’épilepsie  , on sait grâce à la ténacité de CCDH qu’en 2017 ,   la sécurité sociale  a déboursé  

2 337 014 euros pour 25 378 électrochocs sur le territoire français
 

Le site https://www.senat.fr/questions/base/2018/qSEQ181107632.html, donne le montant des remboursements respectifs pour l’acte d’électrochoc et celui d’anesthésie liée,  comme suit
- 939 628,05 euros pour 25 378 électrochocs (37 euros/u , soit 370 euros/10)
- 1 345 097,36 euros pour 27 563 anesthésies (48,80 euros /u, soit 488 euros /10)

Année :
2015
Remboursement : 2 186 167 €
Nombre d'électrochocs : 24 187
Nombre d'anesthésies pour électrochocs : 25 824

Année : 2016
Remboursement : 2 184 899 €
Nombre d'électrochocs : 23 456
Nombre d'anesthésies pour électrochocs : 25 829

Année : 2017
Remboursement : 2 337 014 €
Nombre d'électrochocs : 25 378
Nombre d'anesthésies pour électrochocs : 27 563

Il existerait   2185 anesthésies  à expliquer comme supplémentaires ou ratées.

Le texte ne donne pas la proportion d’hommes VS femmes concernée par ce choix de traitement   décidé par des psychiatres, censés avoir l’accord du patient et en avoir expliqué les conséquences.

L’électrochoc était , à l’origine, une technique d’abattage des cochons et qu’un médecin italien Ugo Cerletti   avait adapté dans les années 1930  et introduit en psychiatrie, soumettant ainsi des humains, à une  forme de décérébration  contrôlée …… sans abattage physique
 

C’est le même Ugo Cerletti qui aurait avoué plus tard  ( 1963) à propos de sa technique  « Lorsque j’ai vu la réaction du malade, j’ai pensé en moi-même : "cela devrait être interdit ! ". Et, depuis ce jour, je n'ai cessé d'appeler de mes voeux le temps où une autre forme de traitement remplacerait l'électrochoc ».
 

Les experts sont nombreux de cet avis  https://www.ccdh.fr/L-avis-des-experts_a47.html qui s’explique par les dégâts irréversibles produits dans le cerveau

Une étude détaillée des divers processus physico-chimiques induits dans le cerveau par les électrochocs    se trouve à :
https://www.ccdh.fr/Mode-d-action_a45.html



L’électrochoc a actuellement, de nouveau, le vent en poupe  pour traiter  la schizophrénie,  les troubles bi-polaires et la dépression.
 

La dépression est un état quasi normal pour une femme qui vient d’accoucher ou qui n’a pas pu mener  sa grossesse à terme , pour une raison ou une autre. Cette forme de dépression  est réputée  due à de brusques perturbations hormonales que l’on désigne du terme général «  baby blues »  et qui cumule  avec  d’autres facteurs de type psychologique  .

Dans un témoignage ( écrit)  que m’avait confié  une jeune femme   , il était dit  qu’elle  n’avait pas pu mener sa grossesse à son terme, pour des circonstances de vie difficiles. Épuisée , elle  était allée frapper, confiante ,  à l’hôpital Saint Anne de Paris pour faire  soigner sa déprime. La sachant démunie et  isolée ,  le service concerné l’avait immédiatement placée sous sa complète autorité,  pour lui infliger sa série  préférée de 20 électrochocs zombifiants .
 

Quelques mois plus tard, cette jeune femme  copieusement droguée , et  par ailleurs très pieuse, avait commencé à entendre des voix et qu’on lui avait présentées comme précieuses. Elle avait, alors,  été décidée  inapte au travail, à encadrer  et à placer dans un foyer d’handicapés.




Dans le crime organisé qui vise à éliminer une personne,  sans preuves,  en lui faisant subir des souffrances indicibles , les électrochocs provoqués à distance par énergie pulsée vers le cerveau , sont largement utilisés depuis plusieurs décennies.
 

Ces électrochocs provoquent l’équivalent de crises d’épilepsies « grand mal »
- par  dizaines chaque nuit , par centaines chaque semaine …….
- sans anesthésie
- sans curarisation
A vous d’imaginer  à partir des 2 autres  blogs  de témoignage liés à celui-ci , et des nombreux blogs et vidéos disponibles sur le sujet ,  la souffrance  accumulée et  les dégâts provoqués volontairement dans le cerveau et ailleurs par cette torture .


