Une gendarme rit d'une victime


Une gendarme, même enceinte , n’est pas payée pour se payer la tête d’une victime de harcèlement criminel.
Dans cette brigade de 33 pandores, il y avait 6 femmes et qui l’avaient oublié. C’est une maréchal(e) des logis chef qui avait été choisie pour cette nouvelle comédie d’amusement de la caserne.

Le type de comédie en question , exercice  protégé de fonctionnaires, s’apparente au "théâtre de rue " du harcèlement en réseau . 
Le "théâtre de rue " est reconnu des cibles de harcèlement en réseau à travers de courtes scènes  de quelques minutes et qui font allusion à une anecdote de la vie de la cible.
Le théâtre de rue est  concocté et joué  en pleine rue ,  par des  harceleurs , inconnus et  sans uniformes .

Cette fois là, c’est un vigile de Monoprix qui m’avait agressée pour essayer de me confisquer mon appareil photo par la force . L’appareil avait  seulement fixé la bouille bouffie du mafieux harceleur   à mes trousses dans le magasin . 
Ma plainte contre le vigile avait été retournée contre moi par le lieutenant FERRIER et son commandant ARNAUD. 
De victime  d’agression physique violente, j’étais devenue  accusée d'être devenue  voleuse de  papier Q crayons . 

Sortie  du commissariat de Paris XIV plutôt estourbie, j’avais eu dans les pattes ,  de face et bien en évidence , une petite dizaine de photographes amateurs ,  sur à peine 400 mètres. L’un photographiait une crotte de chien, l’autre le sommet des arbres, l’autre un banc  . Débouchant d’une rue perpendiculaire , un autre avait immortalisé mon air incrédule et surpris .

Le théâtre de rue n’est , en général , interprétable que par la cible à qui est destiné ce spectacle  débile , censé la déstabiliser par sa réactivité surprenante  et la disponibilité des cinglés participants . 

Là, la maréchal(e) des logis chef m’avait priée de me présenter par une fiche ,   sans enveloppe de confidentialité, sans timbre d’économie. 
Des policiers de la municipale,  des braves à ses ordres,  avaient porté ses 4 avis  à mon domicile.
Malgré mes demandes écrites  ,  envoyées sous enveloppes timbrées, et interrogeant sur  le motif de ce besoin de me voir  en gendarmerie,   la maréchal(e) des logis chef n’avait rien précisé . Sauf la prétendue « urgence », et notée en ROUGE, la seconde fois.

Sa 3ème demande se présentait ainsi :



Contrairement à ce qu’écrivait la maréchal(e) des logis chef , je n’envoie pas de courriers  au procureur de la République. Seulement des plaintes  ,  et toujours par lettre recommandée avec accusé de réception. 
Toute demande à présentation en gendarmerie  , suite à une plainte reçue  par le BO et acceptée par le procureur , devient alors une convocation .

Cette comédie du pseudo-secret  par  fonctionnaires d’Etat , mais  sans souci de confidentialité , intriguait. J’avais été  sur place prendre rendez-vous avec la dame 

Ce déplacement m’avait surtout appris que les harceleurs  corses ne me lâchent pas d’une 1/2 heure. La preuve par  BH941VK (2B), en repérage de mon véhicule laissé 300 m plus loin, dans un parking privatif.

La  rencontre au jour J  , avec la maréchal(e) des logis chef, avait débuté par une stridente comédie. Un collègue de la dame avait déclenché un appareil dont le sifflement  aigu  faisait dysfonctionner les appareils   des  gringos de la salle d’attente. 

Le reste était à l’avenant. La maréchal(e) des logis semblait tellement s’amuser qu’elle était même incapable de noter correctement les patronymes que je lui avais épelés. 
Après avoir re-imprimé son texte trois fois et sans égard pour la gramère ou l’ortograf, elle m’en avait refusé la copie. 
Un comble pour une victime  d’infraction pénale….., mais  normal dans le cadre d' une comédie de harceleurs en bande organisée .



Quelques jours plus tard, je recevrai ceci ci-dessus ,  et qui nous apprend que la gendarmerie n’a pas besoin de la justice pour classer ses  mascarades .


ci-dessous , dessin de Gross



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