Harcèlement en réseau- les vols
Ce texte a été écrit à l'origine en 2011
Les vols sont la conséquence des violations . Comme les dégradations.
Ils sont rendus possibles par l’inaction de la police, qui choisit le point de vue des agresseurs.
Je ne retiendrai comme vols, ici, que les vols de ce qui ne revient pas en possession de la victime ( moi) un jour ou l’autre.
Bien que cette dernière catégorie de vols se range , à mon avis , dans la catégorie des vols aggravés.
*
Les vols de deux ménagères en argent , à Paris XIV avaient eu lieu avant que je ne commence à porter plainte.
Le vol d’un service de cuillères en argent, à Dol de Bretagne, a eu lieu après que la gendarmerie ait eu décidé de ne pas donner suite à mes plaintes.
Le vol des bijoux à Paris XIV par mon ancienne collègue de travail et son compagnon pakistanais, relève d’une habitude maladive. Ce que j’avais appris trop tard.
Une grande partie des autres vols relèvent du larcin : les violeurs se paient sur la victime parce qu’ils savent qu’il sont protégés.
**
Au début des années 90, j’avais constaté que mes économies à la CEP, s’évaporaient.
Je tenais un compte précis de mes retraits et classais soigneusement les récépissés de ces retraits dans un dossier enfermé dans mon secrétaire.
A plusieurs reprises, j‘avais trouvé ce dossier en pagaille..
Mon listing qui récapitulait la date et le montant de mes retraits était régulièrement introuvable
En reclassant les récépissés mélangés , j’ avais trouvés plusieurs retraits d’argent dont je ne pouvais pas me souvenir
Ils ne correspondaient à aucun besoin de dépenses imprévus , alors que cet argent laissé au chaud me servait justement à cela:.
Faute du listing, les contrôles avaient été impossible .
Mais , puisqu’il y avait les récépissés ….
**
Plus tard, comme présidente du conseil d’administration de la SCI, j’aurai accès aux clés de l’immeuble confiées à la concierge de Paris XIV.
Dans ce trousseau de clés , il y avait une jolie clé de style ancien qui me rappelait celle de mon secrétaire . Une clé que je ne laissais jamais sur la porte et camouflais soigneusement dans un lointain tiroir .
Le jour où j’avais empruntée le trousseau de clés de l’immeuble , la concierge avait son regard fulminant.
La clé de style ancien ouvrait un vieux placard de l’étage des chambres de service. La serrure était un carré vissé sur l’intérieur de la porte
Le placard était rempli de produits d’entretien tout neufs.
Cette même clé ouvrait également mon secrétaire. C’était ce que je craignais.
Dans mon secrétaire près du tiroir contenant mon dossier CEP, et les informations sur mes économies qui avaient pris le large, un autre tiroir proposait mon passeport, ma carte de retrait CEP, ma carte d’électeur, mon livret de famille…..à toute personne qui voulait faire un retrait d'argent sur mon compte avec mes papiers d'identité .... et très certainement une autorisation jointe.
Le lendemain , j’avais fait l’expérience inverse. J’étais allée ouvrir le placard du 7ème étage avec la clé de mon secrétaire.
Le placard était vide. Vidé.
Mais le contenu de mon secrétaire dont les serrures étaient encastrées dans le bois était toujours à la disposition de la concierge et de ses amis.
***
L’administration de la CEP était d’un contact difficile. Elle ne répondait aux courriers qu’occasionnellement.
Lorsque j’avais voulu connaître mes droits acquis dans le cadre d’un épargne logement, j’avais appris qu’ils étaient insignifiants .
Selon la CEP , j’aurais eu fait une acquisition récemment qui avait épuisé mes possibilités d’emprunt .
C’était naturellement faux.
Mais avec tous mes documents laissés si longtemps à la portée d’escrocs organisés, je ne pouvais plus guère m’étonner., que l'on utilise également , mes documents , mes droits . Quelqu'un forcément du même nom.
**
Les vols de style larcins sont du ressort d’un voisinage qui prend en général des airs candides ou outrés à l’évocation des méfaits .
A Paris XIV , la vaisselle japonaise avait disparu , pièce par pièce.
**
A Paris XV, pour déboucher une serrure j’avais voulu imiter un serrurier.
J’avais saturé le bouchon qui bloquait le trou de la serrure avec du dégripant voiture. Le bouchon avait résisté. Et j’avais récupéré une grande partie du dégripant visqueux et odorant sur les mains .
