Ciblage électronique et crise cardiaque


Le ciblage électronique consiste à viser une personne avec   une énergie  propulsée intentionnellement  au moyen d’appareils qui produisent des impulsions électromagnétiques . 
L’énergie pulsée est immatérielle et  à la particularité de traverser les obstacles . 

Ce ciblage électronique à répétition a été désigné du terme harcèlement électronique quand il signe un acharnement.  

 Ce harcèlement électronique fait d’impulsions électromagnétiques et qui vise un citoyen à l’intérieur de son lieu de vie , provoque des souffrances volontaires et répétées de divers organes , dont le cerveau.
Il y a alors une atteinte à l’intégrité physique et mentale de la cible, avec même des risques de solution finale par AVC et crise cardiaque. 

Lorsque ces impulsions électromagnétiques  HF sont générées la nuit et portent ( sans doute)  aussi des basses ou très basses fréquences , elles impactent  le cerveau par à-coups et privent la personne visée de sommeil par souffrance répétée à chaque impulsion.
Ce phénomène correspond à la définition de la torture .

Tout comme  pour une femme torturée par son conjoint ou compagnon , on attend d’une victime de torture par moyen électronique fabriquée et générée  par un ou des inconnus, qu’elle apporte  aussi ses preuves. 

Il se trouve qu’elles sont , à ce jour, inhabituelles , puisque basées sur des détections  personnelles, majoritairement faites de nuit  qui est le moment choisi par les psychopathes à l’oeuvre . 
Ces détections sont aussi   de type divers:
- détections des impulsions d’énergie 
- détections , en corrélation,  avec   des souffrances exprimées dans le cerveau, 

Pour être prises en considération,  il semble nécessaire de trouver  la source ou l’origine  cachée  de cette torture;  une information hors de portée des cibles de ce phénomène.  
C’est  donc le rôle qui devrait revenir aux  forces de l’ordre, policiers ou gendarmes , chargés , comme représentants de l’Etat , de faire respecter  au moins l’article 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme  qui stipule 

«  Tout individu à droit à la vie , à la liberté et à la sûreté de sa personne » 

Car, dans le harcèlement électronique , le droit à la vie et le droit à la sûreté de la personne  ciblée à la merci de psychopathes en bande organisée, n’existent plus, à cause des souffrances mais aussi des risques induits par chaque tir violent  d’énergie dirigée:  
- risque d’ AVC, et/ou
- risque de  crise cardiaque 

A titre d’exemple,  et qui concerne la nuit du 20 septembre 2019, ce qui suit en est une illustration. 


L’infernale  cadence des agressions par énergie dirigée du début de la nuit avait été de 27 pour 20 minutes.
En détection, la propulsion d’énergie dirigée de 23h15 ++ donnait 1,5 GHz pour la fréquence porteuse et une densité de puissance apparemment anodine de 1,6 µW/m2. 

La réaction du cerveau avait pourtant été ainsi 



et quelques secondes plus tard, le tensiomètre indiquait ceci 



alors que la tension  stabilisée au meilleur d’une journée peut  être plutôt  ainsi : 




Et, comme dans le plus part des situations de femmes battues qui portent plainte,  face à une plainte pour ciblage par impulsion électromagnétique,  la tendance des forces de l’ordre, qui prétendent n’avoir ni matériel ni formation pour ce cas de figure, et ne veulent rien demander à l’armée éventuellement compétente, consiste  à peu près à répondre 

« revenez quand vous serez morte !  »  

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