Sonneries de portique

La sonnerie  du portique avait retenti alors que j’allais  dans l’autre sens, de l’intérieur  de la médiathèque vers l’extérieur  et avec 4 livres dans les bras.  
Pourtant , les  codes-barres des livres avaient été scannés. Le matériel  ad hoc avait fonctionné sans balbutiements. J’étais OK.



Ici, la photo est prise de l’extérieur.
Le personnel de cette médiathèque avait jusqu’ici été exemplaire :  pro, décontracté, courtois, et payé pour l’être. 




Faisant marche arrière sous l’effet de la sonnerie, j’avais avisé façon rigolarde la dame de l’accueil  qui me regardait impassible ,   : «  pourtant j’ai tout passé au détecteur ( scanner)  et même avec un papier qui le prouve » Elle m’avait regardé fixement sans broncher.
Et , c’est un employé  caché derrière le pilier qui avait répondu  « ça arrive parfois » ajoutant , façon autoritaire  «  Allez-y ». Pas d’excuse. 
Et voilà! 
C’était donc  le doigt de l’employé-appolon-de-service  qui avait déclenché  tout ce ramdam.



Rien de grave .  Mais, là encore,   l’employé  qui prétend bien sûr ( mais pas , sa  mutique collègue) que c’est le matériel qui débloque , n’est pas payé pour embêter les clients .  

Une longue habitude d’une bonne quinzaine d’années de sonneries de portiques mises en fonction artificiellement à mon approche, permet de pointer du doigt les participants du harcèlement en réseau de ce niveau-là. 
Il s’agit -là du  tout venant du harcèlement en réseau  de premier niveau . Des niaiseries à prendre pour ce qu’elles sont et  qui montrent  le besoin d’une démonstration de  supériorité d’un individu  caché derrière son nom de métier, et assorti  d’une rigolade  ultérieure avec sa bande .

Car, le déclenchement artificiel  d’un portique  de sécurité se fait tout simplement en appuyant sur un bouton . Cette façon de procéder  est  habituellement destinée    à prévenir d’un vol, d’une anomalie, quand les employés sont sérieux , honnêtes et conscients d’être payés pour l’être. 
Dans le harcèlement en réseau , la sonnerie du portique de sécurité  sert à ostraciser et/ou  déboussoler la cible  des réseaux qui utilisent ce subterfuge pour retarder la cible , la désigner à l’opprobe publique ( voleuse potentielle) , lui  faire déballer  ce qu’elle transporte et/ou  fouiller ses affaires personnelles .  

Dans certains cas ,  la très sérieuse fonction de sécurité des biens et des personnes dans l’enceinte du  lieu de travail. est donc détournée au profit  d’un exercice  de petite domination  imbécile, appelé  incivilité ,  provocation , ou rigolade facile,  mais censé être humiliant  pour la cible. 

C’est un autre classique du harcèlement en réseau et que j’avais subi des dizaines de fois 

L’origine  de  harcèlement par l'usage intensif des sonneries de portique de sécurité , semblait avoir été   une agression physique violente par un vigile  noir du Monoprix de Montparnasse et qui avait essayé de m’arracher mon appareil photo des mains.  

Dans ce magasin, une  photo avait été prise fissa ,  de l’homme d’honneur  taïwanais  FM et  psychopathe   à mes trousses ,  que des flics réglos avaient renvoyé dans ses foyers taïwanais .Des franc-maçons de l’armée l' avaient fait revenir en le mariant . Et cette fois-là, il me poursuivait.
Le vigile, ordre de son oreillette,  devait faire disparaitre la photo. 

Ma plainte contre la violence physique  du vigile avait déplu . Le vigile était un copain des flics du XIVème. La  plainte  pour violence physique avait été transformée contre moi, en plainte du vigile pour vol et agression sur sa personne. Le tout avait été assorti de menaces de représailles. Les plaintes avaient fini à la poubelle du commissariat .  Pas les représailles.

Les représailles avaient été  manipulées et faites par la communauté  globale des vigiles, par  des noirs,  et  par de flics ripoux. Tous impliqués par ma réaction.