Ma petite voisine avait accepté de me laisser utiliser son évier et son savon avant que je ne quitte l’étage.
Et puis, soudain, elle avait eu une meilleure idée.
Alors que j’étais prête à partir, mains lavées, elle était allée chercher derrière sa porte un flacon de savon liquide , me demandant si par hasard je ne préfèrerais pas plutôt ce produit là.
C’était la marque et le format des savons liquides qui avaient disparu régulièrement de ma douche…. avec les pots de crème de soin, les laits démaquillants, les lotions, les tubes de dentifrice….
Sans parler d’ autres produits de première nécessité volés dans le frigidaire ou sur les étagères.
*
Plus tard , cette gamine tout en provocation, m’apprendra qu’elle avait eu son bac avec mention.
Si c’est exact, on peut en déduire qu’une certaine partie de l’élite de BUFFON est joliment crapuleuse ..
**
Dans cette ville médiévale de Champagne-Ardennes l’appartement était desservi par un ascenseur à mi-étage.
Les intrusions n’avaient pas tardé . Sitôt les déménageurs partis.
Les méfaits avaient commencé par les classiques : objets renversés ou jetés par terre . Ils avaient continué dans une escalade de démonstration hargneuse par des vols et des dégradations.
Ce qui m’ avais intriguée le plus longtemps étaient des vols bizarres. L’argent disparaissait de mon porte monnaie dans mon sac .
Hors de l’appartement, je n’avais plus laissé mon sac sans surveillance depuis ma dernière découverte .
Sitôt rentrée dans cet appartement à 160 kms de Paris , mon premier mouvement était toujours le même . J’enclenchais la chaine de sureté dans sa glissière avant de déposer mon sac sur une table quelques mètres plus loin.
Les crapules de cette ville avaient le double de mes clés fournies par un employé de l‘agence de location. Ils entraient dès que je sortais.
Quand j’étais à l’intérieur , avec la chaine de sécurité bien positionnée, j’avais au moins la paix.
Erreur.
*
J’étais rentrée un soir, après une absence de quelques jours. Il n’y avait pas de place de stationnement tout près de l’immeuble à cette heure tardive.
Ma voiture s’était retrouvée loin de l‘immeuble , dans une courette non éclairée.
Ce qui expliquerait que mon retour était peut-être passé inaperçu
*
Occupée à préparer mon diner, j’avais été surprise par un bruit métallique sur la porte d’entrée . Suivi par une cavalcade dans l’escalier. L’immeuble était sonore.
Un moment plus tard et par hasard, j’avais découvert que la chaine de sécurité de ma porte palière pendouillait le long du mur.
Passée sur le palier, j’avais fait l’essai de mettre la chaine de sécurité et de l’enlever en glissant la main sur l‘intérieur de la porte.
Ça marchait. Il suffisait de quelques secondes pour enlever ou re-positionner la chaine.
J‘avais là, enfin, l‘explication des récents vols d‘espèces dans mon sac.
Ils étaient faits la nuit.
La chambre était à une quinzaine de mètres et trois portes fermées plus loin, de la table et du sac.
Sac, à l’ entière disposition des voisins / voyous, violeurs de domicile .
***
Cela s'était passé de la même façon quelques années plus tôt à Paris XIV. J'avais même retrouvé une fois mon sac à main délesté de ses espèces, et qui avait été posé la veille au soir dans la salon de l'appartement , sur le siège arrière de ma voiture , sur le terre- plain, en plein milieu du Bd St Jacques, le lendemain matin. La violation de domicile et le vol d'argent avaient eu lieu pendant la nuit.
***
Voici ici, un dernier exemple de vol, un peu plus récent, avec transfert et manigance, tel qu’ habituel des réseaux crapuleux , observés et décrits de ce blog.
Partant de Vannes sans préparation, ni information à quiconque, j’avais fait étape à Auxerre. A la recherche d’un hôtel, j’avais constaté la présence d’un guetteur devant chacun d’entre eux. C’était le cas , même à Apoigny, situé à une dizaine de kilomètres d’Auxerre.
Le plus folklo des guetteurs avait été celui de l’hôte Ibis.
Comme indiqué dans un article précédent, le guetteur italo-corse d’Auxerre avait été le plus agressif.
Il faut se souvenir par ailleurs , qu’en dehors de ma présence, mon bagage est systématiquement fermé avec un plomb à usage unique.
