Deux pantins et un pion


Au milieu  du contexte un peu compliqué de cette histoire, il existe actuellement une  situation  précise avec deux pantins et un pion.
Le pion est le jeune  Me ROUBERT, avocat de Mme Blaineau , ma propriétaire faussaire et escroc.  Il représente le groupe des dominants  qui manipule les situations intermédiaires pour rendre la vie impossible à une cible , avec les apparences de la légalité. A condition de manipuler le droit ou les ré glements. 
Les deux pantins sont   Madame BARRAT et moi-même, conditionnées et incitées ou forcées  à réagir selon les choix de Me Roubert.
 Lors de l’audience Me ROUBERT avait clairement signifié à la magistrate qu’il faisait prendre les décisions ailleurs que dans le tribunal où Catherine  BARRAT dit la loi. A la préfecture. 
Ça n’avait choqué que moi. Catherine BARRAT ne représenterait ainsi  pas la loi. Elle obéirait au dictat de Me Roubert qui représente son groupe de dominants lequel  impose  ses décisions   à une juge. Me Roubert  le dit publiquement.


Catherine BARRAT est  vice présidente  du tribunal de grande instance des Sables d’Olonne (et peut-être épouse  d’un Jean-François ) . Elle est maitresse des expulsions .
On sait dans le cadre de  nombreuses  procédures, si ce n’est toutes,  que les magistrats et les avocats se concertent pour un  éventuel briefing ou accord. 
Ils se reçoivent aussi , pour des diners et des  discussions informelles . Et si le conjoint de l’un ou l’autre verse dans les arts, on fait son shopping chez lui , créant ainsi des liens supplémentaires.
Il y a une dizaine d’années , j’avais été atterrée  par le mensonge et les manigances grossières d’une jeune juge ,  Catherine PONCET imbue de son pouvoir et  arrogante, et qui voulait à tout prix  me faire passer  pour cinglée simplement parce que je découvrais le harcèlement criminel sans en connaitre les ficelles et les issues. Et je cherchais la clé de sortie. Et Catherine PONCET avait inventé ses preuves contre moi.
 C’était  non professionnel et affligeant  de stupidité au 1er degré . Je n’en étais qu’au début de mes découvertes.
Pour en avoir le cœur net, j’avais interrogé un avocat des droits de l’homme. Il avait décidé d’une invitation pour un diner au coin du feu  ,  avec  cette  juge nouvellement arrivée. J’en avais appris, qu’il s’agissait d’une histoire policière . Comprendre de vengeance ou de règlement de compte. 
Ici, aux Sables d’Olonne,  Catherine BARRAT avait eu une demande de délai à expulsion, avec un cas de figure atypique. Il s’agissait d’expulser une locataire qui payait ses loyers en attendant de trouver autre chose  .   Ce délai était motivé par plusieurs difficultés
  • - Un marché de location étroit
  • - Un nombre de demandeurs importants
  • - Un problème de santé gravissime et  entretenu  non stop  par le crime organisé que je dis maçono/corse.
 Le délai maximum était  de 3 ans .  Un délai long n’oblige pas à l’utiliser, il permet seulement  de mieux  faire face aux impondérables. Dans mon cas, il s’agit de faire face à la fatigue du cerveau induite par la criminalité locale et  non traitée par le procureur Mr LAFAYE. Et on se demande bien pourquoi. 
Catherine BARRAT avait décidé que ce serait O jour de délai.
Pour ses conclusions écrites, elle avait repris toute l’argumentation de Me ROUBERT  l’avocat de la propriétaire faussaire devenue escroc .
Mme BLAINEAU était pressée de reprendre son bien , pour obtenir la continuation d’un paiement de loyer par quelqu’un d’autre. Catherine BARRAT , en bonne bourgeoise,  semblait  se mettre à la place de la propriétaire et  la comprendre . elle  avait décidé de faire plaisir à son conseil et de refuser le délai.  
Avec une fausse naïveté ou une ignorance feinte de circonstance, Catherine BARRAT  disait maintenant  que  la justice  aurait voulu des preuves 
  • - De mes recherches et visites de biens : ce qu’elle n’avait ni mentionné ni demandé  la 1ère fois . 
  • - De mon état de santé avec mention spéciale disant que c’est  cet état de santé qui  nécessite un délai : aucun médecin sérieux n'écrirait de telles inepties.
Elle prétendait aussi que j’étais beaucoup trop difficile. En gros , je n’avais qu’à prendre le 1er bien venu et déguerpir et recommencer  à chercher. 
La richissime Catherine BARRAT ne sait  pas qu’un déménagement coûte selon la distance et tous  les frais annexes inclus ( abonnement,  eau, gaz ,EDF, tel,  meubles à acheter en fonction du lieu) environ 2500 euros.
Ce déménagement pour faire plaisir à la faussaire cliente de Me ROUBERT, mais surtout à son groupe,   et  pour un problème dont je ne suis pas responsable, serait le 10ème en 12 ans. Le compte est salé.
Ce que Catherine BARRAT ne sait pas est la vraie raison de ce caprice de Me ROUBERT, désireux de se débarrasser définitivement d’une cible comme c’est prévu dans les habitudes du groupe qui le manipule. C’est écrit dans mes blogs.  Il essaie de provoquer un départ définitif.
En cas de suicide  manigancé de la cible, c'est elle,  Catherie BARRAT qui serait responsable. Corse ou pas.
Et  cerise sur la gâteau  de la décision de justice , le trait d’humour féroce , façon corse ,  qui suit   : 


Ce serait le  logement actuel qui porterait atteinte à ma santé, et qui expliquerait que le délai O jour s’impose. En plus, c’est censé être ce que j’exprime, alors qu’il s’agit de propos triturés , incomplets et déformés. HONTEUX.

Mais à ce stade de ridicule avéré, on peut même se demander si cette représentante d'un Etat de droit n'est pas cible de contrôle mental.


Et donc  , même si c’est ennuyeux et  juste pour la forme , je peux aussi  répéter 
Ce n’est pas l’endroit qui est mauvais pour ma santé  .Ce sont les tirs d’énergie dirigée  des corses et autres  qui sont mortels et bouffent la vitalité et le cerveau.

C’était la même chose à Vannes ( Conleau) où un corse m’avait poursuivie dans  un hôtel d’un franc-maçon ,  escroc parcequ’il volait le prix de la chambre /criminel parce qu’il laissait sciemment porter atteinte à mon intégrité physique  . Les tirs étaient tellement violents que je ne pouvais pas tenir debout pour partir.

C’était la même chose  à Paris XV où les corses faisaient du tourisme criminel chez Frenove et chez Walti.
Les corses du XVème me tiraient dessus avec des armes à énergie dirigée  , alors que j’étais dans ma voiture.  Le vendéen  DE CERTAINES avait fait la même chose  à partir de son appartement, 22 rue Ernest Renan Paris XV.

Ici,  aux Sables d’Olonne , la criminalité avait été organisée par Nicolas BARRE , gérant de l’agence des Présidents . Il  avait bloqué l’appartement au-dessus du mien pour y mettre  STEFANE, un corse oisif  spécialiste toutes catégories d’énergie. 

Depuis hier, STEFANE ou tout autre , a ajouté  à ses méthodes , des jets de gaz lacrymogène par le conduit de la VMC

Ce corse mal fini, avait sans doute  entrainé avec lui  pour du harcèlement dehors, ses potes du vélo, de surf et de muscu. 
STEPHANE   sait aussi cracher au visage des femmes et l’a montré. 






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