Arc de feu à l'ARC EN CIEL


L’arc de feu est une désignation imagée pour caractériser l’énergie qui avait soulevé  le matelas de ma chambre d’hôtel, et moi avec . Chambre 19.

La narration suivante  montre l’organisation facile du harcèlement en bandes organisées , avec un peu de technologie et beaucoup de complicités cachées . 

Cela se passe dans une petite ville de province française ( Les Sables d’Olonne) où des acharnés fachos , ne savent pas qu’une femme est un être humain comme les autres et qui a le droit au respect de ses droits et de sa vie privée  . Sans parler de sa santé ! 



Ma voiture avait été laissée 1 km plus loin. En zigzagant par les rues étroites  de cette ville, j’avais atteint l’ARC en CIEL, un joli  petit hôtel proche de la mer et  qui émerge d’un coin de rue.

Avec une identité tronquée et un paiement en espèces, j’avais tout bordé en matière d’anonymat.  
Le directeur adjoint de l’hôtel m’avait accordé la chambre 32. Clé en poche , sans visite préalable , j’étais repartie.

Mais, semble-t-il , dans cette ville encore, une cible reste la cible de tous.  Surtout de ceux qui transgressent leur qualité ou leur fonction, assurés de la couverture de  leur bonne réputation habituelle .



Le soir, sitôt sortie du  parking en sous sol de mon immeuble, j’avais fait face à une caravane de harceleurs en voiture. Dont le très énervé 44, de la rue de la Bonne Vierge, et qui faisait vrombir son moteur de plaisir quand il me croisait de nouveau.

Il y avait donc, à Cap Olonaune forme d’ alerte qui signalait mes sorties en voiture. Selon mes  nombreuses observations et détections , elle serait  aux mains du jeune portugais G33, aux airs d’enfant de chœur. 
Celui-là même qui était  entré   dans mon appartement la nuit avec ses copains voyous, et  alors que j’étais  dans mon lit.

Pour ce soir du 18-11, ma voiture avait été stationnée à une bonne centaine de mètres de l’hôtel Arc en Ciel. Le directeur adjoint était dans la rue à téléphoner .  
Besoin de discrétion  Mr Rocheteau ? 

La chambre 32 s’était avérée  particulièrement chargée en champs électro magnétiques , m’incitant à demander immédiatement un échange. 

La jeune femme de la réception avait proposé la 06. 
Refusé par l’adjoint à la direction, qui avait pris les clés des chambres 19, 22 et 23 pour m’accompagner. 

Les spots WiFi étaient dans les couloirs. La chambre 19 , en était la plus éloignée. C’était OK. Elle était située juste au-dessus de la 06, qui était donc VIDE d’occupant. J'apprendrai le lendemain de la gérante, que la chambre au-dessus était également vide. Ce qui permet une déstabilisation par la technique de l'étau.*(1)

A ce stade, le soir du 18-11,  seuls les deux jeunes femmes de l’accueil et l’adjoint du directeur connaissaient mon numéro de chambre.

Dans la chambre 19, j’avais assez peu attendu , avant d’être soulevée avec le matelas par une poussée d’énergie venant du dessous.


La détection avec l’appareil posé au sol et muni d’ une antenne omnilog donnait ceci  ci-dessus :
Ces valeurs  auraient été multipliées  de 4 à  5 fois   par  une détection faite avec une antenne directionnelle.

Cela avait continué avec ceci :



et cela :


avant que ne commencent  les  sifflements pulsés,  façon  D. STEFANE 

.Les cons pions de cette ville étaient, une nouvelle fois, en mode pleine expression,   par complicité de transgression de personnel interposée.

Ici, comme souvent , il y avait double tromperie : 
- escroquerie d'un client qui paie une prestation transformée en torture et mise en danger de sa santé.
- tromperie à l'égard de l'employeur dont la réputation souffrira  de l'inconséquence de son employé.

J’avais quitté  l'hôtel Arc en Ciel pour ma voiture.

Là, les tirs d’énergie par déclenchement du mouchard GPS , planqué dans mon véhicule et non localisé à ce jour , avaient commencé. 

Et,  chaque déplacement  de mon véhicule avait été suivi d’une farandole de voitures  de cons   harceleurs , dont le devenu habituel de Cap Olona,  AV ---MM. 

Interrogée le lendemain, la gérante apparemment incrédule de l’ARC en CIEL , avait déclaré avoir toute confiance  dans ses  collaborateurs. 

Pour le matelas soulevé et moi avec , elle avait émis l’hypothèse d’un dérèglement des spots WiFi ou autre.


Ce qui signifierait, si je comprends bien la logique  de cette hypothèse  que je serais responsable d'attirer des tirs d'une énergie qui viendrait se mettre juste à la verticale en dessous de l'endroit où je me trouve . 


Fortiche ? non ? 

A défaut de preuves et  de détections, c'est ce qu'une cible de cette forme de criminalité cachée  obtient comme réponse. Ni excuse. Ni réparation.





Comme le montre cette nouvelle anecdote criminelle , 

les femmes cibles  de harcèlement criminel global de ce pays, sont 


tout particulièrement  en danger,  par négation de leurs droits et de   ,
leur liberté et par intrusion systématique dans leur espace privatif. 


Le 25 novembre de chaque année est un moment pour le faire 

savoir et le dénoncer, et enclencher une spirale vertueuse grâce

à toutes les personnes de bonne volonté.




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