Dans un article lointain de ce blog, j’avais également noté qu’une série de ces plombs à usage unique avaient été volée lors d’une violation de mon domicile . Cela s’était fait avec bris du plomb de la valise qui les contenait, et remplacement. Je note chaque numéro de plomb à chaque fois.
Le réseau crapuleux se trouve donc, depuis ce temps- là, en possession d’une série ( en fait trois séries d’origine différentes, suite à trois vols différents) de « mes » plombs.
A Auxerre où j’avais passé trois nuits, ma valise avait été ouverte, fouillée et volée. ( hôtel 3 étoiles) Un plomb de substitution avait remplacé celui que j’avais mis.
Cela suppose que le méfait avait été planifié et que les plombs de substitution avaient été transportés aussitôt mon séjour connu.
Les objets volés avaient été : un sous vêtement, deux cartes SIM de téléphone et une recharge de 10 euros pour l’une des cartes, et la copie de ma deuxième requête à la CEDH sauf une page. Celle qui comportait mes coordonnées
a) Le vol des sous vêtement est une marotte connue. Tout comme l’usage des serviettes hygiéniques ou protège-slips . Il faut se souvenir de l’employé du déménageur de Troyes qui jouait au petit poucet en jetant sur le sol des serviettes hygiéniques enveloppées de nylon bleu au lieu de faire avancer son travail. Je les avais ramassées et les lui avais rendues.
Cette fois, le sous –vêtement volé à Auxerre sera retrouvé, quelques jours plus tard , lors de mon retour à Vannes, caché dans mon lit, sous l’oreiller.
Cela suppose donc une nouvelle violation de domicile à Vannes.
b) Les cartes SIM de téléphone n’ont pas été rendues
c) Le texte volé de ma 2ème requête à la CEDH se trouve donc actuellement à circuler dans l’un ou l’autre groupe des réseaux crapuleux répertoriés tout au long de cette histoire : corses, beurs, francs-maçons , ou juriste qui manigance avec des groupes douteux d’employés de l’armée.
Le but de ce vol est sans doute une prise de connaissance considérée nécessaire, pour celle ou ceux qui manipulent cette histoire et pourront la faire rebondir à partir de nouveaux détails : son, ou leur, obsession est pathologique.
Les vols sont la conséquence des violations . Comme les dégradations.
Ils sont rendus possibles par l’inaction de la police, qui choisit le point de vue des agresseurs.
Je ne retiendrai comme vols, ici, que les vols de ce qui ne revient pas en possession de la victime ( moi) un jour ou l’autre.
Bien que cette dernière catégorie de vols se range , à mon avis , dans la catégorie des vols aggravés.
*
Les vols de deux ménagères en argent , à Paris XIV avaient eu lieu avant que je ne commence à porter plainte.
Le vol d’un service de cuillères en argent, à Dol de Bretagne, a eu lieu après que la gendarmerie ait eu décidé de ne pas donner suite à mes plaintes.
Le vol des bijoux à Paris XIV par mon ancienne collègue de travail et son compagnon pakistanais, relève d’une habitude maladive. Ce que j’avais appris trop tard.
Une grande partie des autres vols relèvent du larcin : les violeurs se paient sur la victime parce qu’ils savent qu’il sont protégés.
**
Au début des années 90, j’avais constaté que mes économies à la CEP, s’évaporaient.
Je tenais un compte précis de mes retraits et classais soigneusement les récépissés de ces retraits dans un dossier enfermé dans mon secrétaire.
A plusieurs reprises, j‘avais trouvé ce dossier en pagaille..
Mon listing qui récapitulait la date et le montant de mes retraits était régulièrement introuvable
En reclassant les récépissés mélangés , j’ avais trouvés plusieurs retraits d’argent dont je ne pouvais pas me souvenir
Ils ne correspondaient à aucun besoin de dépenses imprévus , alors que cet argent laissé au chaud me servait justement à cela:.
Faute du listing, les contrôles avaient été impossible .
Mais , puisqu’il y avait les récépissés ….
**
Plus tard, comme présidente du conseil d’administration de la SCI, j’aurai accès aux clés de l’immeuble confiées à la concierge de Paris XIV.
Dans ce trousseau de clés , il y avait une jolie clé de style ancien qui me rappelait celle de mon secrétaire . Une clé que je ne laissais jamais sur la porte et camouflais soigneusement dans un lointain tiroir .