Parmi les sonneries de portique  subies et entre autres, on trouve celles -ci : 

- aux Galeries Lafayettes  du XIV ème où un vigile avait ajouté une puce RFID au milieu de l’article  que j’avais choisi  . L’article avait été vérifié avec la vendeuse  sans puce RFID. Le vigile avait ajouté la puce RFID arrachée d’un autre article ,  entre le moment de mon choix et mon retour de la caisse où j’avais été payer .  Il me l’avait annoncé en me heurtant de l’épaule. Le portique avait sonné . Des vendeuses avaient accouru. On m’avait fouillée.

- au Bon Marché Paris VII où les portiques sonnaient systématiquement  dès mon entrée, puis à ma  sortie du magasin . 

- dans de très nombreuses grandes surfaces et autres magasins de proximité  où l’on exigeait  de façon tonitruante pour attirer l’attention, la fouille de mon sac à main ou le vidage  de mon sac à dos

- à l’entrée  du Sénat où, en plus, l’hargneux préposé m’avait annoncé que mes lettres aux sénateurs iraient à la poubelle 

- à l’embarquement de vols dans l’aéroport CDG  et pour prévenir tous les harceleurs volontaires et disponibles sur place «  qu’il y en avait une  à harceler » à bord et plus tard. 
Au départ d’un vol vers le Canada, la sonnerie avait été enclenchée alors que j’étais devant le comptoir. L’hôtesse avait proposé d’utiliser le suivant 5 ou 6 mètres plus loin. Et la sonnerie avait retenti à ce nouveau comptoir. Agacée l’hôtesse , avait prié le préposé  à la sécurité de cesser son cinéma. Il avait obtempéré. 

- et même à Melbourne-Australie à l’entrée du Parlement , et où un vigile italo-corse avait voulu m’empêcher d’entrer, à coup de sonneries répétées du portique. C’est un autre employé , d’origine sri lankaise ou indienne et sans doute le supérieur du premier,  qui était venu me prier de le suivre , pour rejoindre le groupe de la visite guidée qui allait commencer.  



Un grand nombre de ces anecdotes  de harcèlement par sonnerie de portique , ont été racontées sur des blogs disparus et ceux qui restent.  Ce type d’anecdotes  montre l’utilisation des réseaux  et réseaux sociaux pour  guetter ,  suivre , poursuivre et harceler  une cible sur la plan local, national et international. 

Les harceleurs le font  en s’appropriant  et détournant leur ou leurs outils de travail, pour accomplir des actes malveillants cachés derrière l’immunité de la fonction.  .


Cette toute  récente  anecdote est aussi  destinée à rappeler aux victimes : 

- que le déclenchement de la sonnerie ne signe   sans doute pas ou du moins pas forcément une réaction à un  implant  comme le craignent certaines cibles , mais qu’il participe à une forme d’ostracisation de la victime,   par des êtres qui utilisent leur qualité qui les protège , pour exprimer leur besoin de  domination ou procéder à des vengeances mutualisées  de domination.

- que le harcèlement en réseau  de base est  souvent  caché sous un nom de métier. Il est insidieux , majoritairement mécréant  et relève d’une volonté d ‘humiliation de la cible. 

- que ce  type de harcèlement  en réseau , est rendu possible par des collusions cachées , à tous niveaux  corporatistes ou ethniques , et   s’ajoute à une surveillance tout aussi cachée et constante et confiée à des petites mains , caïds locaux , guetteurs,  ou enfants/apprentis  harceleurs ,  et volontaires .

Ici, la veille ,  en sortant de la médiathèque après la mise en ligne du billet « Poisson d’Avril » mentionnant le harcèlement délinquant  de mes voisins , j’avais eu droit à  une séance d’intimidation par de jeunes caïds locaux,  et peut-être cousins ou copains  de l’employé .

Ils sont , aussi, en liaison avec certains de mes voisins qui les aident à me déloger.  
C’est un jeune beur déménageur qui, à mon arrivée déjà,  m’avait annoncé la couleur «  VOUS NE RESTEREZ PAS «  * (1)  Ce qui signifiait «  ON VA VOUS RENDRE LA VIE IMPOSSIBLE « 
 Après la mise en ligne de « Poisson d’avril «  , la nuit avait été torride …… de souffrance brûlante par l’électronique. …. En attendant , la prochaine . Là. 


* (1) http://lezarceleurs.blogspot.fr/2017/09/cuisson-de-femme-lelectricite.html

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