25 novembre - Les autres violences faites aux femmes



CHARLIE HEBDO - 20 novembre 2019 

Dans le cadre de plaintes, le site de la gendarmerie nationale propose  aux plaignants d’apporter  les preuves sur des supports numériques. 



Après une nuit épouvantable de tirs d’énergie pulsés vers le cerveau avec souffrances et privation de sommeil, j’étais allée à la gendarmerie avec ma clé USB  . 
La clé USB contenait les détections des tirs d’énergie correspondants aux éclatement douloureux dans le cerveau enregistrés par un appareil médical.  (EEG) 

Le gendarme avait refusé ma clé USB et mes preuves. Il assurait qu’il était interdit de connecter une clé USB,  peut-être polluée , sur un ordinateur de la gendarmerie. 

Son collègue , dans la pièce à côté , était venu dire que mes détections étaient  non fiables, parce que  faites par  une amateure, et avec un matériel non homologué. 
Face à des représentants de l’Etat qui ne font  pas de détections, ni d'enquêtes,  et ne font rien d’autres que contester, j’avais argumenté . 

Le gendarme de la pièce d’à côté m’avait coupé la parole
«  Mais laissez-moi au moins finir ma phrase »
«  Non, c’est vous qui allez m’écouter ! «  avait asséné le pandore 

La plainte pour torture par souffrance et privation de sommeil au moyen d’ énergie dirigée avait été , malgré tout, signée. 
Cette plainte au pénal  avait été  déclarée classée sans suite  par message ORAL , un samedi matin, soit, sous 24 heures chrono. Sans même la copie du prétendu mail de classement , censé envoyé par le parquet. 



Pour permettre à celles qui redoutent les  représailles des représentants de l’Etat de proximité, il existe la possibilité de porter plainte dans la gendarmerie ou le commissariat de son choix. 


Espérant la présence de femmes, et une écoute différente, j’avais poussé la porte d’un hôtel de police de la  ville moyenne  la plus proche. 
L’accueil de réception y avait été courtois. 

Mais la policière qui était venue mettre son grain de sel quand j’avais explicité ma situation, avait décidé de refuser ma plainte. N’acceptant qu’une main courante , qui , comme chacune le sait , ne sert à RIEN. C’était ça ou rien. 
Et pour aboutir au RIEN  , cette dame forte de son statut ,  avait opté pour une méprisante arrogance, et  des insultes ,  en proposant l' insanité mentale de la plaignante ( moi).

La policière avait refusé de se présenter, à ma demande, me menaçant même d'un procès en diffamation si j'osais raconté.



A défaut de réponse appropriée, le harcèlement criminel  électronique  prospère. 
Une nouvelle méthode ( mais connue) vient d’être inaugurée  ici,  depuis la nuit dernière : 
la brûlure de peau généralisée




Et pour celles  et ceux qui seraient en recherche d'une presse qui  pense autrement qu'avec les poncifs imposés par la dictature du patriarcat ,  il y a Les Nouvelles News 

et pour ceux qui réalisent que l’équité et l’égalité passe par le respect de l’autrE, il y a cette association :




et aussi le collectif de ceux qui veulent FÉMINISTER


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