Le jour où j’avais empruntée le trousseau de clés de l’immeuble , la concierge avait son regard fulminant.
La clé de style ancien ouvrait un vieux placard de l’étage des chambres de service. La serrure était un carré vissé sur l’intérieur de la porte
Le placard était rempli de produits d’entretien tout neufs.
Cette même clé ouvrait également mon secrétaire. C’était ce que je craignais.
Dans mon secrétaire près du tiroir contenant mon dossier CEP, et les informations sur mes économies qui avaient pris le large, un autre tiroir proposait mon passeport, ma carte de retrait CEP, ma carte d’électeur, mon livret de famille…..à toute personne qui voulait faire un retrait d'argent sur mon compte avec mes papiers d'identité .... et très certainement une autorisation jointe.
Le lendemain , j’avais fait l’expérience inverse. J’étais allée ouvrir le placard du 7ème étage avec la clé de mon secrétaire.
Le placard était vide. Vidé.
Mais le contenu de mon secrétaire dont les serrures étaient encastrées dans le bois était toujours à la disposition de la concierge et de ses amis.
***
L’administration de la CEP était d’un contact difficile. Elle ne répondait aux courriers qu’occasionnellement.
Lorsque j’avais voulu connaître mes droits acquis dans le cadre d’un épargne logement, j’avais appris qu’ils étaient insignifiants .
Selon la CEP , j’aurais eu fait une acquisition récemment qui avait épuisé mes possibilités d’emprunt .
C’était naturellement faux.
Mais avec tous mes documents laissés si longtemps à la portée d’escrocs organisés, je ne pouvais plus guère m’étonner., que l'on utilise également , mes documents , mes droits . Quelqu'un forcément du même nom.
**
Les vols de style larcins sont du ressort d’un voisinage qui prend en général des airs candides ou outrés à l’évocation des méfaits .
A Paris XIV , la vaisselle japonaise avait disparu , pièce par pièce.
**
A Paris XV, pour déboucher une serrure j’avais voulu imiter un serrurier.
J’avais saturé le bouchon qui bloquait le trou de la serrure avec du dégripant voiture. Le bouchon avait résisté. Et j’avais récupéré une grande partie du dégripant visqueux et odorant sur les mains .
Ma petite voisine avait accepté de me laisser utiliser son évier et son savon avant que je ne quitte l’étage.
Et puis, soudain, elle avait eu une meilleure idée.
Alors que j’étais prête à partir, mains lavées, elle était allée chercher derrière sa porte un flacon de savon liquide , me demandant si par hasard je ne préfèrerais pas plutôt ce produit là.
C’était la marque et le format des savons liquides qui avaient disparu régulièrement de ma douche…. avec les pots de crème de soin, les laits démaquillants, les lotions, les tubes de dentifrice….
Sans parler d’ autres produits de première nécessité volés dans le frigidaire ou sur les étagères.
*
Plus tard , cette gamine tout en provocation, m’apprendra qu’elle avait eu son bac avec mention.
Si c’est exact, on peut en déduire qu’une certaine partie de l’élite de BUFFON est joliment crapuleuse ..
**
Dans cette ville médiévale de Champagne-Ardennes l’appartement était desservi par un ascenseur à mi-étage.
Les intrusions n’avaient pas tardé . Sitôt les déménageurs partis.
Les méfaits avaient commencé par les classiques : objets renversés ou jetés par terre . Ils avaient continué dans une escalade de démonstration hargneuse par des vols et des dégradations.
Ce qui m’ avais intriguée le plus longtemps étaient des vols bizarres. L’argent disparaissait de mon porte monnaie dans mon sac .
Hors de l’appartement, je n’avais plus laissé mon sac sans surveillance depuis ma dernière découverte .
Sitôt rentrée dans cet appartement à 160 kms de Paris , mon premier mouvement était toujours le même . J’enclenchais la chaine de sureté dans sa glissière avant de déposer mon sac sur une table quelques mètres plus loin.
Les crapules de cette ville avaient le double de mes clés fournies par un employé de l‘agence de location. Ils entraient dès que je sortais.
Quand j’étais à l’intérieur , avec la chaine de sécurité bien positionnée, j’avais au moins la paix.
Erreur.
*
J’étais rentrée un soir, après une absence de quelques jours. Il n’y avait pas de place de stationnement tout près de l’immeuble à cette heure tardive.
Ma voiture s’était retrouvée loin de l‘immeuble , dans une courette non éclairée.
