Un chantier - Harcèlement en réseau
Un chantier est une situation tordue en général fabriquée par des employés du Ministère de l’Intérieur.
Le chantier désigne donc surtout un piège fabriqué avec l’intention de nuire à une personne et dont les représentants des forces de l’ordre et de la sécurité ont le quasi monopole.
Un chantier est une des expressions du harcèlement en réseau .
Ainsi , quand une situation piège biaisée est fabriquée par un avocat marron avec la complicité d’un huissier de justice ou d’un greffier de justice on parle plutôt de harcèlement en réseau.
Si la situation tordue est manigancée par des représentants de l’ordre et de la sécurité de l’Etat , le mot « chantier » est plus couramment employé.
Comme dans le harcèlement en réseau dont il est une facette à particularités , un chantier mise sur une apparence de normalité, de régularité, ou de légalité pour fabriquer une situation qui piégera un citoyen . Ici, une victime.
L’apparence de légalité ou de régularité de la situation tordue fabriquée est donnée par la fonction, le titre, ou l’uniforme des acteurs .
La « matière » qui permet ce chantier est fournie par un document ou une situation existante concernant le citoyen à piéger . Cette « matière » sera donc détournée de sa fonction ou utilité de base , grâce aux outils de travail des fonctionnaires d’Etat ( uniforme, possibilité de convoquer ou de prendre des décisions aux apparences légales) pour être utilisée en la transformant de façon à y piéger leur victime.
La victime subit donc une double peine :
- son état de harcelé ou violenté( par exemple)
- et le piège fomenté par des fonctionnaires d’Etat , et qui se retourne contre elle , la victime, pour la coincer d’une façon ou d’une autre, et/ou l’empêcher de se défendre .
Ici, il existait une plainte avec CPC contre Mme B. Cette plainte incluait donc, comme le veut la loi, la plainte préalable portée auprès du procureur et qui n’en avait rien fait.
Une plainte avec CPC , consignation payée, relève donc alors seulement d’un juge d’Instruction qui l’a acceptée mais surtout de sa greffiere et qui fait à peu près ce qu’elle veut, ce qui inclut ne pas répondre aux LAR.
La greffiere peut donc , par copinages et demandes interposés, aussi , faire ce qu’ »on » veut lui faire faire.
Cette greffiere -ci, plus particulièrement, est liée à un représentant des forces de l’ordre du département.
Et la copie de la plainte au procureur de son dossier ( le mien) , s’était soudain trouvée entre les mains d’un représentant des forces de l’ordre du département et qui m’avait convoquée alors que j’étais S.D.F. et injoignable.
Le représentant des forces de l’ordre qui convoquait n’était bien sûr pas le parent de la greffière indélicate et indiscrète, mais son subalterne . Ici, « sa » subalterne.
La consciencieuse subalterne , croyant en sa tâche , avait continué de convoquer la S.D.F (moi)……pour un dossier qui était, bien sûr , prévu à classer sans suite .
Avec mon déménagement ailleurs, le dossier était passé en gendarmerie.
La gendarme qui avait par 3 fois refusé de préciser le motif de cette convocation avait eu le mauvais goût de me dire ce qu’elle, ou son encadrement pensait de moi .
Extrait du texte suivant :
Sur place, au lieu de m’interroger sur l’objet de ma plainte, la gendarme avait questionné sur une circonstance aggravante .
Cette circonstance aggravante est l’objet d’une autre plainte et qui se trouve au B.O. du tribunal de grande Instance des Sables d’Olonne . Pour interroger sur cette circonstance aggravante en tant que sujet principal , il y avait donc matière à , et sur la base d’un autre document, précisément entre les mains de Monsieur le Procureur .
Cette entourloupette signait assez clairement la manigance en bande organisée d’employés de l’Etat .
Sans réponse de ma part sur cette annexe à la plainte, la gendarme avait bifurqué sur une autre annexe de la même plainte, et également sans intérêt.
Pour donner une apparente consistance à son PV, la gendarme avait recopié tout et n’importe quoi.
La comédie était grotesque et s’était bouclée rapidement avec un refus de la copie du PV établi .
Un avis de classement sans suite à la plainte contre B. était arrivé à mon domicile quelques jours plus tard.
Dans un chantier , concocté en catimini par des représentants de l’Etat en bande organisée, la question principale est toujours « à qui profite le chantier ? » .
Les questions subsidiaires dans le cadre d’une manigance élaborée par des fonctionnaires d’Etat ( chantier) avec les outils de leur fonction , sont aussi
« à quoi sert ce chantier ? » ( faire classer par des pandores une plainte qui dépend d’une autre instance judiciaire, après avoir fait signer un PV au citoyen « mal » convoqué)
- « qui a concocté ce chantier en amont ? «
- « qui est capable de détourner une greffiere de justice des obligations de sa fonction ? «
- « qui est capable de détourner des policiers et gendarmes de leurs règles de déontologie pour leur faire jouer de pareilles et malheureusement , habituelles, comédies ? «
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