Criminalité à travers ENEDIS - violations de domicile de voisinage
Les harceleurs et criminels cachés de cette histoire adorent les détails de ce blog et des autres.
Ces détails leur permettent une réactivité immédiate avec des moyens différents qui induisent un déboussolement .
Cela est possible grâce à des bandes organisées d’individus qui confondent la torture infligée aux cibles avec un jeu.
Ces détails, rendus publics par mes blogs , sont destinés à d’autres cibles de harcèlement électronique et criminel global, au cas ou certaines cibles subiraient des phénomènes similaires .
Ces détails sont également destinés à faire connaitre cette criminalité cachée du grand public et qui trouve trop facilement de nouveaux exécutants grâce aux protections et moyens cachés et détournés utilisés .
La torture du cerveau infligée lors de déplacements ou en extérieur est différente de celle qui est organisée dans les appartements où dans les maisons. Elle est complémentaire, de façon à ne laisser aucun répit à la cible de cette folie haineuse contagieuse et facile parce que cachée et acceptée avec désinvolture par ceux qui devraient nous en préserver.
La nuit du 16 au 17 février avait été faite d’un canardage intense et enregistré, par l’antenne du concentrateur ENEDIS placé à 25 mètres de ma maison .
En fin de journée du 17 février , je m’étais effondrée , épuisée sur mon lit . Sans protections sur la tête. Le lit était éloigné d’environ 50 cms du mur.
De l’autre côté du mur se trouve le garage actuellement encombré d’un amoncellement de paquets .
A peine quelques dizaines de minutes après un endormissement immédiat, un tir d’énergie brûlant , monstrueux et douloureux avait traversé la calotte crânienne et tout le cerveau.
Il ne pouvait venir que du mur .
il était forcément téléguidé par un individu ou un programme d’Enedis excité par l’extinction de toutes les lumières de la maison , et donnant le top départ des tirs destinés à empêcher la sommeil et le repos.
Ce tir d’énergie , qui laisse encore des séquelles de souffrance dans le cerveau au matin , n’aurait pas pu être fait avec cette violence ou cette force , par un tir effectué à l’arrière du garage . L’énergie se serait perdue ou dispersée dans le fatras qui encombre actuellement le garage.
Cette criminalité -là, avec atteinte du cerveau et volonté de le détruire et de le faire souffrir , est totalement programmée à travers et par ENEDIS.
https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/06/12/la-programmation/
A l'adresse où ce phénomène peut être décrit avec sa provenance , les situations improbables avec violations de domicile avaient été constantes. Le voisinage malfaisant avait peu innové .
De nombreuses bestioles peu amicales, les lézards exceptés, ont été introduites sans discontinué pendant mes absences de la maison . Celle-ci sur le mur de la chambre , est la toute dernière.
https://etouffoir.blogspot.com/2014/03/harcelement-en-reseau-intimidations-les.html
Ceci , ci-dessous , fait sur une serviette sale, avait certainement demandé un temps de malfaisance considérable. Cette serviette était, en effet, un mauvais choix à cause de son double tissage. La brodeuse locale a donc du tirer ses fils pour les couper, sur deux épaisseurs et (ne pas) réussir à faire croire à une usure naturelle et soudaine.
https://lesharceleurs.wordpress.com/2013/06/19/les-couturieres-du-xveme-2/
La déjection ci-dessus , est une crotte de chèvre jetée sur le sol pendant une de mes absences .
Et la trace de semelle ci-dessus , ne m'appartient pas . Elle est de l’une ( ou l’un) des délinquantes qui entrent chez moi en mon absence avec des copies de clé.
https://etouffoir.blogspot.com/2014/04/harcelement-en-reseau-violations-de.html
Le morceau de bois , arraché sous une planche/bureau avait été laissé au sol ..... pour que je ne puisse pas rater la constatation du méfait.
Un grand nombre de cibles de harcèlement criminel global connaissent et subissent ce type de situations criminelles et délinquantes. Ces situations sont inadmissibles et doivent impérativement être racontées avec précisions et être dénoncées sur les réseaux sociaux ou par des plaintes circonstanciées dans les gendarmeries, commissariats ou TGI s'ils s'y trouvent des professionnels dignes de leurs salaires et engagements.
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