Lettre au 2ème 1er magistrat des Sables d'O.


ARTICLE IMPOSSIBLE A METTRE DANS SA  FORME  D'ORIGINE

Dans un 1er courrier au maire des Sables d’O , j’avais mentionné  une forme de  criminalité faite  de harcèlement électronique,  dont j’avais été  victime dès mon arrivée  dans cette ville où je ne connaissais strictement personne. 
Cette information avait été transmise au maire en  sa qualité de 1er magistrat de la ville. C’était  une erreur . Elle avait été judicieusement relevée. Monsieur Gallot , maire des Sables d'O., avait répondu de voir avec le  vrai 1er magistrat, celui  de la région : le procureur.
En fait, mon courrier qui mentionnait un problème relevant de la protection de la personne aurait dû être fait  au maire en  sa qualité d’agent de l’Etat . Puisque c’est cette  deuxième casquette qui  lui créé une obligation  en matière de sécurité civile. Laquelle sécurité civile , selon l’article 1 de la loi n° 2004-811 du 13 août 2004, :
« …. a pour objet la prévention des risques de toute nature, l'information et l'alerte des populations ainsi que la protection des personnes, des biens et de l'environnement par la préparation et la mise en œuvre de mesures et de moyens appropriés relevant de l'État, des collectivités territoriales et les personnes publiques ou privées ».

Un an plus tard ,  c’est l’article 40 du CPC qui  avait été mentionné pour demander  l' aide de M. le Maire  . Cet article oblige toute autorité constituée ( élu) à déclarer au procureur de la République  un crime porté à sa connaissance. Ce crime avait été porté à la connaissance  du maire , un an plus tôt.

Mais  , selon M. Gallot ,  maire des Sables d’O., cet article  40 du CPC , était inutilisable faute de constatation  du crime .

Je rappelle ici que ce crime consiste à pulser  intentionnellement des signaux à travers les murs pour empêcher de dormir, faire souffrir en continu et détruire  ce qui reste encore des fonctions du cerveau.
Cette criminalité continue de s’exprimer en toute sécurité pour les acteurs accros de ce système .

Une constatation  possible, à fournir à M. le Maire ,  pouvait se faire par des détections de signaux  pulsés enregistrées, sous forme de tableaux Excel.  
Des détections faites , avaient donc été envoyées à M. le Maire. 
Et M. le Maire  avait alors répondu qu’il fallait connaître les criminels. 
J’ignore s’il les connaît. 

Je sais seulement que la police, censée aussi s’occuper de sécurité publique ,  dit  que porter plainte contre ces criminels  serait  inutile.
En gros , on ne dérange pas des gars qui torturent  une femme  à distance ,  juste parce qu’elle se plaint, et alors que ce système de torture ne laisse des traces qu’à l’intérieur du corps, cerveau inclus.

Voici donc une nouvelle  et dernière lettre à M Gallot, Maire des Sables d’O. et  par ailleurs spécialiste de Simenon  et des enquêtes du commissaire Maigret.

Monsieur le Maire, 

Dans votre dernier courrier , dont je vous remercie ,  et concernant l’article 40 du CPC impossible à utiliser , selon vous,  dans le cas que je vous ai soumis, vous précisez une obligation ou nécessité de connaître les criminels.
Ici, cette fois,  j’ignore si connaître suppose  « avoir rencontré un jour, une fois » ou « être en contact avec » ou seulement « nommer » 

Malgré tout , parce que la situation   des autres victimes  de harcèlement électronique  de ce pays est tout aussi  cruelle et dramatique et mérite un peu de publicité , je vais répondre à votre demande en nommant les deux résidants/locataires d’appartements  d’où proviennent , en ce qui me concerne ,  les plus constantes  et horribles souffrances infligées volontairement à mon cerveau et à mes organes internes, par l’intermédiaire de signaux pulsés de nature directionnelle et  par à coups,  à travers les parois.  

Ces souffrances sont également enregistrées dans les tracés faits par un appareil EEG. Les  points d’ impact d’énergie fulgurante enregistrée par l’EEG montrent aussi les  provenances directes des agressions des signaux qui atteignent  le  front et la  nuque surtout.

Les deux personnes qui acceptent de stocker et/ou  mettre en fonction le matériel qu’on leur confie et qui pulse les signaux incriminés   sont , M Denis STEFANE résidant au A221 et de M Frank DECROIX résidant au A201. 

Ces deux appartements , tout comme le mien relèvent du gestionnaire de biens CM-CIC, qui,  comme certains, a refusé d’intervenir efficacement  il y a déjà un an , pour faire cesser le harcèlement  criminel électronique dont je me suis plainte  et que les mêmes  semblent trouver approprié de me faire subir.

Compte tenu  de votre sens de l’humain  et de votre sens de   l’humour   ,  je ne doute pas que vous apprécierez cette information.

Avec mes  meilleures salutations .

                                                          
https://lesharceleurs.wordpress.com/2016/03/13/crime-organise-a-lso-lettre-a-mr-gallot-maire-de-lso/          

http://etouffoir.blogspot.fr/2016/03/maraude-sauce-poulet.html                           AR






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