Dans le parking
Après l’article précédent, la nuit avait été totalement blanche , et le jour suivant, un dimanche, complètement noir . Si la fatigue a une couleur. L’appareil du corse fraiseur du A221 avait débité ses tirs incessants vers mon cerveau avec la férocité sauvage de son opérateur. Vers 16 h , j’avais pris la direction du parking . Allongée dans ma voiture, le cerveau avait pu décompresser. La fraicheur et le calme ambiant y étaient le cadeau du jour. Ça existe encore. Jusqu’à ce qu’arrive le 1 er signe avant-coureur des malheurs. Un sensation de piqûre intense sur un orteil et un état de suffocation prêt à éclater dans une toux sonore. « ON » me cherchait manifestement et avec un appareil qui renvoie des informations. Et je m’étais harnachée la boite crânienne d’électrodes . Le jeune portugais du 3 ème avait ouvert son garage, en face de mon véhicule. Il avait ouvert le coffre de sa voiture où il s’était affairé. Et les zappings ( sensations de ci