Révélations explosives sur Pfizer : une interview exclusive avec Naomi Wolf


Dans une interview exclusive, Naomi Wolf, éditrice du livre « Pfizer Papers », présente les faits choquants concernant les vaccins contre la COVID-19, basés sur des documents internes de Pfizer. Alors que le monde continue de débattre de la gestion de la pandémie, les déclarations de Wolf, présentées hier au Parlement européen à l’invitation de la MEP Christine Anderson, soulèvent des questions cruciales sur la transparence et la responsabilité des grandes entreprises pharmaceutiques.
Un livre qui fait trembler l'industrie pharmaceutique
Le livre « Pfizer Papers », édité par Naomi Wolf, est basé sur une analyse approfondie de 450 000 documents de Pfizer, rendus publics suite à une décision de justice. Wolf, qui se définit comme une féministe et une défenseuse des libertés civiles, a réuni une équipe de 3 500 médecins et scientifiques pour examiner ces documents. « Ces rapports sont basés sur les documents internes de Pfizer soumis à la FDA », affirme-t-elle, insistant sur le fait qu'elle ne fait que relater les conclusions de Pfizer.
Voir la vidéo sur le site de France-Soir
Des allégations troublantes
Parmi les révélations les plus choquantes, Wolf explique que Pfizer savait dès novembre 2020 que les vaccins n'étaient ni sûrs ni efficaces. « Pfizer a conclu dans ses propres documents que les vaccins n'ont pas réussi à arrêter la COVID », dit-elle. De plus, des effets secondaires graves, dont des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, ont été documentés, ce qui soulève des inquiétudes majeures quant à la sécurité des vaccins.
Censurée et invisibilisée sur des informations critiques pour la population
Wolf partage son expérience de censure en 2021, lorsqu'elle a commencé d'alerter sur les problèmes menstruels persistants signalés par des femmes après l'injection d'ARNm. Elle déclare avoir été « immédiatement censurée » et déplore « une étrange campagne mondiale visant à [la] discréditer ». Cette censure a contraint Wolf à chercher refuge dans des plateformes alternatives comme « the War Room » de Steve Bannon, qu'elle décrit comme un allié inattendu dans la lutte pour la vérité.
Une réaction internationale
Les révélations de Wolf ont suscité des réactions au-delà des frontières américaines. Elle témoigne d'un intérêt croissant de la part de parlementaires et de journalistes européens, soulignant que « le progrès dépend des citoyens ». Elle appelle à une réaction collective pour exiger des comptes des autorités et des entreprises pharmaceutiques.
Un appel à la justice
Wolf exprime son espoir de voir les responsables répondre de leurs actes. Elle compare la situation actuelle aux procès de Nuremberg, soulignant la nécessité de respecter les lois internationales qui interdisent la coercition médicale. « Nous sommes en plein milieu de la bataille », déclare-t-elle. C'est aux citoyens de décider à se joindre à la lutte pour la vérité et la justice.
Des médias sous influence
Dans une critique acerbe des médias traditionnels, Wolf les accuse d'avoir abandonné leur rôle de gardiens de la vérité. Elle affirme que les médias ont collaboré avec les grandes entreprises et les gouvernements pour diffuser une propagande pro-vaccin, sans poser de questions critiques. « Beaucoup de journalistes et de rédacteurs en chef vont aller en prison », prédit-elle, pour leur rôle dans la dissimulation des vérités dérangeantes et avoir pris des financements, par exemple de la fondation Gates.
Hier au Parlement européen, Naomi Wolf, répondait aux questions des personnes présentes : Xavier Azalbert y était pour France-Soir
: en France, nous avons un ancien ministre de la Santé qui a déclaré
sur une radio nationale à propos des vaccins covid qu'ils étaient sûrs
et efficaces et qu'il n'y avait pas d'effets secondaires, allez vous
faire vacciner. Comme journaliste, j'ai déposé plainte contre lui (ndlr : avec le Pr Perronne) et la plainte a été rejetée, car je n'aurai pas eu un intérêt à agir. Vous
venez de mentionner la confiance, si nous ne pouvons pas faire
confiance aux politiciens pour ce qu'ils disent, si nous ne pouvons pas
faire confiance au système judiciaire comme journaliste quelles sont
selon vous les actions/demandes que nous devons/pouvons faire afin de
nous assurer que la réalité des faits est bien rapportée, tout du moins
les faits scientifiques corrects que nous avons ? Quels sont les recours
que nous avons, les mesures que nous pouvons prendre ?
Réponse de Naomi Wolf :
Voir la vidéo sur le site de France-Soir
Un avenir délicat qui s'éclaircit ?
Alors que les révélations de Wolf continuent de faire des vagues en Europe et ailleurs, la question demeure : quelle sera la réaction des autorités et du public face à ces allégations ?
Pour Naomi Wolf, le moment est venu pour les citoyens de se lever et
d'exiger la transparence et la responsabilité. À une époque où la
science et la politique s'entrelacent de manière complexe, le livre «
Pfizer Papers » incite à une réflexion approfondie sur l'intégrité et la
confiance dans nos institutions.
Les Pfizer Papers, version française aux éditions Marco Pietteur :
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