Dans le parking
Après l’article précédent, la nuit avait été totalement blanche , et le jour suivant, un dimanche, complètement noir. Si la fatigue a une couleur.
L’appareil du corse fraiseur du A221 avait débité ses tirs incessants vers mon cerveau avec la férocité sauvage de son opérateur.
Vers 16 h , j’avais pris la direction du parking .
Allongée dans ma voiture, le cerveau avait pu décompresser. La fraicheur et le calme ambiant y étaient le cadeau du jour. Ça existe encore.
Jusqu’à ce qu’arrive le 1er signe avant-coureur des malheurs. Un sensation de piqûre intense sur un orteil et un état de suffocation prêt à éclater dans une toux sonore.
« ON » me cherchait manifestement et avec un appareil qui renvoie des informations.
Et je m’étais harnachée la boite crânienne d’électrodes .
Le jeune portugais du 3ème avait ouvert son garage, en face de mon véhicule. Il avait ouvert le coffre de sa voiture où il s’était affairé.
Et les zappings ( sensations de cisaillements du cerveau) avaient commencé . Aussi intenses et barbares que ceux des 18 h précédentes et produits, eux, par le locataire du A221.
A cet endroit , dans le parking , l’appareil émetteur hostile était à 5 ou 6 mètres de moi et quasiment sans obstacle intermédiaire. Ce jeune homme était venu dans la parking avec sa deuxième voiture qui n'y a pas de stationnement. Il fallait donc penser aussi, qu'il l'avait utilisée pour transporter le matériel de recherche préliminaire.
Par ailleurs, son appartement donne sur la sortie du parking. C'est donc en surveillant cet endroit qu'il avait pu savoir que je n'étais pas sortie de l'immeuble.
Par ailleurs, son appartement donne sur la sortie du parking. C'est donc en surveillant cet endroit qu'il avait pu savoir que je n'étais pas sortie de l'immeuble.
Puis le jeune homme aux airs de gendre parfait avait fermé coffre et garage…. Avant de changer d’avis et de re-ouvrir garage et coffre de voiture pour une nouvelle intervention.
Les zappings avaient alors cessé.
En souffrance du cerveau , cet appareil diabolique enclenché par ce jeune homme qui pratique aussi le harcèlement des femmes, à pied et en voiture, avec ou sans sa bande nationale , donnait ceci en exemple :
Cela montre l'affolement des ondes captées par les électrodes recouvrant la boite crânienne . Ces ondes forment , normalement au repos , un tracé en minuscules dents de scie, comme déjà montré sur le blog https://lezarceleurs.blogspot.com
Et ceci, ci-dessus , montre l'énergie développée dans un cerveau tout soudain sur-excité par une souffrance aigüe imposée
Et ceci ci-dessus, correspond sans doute à ce que l’on a pris l’habitude de désigner par « effet caféine »
Mais, si un jour il a des filles et qu'elles sont "torturées" par des idiots sadiques ou "harcelées" par les mêmes, il eu aura été directement responsable, en perpétrant le crime de harcèlement .
Comme ma voisine.
Comme son fils.
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