Les harceleur(e)s de Saint Malo
Saint Malo ici , n’est pas la ville de bord de mer.
C’est le nom du quartier d'un village où se trouvait une maison louée et où
- j’avais été brûlée sur tout le corps et
- torturée par de l’énergie dirigée au cerveau, sans discontinué, pendant 8 mois.
Le supplice de la brûlure s’était arrêté complètement le 12 du mois, alors que mon départ était prévu le 18 du même mois.
Ce n’était même pas le printemps et personne, dans cet endroit froid et humide, n’avait encore arrêté son chauffage . Mais quelqu’un avait sans doute récupéré son appareil à ciblage par brûlure ....devenu inutile.
Le supplice de la brûlure en était bien un.
Ce supplice avait existé à Paris XIV, mis en oeuvre par M. Levystone
Il avait existé de façon suivie aux deux adresses de Vannes , mis en oeuvre par Dame Fouquet, puis par Miss Lovely 92.
Et également aux Sables d'Olonne.
Et également aux Sables d'Olonne.
Les harceleu(e)rs de Saint Malo avaient pratiqué le harcèlement à 3 , par la technique de l’étau , en se répartissant les rôles .
Les violations de domicile se faisaient avec les clés fournies par la propriétaire. Elles étaient majoritairement aux mains de deux culs-bénits , acharnées des cisaillements et découpures lesquels s’ajoutaient aux dépôts de crotte et de bestioles diverses qu’elles collectionnaient à mon intention. Que des classiques.
Ceci ci-dessus est une couette réparée avec des rustines ( rubson). Elle avait été découpée pendant mes absences avec une régularité confondante. Les entailles tous les dix centimètres de chaque côté des bords supérieur et inférieur de la couette étaient bien sûr , entre autres, destinées à la vider de son contenu de duvet d’oie .
Les trous sur la surface du tissu étaient faits au niveau des coutures en pointe et présentaient de nombreux ratés . les ciseaux ou le cutter avait ripé.
Ajoutons que cette couette était TOUJOURS dans un drap housse . Toutes ces dégradations progressives et vicieuses ne se voyaient donc qu’au moment du changement du drap-housse .
Une première opération de changement de drap avait répandu le duvet dans l’air avec une générosité égale à la folie furieuse de mes voisines grenouilles de bénitier, harceleures confirmées.
Il existait dans une pièce un réveil/caméra qui fonctionnait avec une microSD qui avait subi ce sort :
La propriétaire de la maison avait un grand gentil fils dégenré qui travaillait à la Poste de Paris où se trouve mon compte bancaire.
Malgré des demandes écrites répétées, il n’avait jamais été possible de mettre en place un virement régulier des loyers de compte à compte. Quelqu’un bloquait le processus .
A mon départ , la propriétaire m’avait rendu mon chèque de caution que j’avais encaissé avec un formulaire fourni par les bureaux de poste. Elle seule et moi le savions .... et son fils.
Et j’avais aussitôt reçu, en provenance de La Poste, un paquet de formulaires d’encaissement de chèques , que je n’avais pas demandé et dont je n’ai pas l’utilité . Futilité et gaspillage .
Ceci est une des manigances, sans grande importance, du harcèlement en réseau qui mobilise, pour rien, du temps de compréhension, et veut faire penser à la cible qu'elle est le jouet d'inconnus aux six coins de l'hexagone .
Ceci est une des manigances, sans grande importance, du harcèlement en réseau qui mobilise, pour rien, du temps de compréhension, et veut faire penser à la cible qu'elle est le jouet d'inconnus aux six coins de l'hexagone .
Utiliser une petite information ridicule , pour enclencher un processus de réaction adaptée d'un harceleur à 300 kms ....et qui surprendra sans doute une cible....... ce comportement malsain , sert à ajouter sa petite contribution de harceleur(e), censé inconnu aux frais des clients ou de la boite.
Le harcèlement en réseau ne coûte rien aux participants. Ils sont payés par leur salaire en le faisant , et en font en plus payer les coûts annexes, aux cibles elle-mêmes ou à leur société.
Le harcèlement en réseau ne coûte rien aux participants. Ils sont payés par leur salaire en le faisant , et en font en plus payer les coûts annexes, aux cibles elle-mêmes ou à leur société.
Et tout cela n’empêchait pas tous les gars du coin ( Saint Malo et le village) de passer leur temps de loisir et distraction à se cacher pour guetter et poursuivre ce qu’on leur avait désigné comme « leur » cible .
A qui le tour ?
https://lesharceleurs.wordpress.com/2019/05/22/haine-de-genre-un-ingredient-du-harcelement-en-reseau/
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