Lettre d'une SDF à Me VINCENT, huissier de justice


S . D . F  
par les manigances
 d’un réseau crapulo-criminel
SCP BRICARD VINCENT
Huissiers de Justice Associés
7, Place du Général Collineau
BP 60044
85102 Les Sables d'Olonne Cedex


Le 14 juillet 2017

Monsieur, 

Vous avez été le premier informé de la décision  d’expulsion sans délai et par le force publique si besoin , émise par C. BARRAT , juge au TGI des Sables d’Olonne (85). Cela vous a permis de m'en aviser avec en sus une pseudo excuse morale de type méthode "Coué"  comme suit : 
"Comprenez que votre propriétaire a également été lésé du fait du non paiement des loyers."

Cette assertion  inexacte   nécessite forcément un court  rappel sur cette situation singulière,  mais  pas in-habituelle et qui  semble intéresser  tout particulièrement les lecteurs étrangers de ce blog. 

( je vous rappelle ici de nouveau , que les blogs  qui racontent cette histoire ont , à ce jour , été consultés plus d’un million de fois)

Il se trouve que  ma propriétaire , votre cliente, Madame BLAINEAU a trompé la justice en utilisant une fausse qualité pour demander mon expulsion. La justice lui a déroulé le tapis rouge. Des spécialistes aux  méthodes mafieuses  ont transformé ses exigences et caprices exorbitants en ordres et décisions irrévocables. Le tout à mes dépens.

Expulsée par de jeunes  ( et vieux) bourgeois  vendéens,  tortionnaires et sadiques associés, j’ai quitté CAP OLONA le 13 juillet comme je vous l’avais indiqué. 
A cette information , vous aviez répondu 

"Je procèderai à la reprise dès que possible.

A défaut de temps pour effectuer un état des lieux, je vous convoquerai à une date ultérieure."

Il se trouve qu’en cette pleine saison touristique , et compte tenu d’un problème de santé fabriqué et entretenu par le crime organisé  des Sables d’Olonne (85) , je n’ai pas eu la possibilité de trouver un hébergement local décent . 
Je ne pourrai donc pas répondre sur un nouveau claquement de doigts pour me présenter quand vous en aurez le temps. 

Pour faire face à cette situation inédite , j’ai été contrainte de renvoyer les clés à la propriétaire par la poste, et avec un courrier l’informant que des vidéos des lieux quittés ont été faites, ainsi que des photos des divers compteurs  et qui ont été fermés. 

Vous pourrez donc faire votre état des lieux à votre convenance et selon votre emploi du temps chargé. 

Comme je suis A LA RUE, ce qui se dit pudiquement SDF ( sans domicile fixe) jusqu’en septembre , je vous serais reconnaissante de me transmettre le document de votre état des lieux par internet , pour que j’en prenne connaissance d’un centre commercial quelconque ,  et par une connexion rapide parce que problématique. 

Dans cette attente, 

Avec mes salutations

 de Chaval

   
Pour les lecteurs qui ont suivi les péripéties de cette histoire, il convient de préciser qu'en 2005
C. Barrat  ( actuelle juge des expulsions des Sables d'Olonne ) était en poste  au TGI d'Angers (49) avec C. Poncet ( actuellement en disponibilité).
C. Poncet était l'alors  jeune juge d'instruction qui avait classé ma plainte avec CPC ( constitution de partie civile) sous ses prétextes , à sa convenance.

La 3ème laronne d’Angers, peut-être de la même loge que les deux autres , était Me Sublard, affairiste aidée par sa vie privée. Me Sublard convoitait le bien de ma mère pour sa copine , employée de mairie. Dans cette ville,  peu de gens résistaient aux réseaux connus  de la première.

Ainsi, pour une autre plainte avec CPC, portée à Paris, la juge parisienne avait proposé une audition déléguée au commissaire d’Angers (49). 
Des policiers ripoux  locaux avaient  intercepté et transformé cette audition en pantalonnade. 
Pour éviter la rigueur et  l’honnêteté de la procureure d’Angers, les ripoux avaient fait transité le dossier- retour-vers-la-juge-de-Paris  de  cette audition grotesque , par un mise de tampon-authntification  d' un autre ripou du  parquet de  Saumur (49) .

Après deux autres étapes-épreuves , ma requête  finale à la CEDH ,  et postée de Valence , avait atteint l’Institution européenne sans encombre. La CEDH était  alors présidée  par un , également  FM , français.

Une requête à la CEDH  met au mieux 1 à 2 ans avant d’être examinée à la CEDH. 
La mienne l’avait été en quelques petites semaines. 
Le président FM français  de la CEDH l’avait confiée au juge tchèque de son groupe . Le juge tchèque  avait rapidement classé ma requête  et qui serait  ainsi détruite au bout d’ 1 an.
 Le surnom du juge tchèque : l’éteignoir.

Ces deux là et quelques autres, avaient trompé l’Europe pendant un an , en dépassant le temps de leur mandat pour convenances financières très personnelles. 
La CEDH ainsi irrégulièrement présidée,  s’apprêtait  d’ailleurs  à continuer ce  même type de combine  . 


Prévenus des irrégularités de fonctionnement de la CEDH, les ministres des affaires étrangères  de tous les pays de l’Union Européenne  avaient finalement fait le ménage,  et remis l’Institution sur les rails du respect des textes , que les premiers  avaient omis volontairement de s’appliquer .

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