Harcèlement en réseau et vols
La môme fonçait vers moi avec son mini-caddie de future consommatrice , sans regarder. La jeune mère , à ses côtés, fixait un point derrière moi, l’air effaré. En me retournant , j’avais fait bouger le père de la petite. Et il m’avait doublée pour rejoindre sa petite famille.
Mon sac à dos était ouvert. La paire de lunette de vue , posée sur le contenu du sac à dos avait disparu.
Cela se passait devant les caisses d’une grande surface . Le 24 août 2018.
15 kms plus loin, le 6 septembre 2018 , ma voiture, déplacée par commodité à proximité de la route , mais sur le terrain privatif compris dans ma location, avait été laissée ouverte, entre 10h et 14 h.
Dans cet intervalle de temps , la paire de lunettes volée le 24-8 , avait été déposée par X , près du levier de vitesse , dans la voiture.
Il y avait 4 personnes susceptibles d’avoir eu accès à mon véhicule , dont une , beaucoup plus vraisemblable que les autres .
Ces détails sont, de nouveau , destinés aux cibles de harcèlement en réseau pour rappeler qu’Il s’agit d’une méthode assez basique de harcèlement en réseau de proximité, avec vol temporaire.
L’objet volé est gardé (ici) le temps d’un nouvel achat obligé pour la cible , ou le temps d’une opportunité pour qu'un comparse dépose cet objet dans un endroit pratique mais improbable .
Ces manigances qui amusent les niaiseux en bande organisée supposent
- que le crétin voleur sache que X est une cible à ennuyer
- que le même crétin fasse parti d’un réseau à qui il transmettra l’objet volé
- qu’un autre niaiseux qui a des facilités d’accès à l’habitation de la cible au sens large , puisse remettre l’objet après un certain délai et selon les occasions.
Cette anecdote , ici, rappelle vaguement celle d’Arthur Pass (NZ) racontée en détail dans un blog précédent . A savoir :
- la petite maison que j’avais trouvé à louer n’avait qu’une pièce : la chambre
- dans le cadre de ma location, j’avais accès à la pièce commune, à la cuisine , à la salle de bain de la maison éloignée de la mienne d’une dizaine de pas. Cette grande maison comprenait plusieurs chambres retenues par d’autres voyageurs.
- installée dans la pièce commune , alors qu’un orage de montagne s’état déchainé, j’avais utilisé mon ordinateur avec une clé USB
- un diplomate suédois en poste à Melbourne (Au), en voyage de 3 jours en NZ avec femme et enfant , et locataire d’une des chambres de la maison m’avait interrompue à plusieurs reprises pour offrir, chocolat, re-chocolat , thé …. et ras le bol. J’avais rangé ordinateur et clé USB sous le regard indiscret du suédois, pour aller faire des gui-li-gui-lis à sa petite Eleanor et lui apprendre des mots de français.
- tout soudain, malgré l’orage et les bourrasques de pluie et de vent violent, le suédois était sorti
- de retour dans ma maison avec ordi et sac à dos où était rangée la clé USB , pour reprendre mon travail d’écriture , il me manquait la clé USB.
- Avant la nuit, j’avais occupé la salle de bain commune de la grande maison
- Au retour dans ma petite maison, j’avais trouvé ma valise ouverte . La clé USB avait été jetée dans la valise.
- le lendemain matin , les suédois étaient partis très tôt pour un retour en Australie.
- sur la porte du bureau qui centralisait les locations, le suédois avait scotché les clés qu’il avait utilisées. L’une des clés rendues était le double de la clé de ma petite maison et que lui avait fourni le responsable des locations.
Le seul endroit avec ordinateur et WiFi , était une salle proche du bureau des locations.
Il est très vraisemblable que le suédois sorti pendant l'orage, y avait été pour transmettre le contenu de ma clé USB à un correspondant .
Il est quasiment certain que le suédois avait obtenu le double de la clé de ma maison , du responsable du bureau de location.
Je ne connaissais ni l’un ni l’autre . pourtant , l’un et l’autre avaient décidé ou accepté de me nuire et s’en croyaient le droit.
Nous étions en Nouvelle Zélande
L’un était suédois, en vraisemblable contact avec mes ennemis qu’il avait alimentés en informations volées à la source .
L’autre était néo-zélandais et travaillait dans le tourisme où il aurait du avoir pour mission annexe de sécuriser le séjour d’une cliente.
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