HCR- CRAPULERIES à Cap Olona




Ici, comme ailleurs, ces crapuleries sont organisées par des bandes locales qui prennent  sur place, le relais  des malfaisances dirigées vers et contre une cible . Ces bandes  de délinquants constituées existent dans chaque ville et village français et se composent de petits gars  harceleurs ou de petites vieilles d’à côté ,  « bien de chez nous » , qui votent pour une sécurité accrue et une surveillance de leurs biens plus efficace.
Les quelques exemples présentés, de nouveau,  ici, montrent des dégradations intentionnelles , à l’intérieur d’un appartement fermé à clés. Le mien .
 Les expressions  de cette malfaisance inconditionnelle organisée en bandes , sont des classiques de ce témoignage et donc de ce qui existe,  impuni en France . La même situation avait été reproduite  à Saint Malo (35) à Angers (49) à Troyes (10) à Paris (75), à St Julien des Landes (85), à Vannes (56) , à Dol de Bretagne (35) etc..  
 Les signatures  particulières  des méfaits recensés avaient souvent   révélé   les habitudes ou domaines de prédilection des uns ou des autres. Sans que cela soit exclusif . Parce que face à une cible de harcèlement en réseau , les gougnafiers français , non combattus, se pensent tous les droits à voler et dégrader. Et,  bien sûr, le vol ou la gratte *, est leur récompense personnelle assurée.
A Paris XIV, la concierge et Ms  Boumezza s’étaient  surtout acharnées sur la vaisselle et  mes vêtements. 
A Paris XV, JJ Walti , peintre et bricoleur , faisait des tâches sur les murs et le linge, et cassait tout ce qui était du domaine de la plomberie et de l’électricité .
A Paris XV , Mme Walti-Charlot et l’ex concierge couturière s’étaient acharnées sur le  linge et les tissus laissés à portée de main , pendant mes absences  ......
Pour être efficace cette délinquance de violations de domicile avec dégradations supposent 
  • - des guetteurs, dont des voisins  et d’autres en extérieur pour prévenir du retour imminent de la propriétaire des biens dégradables,  tels ceux d’hier soir et leur voiture immatriculée V 197 GW
  • - des acteurs  malfaisants et  de préférence  également  voisins et qui possèdent le double des clés .  Ils  font les dégradations  ou ouvrent leur appartement lors d’un besoin de repli de délinquants venus d’ailleurs.
Les dégradations présentées ici, sont comme souvent de type « anodin »  ou presque . C’est conçu ainsi 
  • - pour n’être pas repérable immédiatement 
  • - pour ressembler à de l’usure provoquée par une personne sans soin, ou pour sembler presque  « normal " et en tous cas assez insignifiant pour  ne pas valoir la peine  d’être mentionné

Ce jour-là en entrant dans la chambre, une odeur âcre prenait à la gorge. Un bref coups d’œil avait fait apparaître ceci : une décoloration sur un meuble qui avait été restauré et présentait depuis cette restauration , une couleur uniforme . Plus maintenant. 

Cela rappelait aussi ceci, fait à Dol de Bretagne (35) d’abord  sur  quelques chaises puis , avec plus d’audace,  sur la façade de deux meubles de la même famille.
                                                et                      
                       

L’un d’entre eux avait été finalement « brûlé » par des empreintes de clés. 

Comme souvent il y avait eu escalade des méfaits. A Dol de Bretagne, les LEBLAY-LE SENECHAL , sûrs de leur impunité , entraient même chez moi, avec leurs clés copiées pendant que j’étais sous la douche.

Dans cette même chambre, ici,  une petit meuble à tiroirs a également été victime de la hargne olonnaise . Comme ceci :


Ceci ci-dessous est un découpage fait sur un plateau, dans la cuisine. 


Ils sont deux de la même famille . Il n’y avait pas eu de jaloux. Le second avait également été abimé. Comme ceci  

Assez souvent, il est possible de repérer un endroit ou un moment où le délinquant /découpeur s’est énervé et a dérapé. Cela semble le cas ci-dessus. 
          
Dans cette même cuisine , une petite étagère de bois blanc a été tâchée. 
La tâche avait été faite , côté mur. Loin des regards.


               Cette chaussure , laissée avec l’autre dans la salle de bain, avait subi ceci  et qui ne correspond pas aux pliures naturelles du cuir. 

En y regardant de plus près, il semblerait même , d’après les « dents «  de cette découpe qu’elle  ait été faite avec un couteau de cuisine . A portée de main . 4 mètres plus loin.
Cela rappelle bien sûr un acharnement égal sur des chaussures encore ,   à Paris XIV, à Paris XV et encore à Dol de Bretagne.

Cela se passe maintenant,  ici, dans ce décor de carte postale , 


où, par ailleurs, les criminels de voisinage dégradent volontairement , et aussi, ma santé, par des « tirs » d’énergie dirigée .
Comme l’avaient fait LEBLAY-LE SENECHAL, WALTI/DE CERTAINES ,  ceux de VANNES, les vieux de SAINT JULIEN des LANDES et bien d'autres 
* voir la plainte contre Sofi-Ouest Gestion/ M LE ROUZIC , qui relève aussi  de la "gratte" par faux et usage de faux. cette plainte contre un frère, n'a jamais été traitée.

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