HCR- FREE aussi
Dans l’appartement de Vannes , rue Mgr de Pancemont, une ligne de téléphone avait déjà existé, avant moi. A mon arrivée dans les lieux, FREE avait été sollicitée pour ma connexion internet . FREE avait annoncé une connexion sous 48 h après réception de la box.
2 jours après réception de la box , 3 jours après, 4 jours après , 5 jours après : RIEN . Aucune connexion possible
Au 6ème jour, la box avait été retournée au fournisseur.
La connexion FREE souffrait d’un défaut d’ORANGE qui n’avait pas ouvert la ligne.
Le dossier , sans pénalités , avait été réglé au bout de quelques semaines. Efficacement et courtoisement.
France télécom /Orange avait été mon fournisseur d’accès autrefois à Paris XIV et Angers *(1) . Dans les prises de téléphone des appartements de ces deux villes , ceci avait été découvert.
C’est un domino/mouchard qui permet d’écouter une ligne en proximité. Cet espionnage local ne laisse aucune trace administrative. C’est d’un confort absolu pour les harceleurs de voisinage qui apprennent ainsi tous les plans ou projets de travail ou de sorties de la cible pour les contrer , les retourner ou en profiter pour des violations de domicile.
A Paris XIV l’un des participants au pourrissement de ma vie, A. Leroy, était ingénieur chez FT et harceleur émérite , pour protéger les intérêts de son papa , grugeur de la SCI. L’immeuble de Paris XIV était en fausse SCI, vraie vache à lait , pour certains.
Dans la maison d’Angers, le mouchard d’espionnage était sous une lampe, elle-même près du téléphone. L’espionnage profitait à Gasnier, employé du commissariat de la ville, catholique très pratiquant , harceleur de nuisance , par plaisir .
Dans un passé plus récent, aux Sénioriales, * (2) ORANGE avait encore fait des siennes avec des manigances franchouillardes et misogynes typiques.
Ici, l’abonnement en ligne à FREE, qui se finalisait avec mon nom s’était avéré impossible. L’adresse de l’appartement , la seule et vraie, était réputée incorrecte. Dossier refusé
100 kms plus loin, l’employé de la toute nouvelle boutique FREE d’un centre commercial, avait pris en charge la rédaction du dit dossier . Et soudain, damned, une dette était apparue, qui l’empêchait de finaliser la demande. Un montant prétendu dû et datant du renvoi de la box 9 mois plus tôt.
Après 100 Kms retour et deux courriers, FREE avait admis qu’il n’y avait aucune dette comme cela avait été mentionné 9 mois plus tôt.
Quelqu’un, chez FREE ou venant d’ailleurs, avait donc inventé ce nouveau problème.
Et youplalère, tout étant réglé, j’avais refait 100 kms . L’employé de la boutique FREE avait tapé mon numéro de dossier et immédiatement froncé les sourcils . L’écran bavard la fascinait tout en l’inquiétant , visiblement. Une confirmation par un collègue, avait été suivi d’un étrange propos :
« votre inscription n’est pas possible. Ne vous déplacez plus. On vous écrira. Sans doute pas avant 15 jours »
Ainsi pour FREE central, tout était réglé. Dans l'efficacité. Une nouvelle inscription était donc possible.
Pour FREE local, tout allait traîner. C'était écrit sur l'écran et dit par la jeune femme.
Le harcèlement caché de type administratif est une forme pérenne et stable d'empêchement .
La France du harcèlement est un pays stable . Et ses régions aussi.
* (1)
* (2)
Commentaires
Enregistrer un commentaire