Ce qui expliquerait que mon retour était peut-être passé inaperçu
*
Occupée à préparer mon diner, j’avais été surprise par un bruit métallique sur la porte d’entrée . Suivi par une cavalcade dans l’escalier. L’immeuble était sonore.
Un moment plus tard et par hasard, j’avais découvert que la chaine de sécurité de ma porte palière pendouillait le long du mur.
Passée sur le palier, j’avais fait l’essai de mettre la chaine de sécurité et de l’enlever en glissant la main sur l‘intérieur de la porte.
Ça marchait. Il suffisait de quelques secondes pour enlever ou re-positionner la chaine.
J‘avais là, enfin, l‘explication des récents vols d‘espèces dans mon sac.
Ils étaient faits la nuit.
La chambre était à une quinzaine de mètres et trois portes fermées plus loin, de la table et du sac.
Sac, à l’ entière disposition des voisins / voyous, violeurs de domicile .
***
Cela s'était passé de la même façon quelques années plus tôt à Paris XIV. J'avais même retrouvé une fois mon sac à main délesté de ses espèces, et qui avait été posé la veille au soir dans la salon de l'appartement , sur le siège arrière de ma voiture , sur le terre- plain, en plein milieu du Bd St Jacques, le lendemain matin. La violation de domicile et le vol d'argent avaient eu lieu pendant la nuit.
***
Voici ici, un dernier exemple de vol, un peu plus récent, avec transfert et manigance, tel qu’ habituel des réseaux crapuleux , observés et décrits de ce blog.
Partant de Vannes sans préparation, ni information à quiconque, j’avais fait étape à Auxerre. A la recherche d’un hôtel, j’avais constaté la présence d’un guetteur devant chacun d’entre eux. C’était le cas , même à Apoigny, situé à une dizaine de kilomètres d’Auxerre.
Le plus folklo des guetteurs avait été celui de l’hôte Ibis.
Comme indiqué dans un article précédent, le guetteur italo-corse d’Auxerre avait été le plus agressif.
Il faut se souvenir par ailleurs , qu’en dehors de ma présence, mon bagage est systématiquement fermé avec un plomb à usage unique.
Dans un article lointain de ce blog, j’avais également noté qu’une série de ces plombs à usage unique avaient été volée lors d’une violation de mon domicile . Cela s’était fait avec bris du plomb de la valise qui les contenait, et remplacement. Je note chaque numéro de plomb à chaque fois.
Le réseau crapuleux se trouve donc, depuis ce temps- là, en possession d’une série ( en fait trois séries d’origine différentes, suite à trois vols différents) de « mes » plombs.
A Auxerre où j’avais passé trois nuits, ma valise avait été ouverte, fouillée et volée. ( hôtel 3 étoiles) Un plomb de substitution avait remplacé celui que j’avais mis.
Cela suppose que le méfait avait été planifié et que les plombs de substitution avaient été transportés aussitôt mon séjour connu.
Les objets volés avaient été : un sous vêtement, deux cartes SIM de téléphone et une recharge de 10 euros pour l’une des cartes, et la copie de ma deuxième requête à la CEDH sauf une page. Celle qui comportait mes coordonnées
a) Le vol des sous vêtement est une marotte connue. Tout comme l’usage des serviettes hygiéniques ou protège-slips . Il faut se souvenir de l’employé du déménageur de Troyes qui jouait au petit poucet en jetant sur le sol des serviettes hygiéniques enveloppées de nylon bleu au lieu de faire avancer son travail. Je les avais ramassées et les lui avais rendues.
Cette fois, le sous –vêtement volé à Auxerre sera retrouvé, quelques jours plus tard , lors de mon retour à Vannes, caché dans mon lit, sous l’oreiller.
Cela suppose donc une nouvelle violation de domicile à Vannes.
b) Les cartes SIM de téléphone n’ont pas été rendues
c) Le texte volé de ma 2ème requête à la CEDH se trouve donc actuellement à circuler dans l’un ou l’autre groupe des réseaux crapuleux répertoriés tout au long de cette histoire : corses, beurs, francs-maçons , ou juriste qui manigance avec des groupes douteux d’employés de l’armée.
Le but de ce vol est sans doute une prise de connaissance considérée nécessaire, pour celle ou ceux qui manipulent cette histoire et pourront la faire rebondir à partir de nouveaux détails : son, ou leur, obsession est pathologique.
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