Mourrir en femme-tronc aux Sables d'Olonne

de Jérome Abramovitch

Ça aurait pu m’arriver la nuit dernière.  J’aurais pu finir coupée en deux par la chute  brutale de deux plaques de cheminée, posées sur la table et  au-dessus de ma tête , en protection.  18 kgs au total pour les plaques de cheminée. Plus le reste.
C’était la 3ème fois qu’une mort violente  à la maison , m’était évitée par mon destin.
La 1ère impression de mort ratée,  avait été provoquée à Paris XV , par des tirs d’énergie du psychopathe Jean-Jacques Walti. De son appartement, vers le mien. J’étais passée à côté d’une crise cardiaque. Malgré mes plaintes au pénal,   Jean-Jacques Walti , comme Denis Stefane ici, pouvait me martyriser à son gré. 

Pour une deuxième fois , j’avais échappé, par un réflexe de survie inattendu,  à un écrabouillement dans mon lit aux Sables d’Olonne



Cette fois, aux Sables d’Olonne encore,  c’est à  l’excitation du cerveau ( effet caféine des tirs d’énergie successifs = sans doute gamme d'ondes gamma ) que je devais ma peau. En sentant commencer  l’éboulement des protections posées sur la table ,  le cerveau avait commandé un geste brusque : le repliement des jambes. Les genoux proéminents  avaient dévié la chute des matériaux, protégeant du même coup les jambes d’un sectionnement. 
Le raffut  des plaques de métal tombées  sur le sol, m’ avait semblé  impressionnant. Aucun voisin n’avait râlé. Denis Stefane , non plus. Il avait seulement cessé momentanément  ses tirs d’énergie vers mon cerveau douloureux.
Il faut dire qu’il avait du plaisir sadique à rattraper, puisque j’avais une nouvelle fois quitté l’appartement  pendant plusieurs nuits d’affilée, le privant de son jeu favori de corse sadique. 
De retour aux Sables d’O., et en prévision d’une nuit de torture accrue  par énergie pulsée, mon  campement de nuit avait été organisé, tête sous le plateau de la table. Lequel plateau était surmonté   des habituelles épaisseurs de protection de la tête, censées stables.


Et Denis Stéfane qui voit ou sait tout ce qui se passe dans mon appartement , avec ses comparses en relais , avait visé, sans faute et de façon ciblée une énergie violente et  percutante vers ma tête.
Pour sa démo de puissance dominatrice sadico-ludique , Denis Stéfane  ou comparse , avait réglé sa  machine en augmentant  la capacité de  pénétration de l’énergie , à plusieurs reprises.   J’avais suivi,  avec des ajouts de protections successifs. Et avec au final, on top,  deux plaques de fonte de 9kgs chacune.  Jusqu’à ce que tout s’effondre.

Ces tirs d’énergie dirigée qui s’adaptent  à l’efficacité mise à mal des protections , semblent avoir plusieurs  fonctions
  • - Rendre le sommeil impossible ( torture)
  • - Détruire les fonctions vitales du cerveau ( neutralisation) 
  • - Faire sortir  la cible  de son appartement  pour une tentative de  nuit de sommeil  en voiture et enclencher ainsi  une participation ludique extérieure  des membres des réseaux criminels qui participent (compromission d’autres acteurs occasionnels) .
Cela se fait de plusieurs manières et en fonction du contexte  :
  • - Par  des passages répétés de caravanes de voitures avec des participants qui font des tirs au laser ou aux ultrasons en passant rapidement près du véhicule  de la cible.
  • - Par des tirs  d’énergie au moyen de  générateur de HF, laser ou ultrason, appareils  compacts et   facilement transportables  , à partir de fourrés avoisinants  quand  la cible a choisi la campagne   .
  • - Par la mise en proximité du stationnement de la cible , d’un véhicule pourvu d’un appareil  générateur de RF et qui « arrose «  indifféremment le voisinage désert, à l’exception de la cible.
  • - C’est également le cas de figure retenu pour les parkings en sous-sol d’immeuble ou de stationnement urbain .
  • - Par la mise à disposition, dans une maison de complice, du même type d’appareil , si la cible a pris l’habitude de stationner son véhicule  face à cette maison ou cet endroit normalement et logiquement  protégé de HF ( ex :  rue d’Artimon,  rue de  Bargeouri et quelques autres.)
  • - Il faut se souvenir que pour une cible de harcèlement en réseau, deux fois est une habitude. La première fois a forcément  été observée par le réseau des tortionnaires/anticipateurs à l’affut , et qui,    surpris par l’initiative de la cible ,  se chargera d’ éviter toute récidive qui lui procurerait  de la tranquillité .
Ce système  criminel est un phénomène pérenne . 
 Il n’a pas été inventé pour moi.
 Il utilise des "tireurs" qui viennent faire des exercices ( peut-être payés) sur la cible mise à disposition par le voisin. 
Il pose bien évidemment de multiples questions de complicités, de protections , de compromissions des fonctionnaires et  des élus , de délégations de pouvoir usurpé par des groupes criminels en collaboration avec des gens ordinaires * (1) , et  d’impunité  assurée à des dégénérés  connus et dénoncés. 



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