                        « Ils vont vous faire devenir folle » 

m’avait assurée le notaire Philippon, au début des années 2000.
Estimant  ma  folie ou ma fin proche et irrémédiable, il avait manigancé pour en profiter le premier. 

Comme les autres. 
Comme tout le monde,  dans ce monde caché du crime organisé où les premiers complices sont des médecins qui nient cette réalité ( électrochocs produits à distance) , et/ou refusent de la dénoncer,  par intérêt ou par extrême lâcheté  .

Car peu d’entre eux ignorent  l’existence de ce supplice pour femmes à éliminer ou soumettre ,  et qu’un flic prévenant ou pervers avait annoncé autrement :


                        ‘Ils vont vous rendre violente , et moi je     
                       viendrai   vous faire enfermer »

La réalité de cette criminalité par électrochocs  est racontée par les victimes . 

Les informations qui étayent leurs descriptions de cette réalité  terrifiante et crédibilisent l’existence de ce crime, se trouvent dans une littérature de militaires et de neuro-scientifiques  .
 

Ainsi, dans un texte de 1998 et  déclassifié par l’armée américaine en 2006,  en provenance  du   National Ground Intelligence Center,   on note que l’épilepsie  ( expression des électrochocs)   provoquée à distance au moyen de signaux pulsés  est caractérisée  ainsi :
"
–  la technologie utilisée possède un effet d’incapacitation extrêmement rapide,


– elle peut être modulée en intensité
– elle peut être adaptée pour générer indépendamment  ou ensemble,  des spasmes musculaires ou des pertes de conscience
…..

Ce sont ces dysfonctionnements qui serviront de point d’observation et de départ à la mise en place de la technologie électronique destinée à reproduire cette pathologie.
……

Le concept des impulsions électromagnétiques est un concept dans lequel une impulsion électromagnétique à haute tension (de 50 kV à 100 kV / m ou plus), très rapide (nanosecondes) peuvent produire un potentiel de la membrane de la cellule d’environ 2 V. Il faut pour cela qu’il fonctionne sur la fréquence 15 Hz .
…….

Les champs électriques pulsés à haute résistance peuvent  également être  un facteur déclenchant  de crise d’épilepsie induite.
Une force de champ électrique d’environ 100 Kv / m sur une période de 1 nanoseconde provoquera l’effet désiré. Un tel champ peut être développé en utilisant une source pulsée de type radar, à puissance de crête élevée. "

C'était  en 1998 ! 

 
Voici donc de nouveau ci-après , pour Madame KREBS, Madame TIBERGHIEN,  Madame S. JUMEL,  Messieurs  Y.DELCHEV, V. BOILLET,  O. GAY, P. MONTEIL DE MARICOURT, P.BOULU , A. CARMI et tous les autres , un nouveau   récent enregistrement sur EEG des électrochocs sans anesthésie ,  provoqués  par une énergie pulsée à distance et volontairement dirigée vers un cerveau  et qui ne sont  


ni des conversations avec des extra-terrestres ( Y. Delchev)
ni de l’obsession interprétative ( V. BOILLET)
ni une schizophrénie , puis , 24h plus tard , une  psychose 

  ( O.GAY et P. Monteil De Maricourt)
ni des hallucinations et des allégations  (P. Monteil De Maricourt)



La Cour  Européenne des Droits de l’Humain a clairement fait savoir que les États sont tenus de prendre des mesures propres à empêcher que les personnes relevant de leur juridiction ne soient soumises à des tortures ou à des peines ou traitements inhumains ou dégradants, même administrés par des particuliers.



                                    de Marie Darrieusecq dans le JDD du 5 janvier 2020


Attention, le texte  suivant est (au minimum) dupliqué , mais à lire en priorité
http://marre-de-la-vie.blogspot.com/search/label/Les%20%C3%A9lectrochocs

https://lesharceleurs.wordpress.com/2019/06/ ( neurotechnologie et droit humain)
https://www.parismatch.com/People/Cinema/Le-jour-ou-J-ai-subi-des-electrochocs-de-force-Par-Daniele-Evenou-133285

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