" Vous allez quitter immédiatement ce couloir, ou j'appelle la police" D. Stephane


La soirée du 17-8  avait commencé avec deux tirs d’énergie  fulgurants, en provenance du A221. 
Denis Stefane , ou son complice, n’avait pas fait d’erreur. Ces deux tirs m’avaient atteinte sur le lit n°2, après une reconnaissance par les pieds .  
Ces tirs d’énergie dirigée en provenance de l’appartement du dessus  avaient impacté le lobe frontal avec précision .



Ces tirs-là ,  laissent en général , et comme indiqué  dans d’autres articles,  une douleur tenace au niveau du lobe pariétal et du cervelet.  C’est au niveau de cette zone du cervelet que les démangeaisons et les brûlures restent  aussi  les plus intenses  et  les plus constantes, donc  longtemps après les tirs.
Ici, dans mon appartement , zone privative s’il en est , une nuit de violences/représailles  à l’article 
venait de commencer. 
Car, selon la loi de cette mafia protégée, Denis Stefane aurait  le droit de torturer par des tirs d’énergie dirigée , une personne , chez elle. Il aurait en plus  le droit de se venger d’être  dénoncé.  A défaut d’être empêché  de torturer par les fonctionnaires qui ont cette obligation .
Une nouvelle fois, j’étais montée  à l’étage supérieur pour des explications avec le tireur fou du A221.  Une nouvelle fois, personne n’avait répondu. Il était 21h ++.
 Alors  je m’étais installée  dans le couloir, protégée ainsi des tirs directionnels  à la verticale  , et  de la fureur du tueur de femme local.
Vers 22H30 ,  Denis Stefane avait ouvert sa porte et pointé sa poubelle. Avant de se mettre à hurler :
«  vous allez quitter ce couloir immédiatement , ou j’appelle la police »
« Mais le couloir ne vous appartient pas » 
Sur ce , il avait laissé sa poubelle en plan , pour un retour rapide chez lui. Les bruits ambiants indiquaient  un  remue-ménage de rangement. Pas d’appel téléphonique.
J’ étais allée chez moi , chercher la mienne , de poubelle. Et on s’était retrouvés  dans le local  des containers poubelles du rez de chaussée. Son 1er réflexe avait été d’arracher ma clé  de la serrure de la porte pour la taxer. La clé.
Puis étaient venues les menaces de me buter. J’avais attendu. Des présences aux balcons du 1er étage l’en avaient  peut-être dissuadé. Ce serait pour plus tard. En attendant , il avait continué  avec  ceci, et pendant toute la nuit : 
La ligne , en jaune, indique les fréquences
FP, donne la fréquence porteuse du tir
Les lignes , en marron, représentent les "tirs"
Les lignes, en bleu, montrent des lignes intercalaires qui ont été supprimées

Cette nuit –là encore  avait été terrible. 
Cette anecdote, qui semblera sans doute banale à beaucoup,  montre cependant et  malgré tout , une nouvelle fois,  la mentalité des individus  aux airs presque  normaux  , et qui exécutent les basses œuvres  de cette organisation criminelle . http://etouffoir.blogspot.fr/2014/10/une-organisation.html .
  • - Un résident/locataire qui se conduit tout naturellement  comme si   certaine partie privative ( mon appartement   qu’il rend invivable) et les parties communes,  lui appartenaient ,
  • - Un individu qui pense qu’il a le droit de  donner des ordres  à un autre résident surtout si c’est une résidente , et qu’il   pense aussi  avoir le  droit de tuer,
  • - Un individu qui  menace de mesures de rétorsion  encore différentes de la torture par énergie pulsée et qui le fera sans doute  faire par d’autres, comme c’est l’habitude de ce système mafieux. 
Il suffira pour cela  de demander d’autres  idées à M.  Sublard .  http://lezarceleurs.blogspot.fr/2014/04/air-france.html


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