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Affichage des articles du juillet, 2017

Lettre d'une SDF à Me VINCENT, huissier de justice

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S . D . F   par les manigances  d’un réseau crapulo-criminel SCP BRICARD VINCENT Huissiers de Justice Associés 7, Place du Général Collineau BP 60044 85102 Les Sables d'Olonne Cedex Le 14 juillet 2017 Monsieur,  Vous avez été le premier informé de la décision  d’expulsion sans délai et par le force publique si besoin , émise par C. BARRAT , juge au TGI des Sables d’Olonne (85). Cela vous a permis de m'en aviser avec en sus une pseudo excuse morale de type méthode "Coué"  comme suit :  "Comprenez que votre propriétaire a également été lésé du fait du non paiement des loyers." Cette assertion  inexacte   nécessite forcément un court  rappel sur cette situation singulière,  mais  pas in-habituelle et qui  semble intéresser  tout particulièrement les lecteurs étrangers de ce blog.  ( je vous rappelle ici de nouveau , que les blogs  qui racontent cette histoire ont , à ce jour , été consultés plus d’un million de fois)

"Espèce de malade mentale "

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"espèce de malade mentale «   avait été la réponse d’un commerçant pris la main dans le pot de confiture. Cette insulte  grotesque,  à une cliente qu’il avait arnaquée était censée, à ses yeux,  le rendre crédible.  Rien d’étonnant,  puisque dans cette ville LES SABLES d’OLONNE un procureur de la République fait la même chose . Ce représentant d’un Etat "dit" de droit,  utilise cet argument mental,  interdit  par la CEDH et la Convention des Droits de l'Humain, pour accuser une victime d’être la cause de ses classements de plainte .  Dans cette ville encore , on trouve des magistrat e s , dominé e s par des mâles, et capables d’essayer de ridiculiser une victime par des arguments partisans et sectaires approchants. En audience publique , dans le TGI de cette ville, une magistrate m’avait  même traitée de faussaire . Elle se prétendait capable de fabriquer des preuves comme celles que je montrais  : des copies d’écran d’imagerie médicale EEG.

Les magistrats rigolent, les contribuables paient

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LA HONTE DOIT CHANGER DE CAMP   Ce qui se passe dans les deux tribunaux des Sables d’Olonne pourrait presque  se montrer sans commentaire. En lisant mes billets qui  démonte  les incohérences de représentants de l’Etat au service d’eux-mêmes et payés par les contribuables, quelqu’un m’avait écrit «  On se croirait dans le Var »   Ceci fait référence à  https://etouffoir.blogspot.fr/2017/07/deux-pantins-et-un-pion.html,  https://etouffoir.blogspot.fr/2017/06/ Aux Sables d’Olonne (85) on  trouve des représentants de l’Etat français qui font et disent à peu près n’importe quoi, persuadés que leur arrogance partisane ne pourra être interprétée que comme de la compétence., puisque de toutes façons ce «n’ importe quoi » sortant de leur tête et de leur imprimante deviendra une décision de justice irrévocable …. sauf par une couteuse  et aléatoire nouvelle procédure. Mais l'appel n'est pas suspensif. On peut aussi citer ce cas  décidé p

Deux pantins et un pion

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Au milieu  du contexte un peu compliqué de cette histoire, il existe actuellement une  situation  précise avec deux pantins et un pion. Le pion est le jeune  Me ROUBERT, avocat de Mme Blaineau , ma propriétaire faussaire et escroc.  Il représente le groupe des dominants  qui manipule les situations intermédiaires pour rendre la vie impossible à une cible , avec les apparences de la légalité. A condition de manipuler le droit ou les ré glements.  Les deux pantins sont   Madame BARRAT et moi-même, conditionnées et incitées ou forcées  à réagir selon les choix de Me Roubert.  Lors de l’audience Me ROUBERT avait clairement signifié à la magistrate qu’il faisait prendre les décisions ailleurs que dans le tribunal où Catherine  BARRAT dit la loi. A la préfecture.  Ça n’avait choqué que moi. Catherine BARRAT ne représenterait ainsi  pas la loi. Elle obéirait au dictat de Me Roubert qui représente son groupe de dominants lequel  impose  ses décisions   à une juge. Me Roubert  le d