Le HARCÈLEMENT ÉLECTRONIQUE - RAPPEL
Le harcèlement électronique est un harcèlement criminel organisé et souvent en bande organisée .
Il consiste à traquer et harceler une personne en la ciblant et la faisant agresser par des signaux sur la base de fréquences spécifiques Jusqu’à présent , pour ce qui nous est connu, ces fréquences spécifiques allaient des extrêmement basses fréquences portées par des hautes fréquences, à des hautes fréquences de type micro-ondes (2,4 GHz) .
Ces agressions immatérielles à base de signaux, dont l’origine et la source restent cachées, sont pulsées. Elles traversent le verre, les murs et le béton.
Les impulsions ( signaux pulsés) provoquent des souffrances par saccades.
Dans beaucoup de situations connues , ces agressions par énergie pulsée sont destinées
- à faire souffrir sans preuve ni blessure externe et
- à priver de sommeil en continu .
La souffrance violente provoquée par les agressions d’énergie pulsée dans le cerveau provoque la violence des cibles.
La privation de sommeil en continu, par agressions multiples répétées à longueur de nuits, entraine une fatigue cérébrale qui arrive à simuler la démence comme pourrait le faire l’ingestion obligée de Risperdal chez une personne, saine à l’origine.
La cadence et la durée de ces agressions par signaux pulsés, dépendent de la volonté de destruction de la cible par le commanditaire et du degré de sadisme du ou des inconnus qui a/ont la maitrise du (ou des) appareil émetteur.
Un des buts de ce harcèlement criminel est de rendre fou. Cela est notoire quand la priorité du ciblage de l’énergie pulsée vise le cerveau.
La méthode soft consiste à produire , par énergie dirigée,
- des voix dans le cerveau,
- des hallucinations auditives et visuelles
L’énergie dirigée dans le cerveau provoque des phénomènes bio-électriques connus et qui entrainent par voie de conséquences
- des défauts d’attention et de concentration
- des phénomènes de désorientation
- des pertes de mémoire
La méthode hard , utilisée quand la première n’a pas été efficace, consiste à bousiller le cerveau, par tous moyens d’énergie pulsée complémentaires et superposés, et sans plus de concessions aux apparences.
Les tirs d’énergie dirigée de toutes sortes qui attaquent ainsi les différentes sphères du cerveau fragilisé et donc le système nerveux provoquent
- des souffrances répétées du cerveau lui-même ,
- des mouvements et gesticulations brusques et diverses de la tête, du corps et des membres ,
- des problèmes d’hypertension
- des problèmes cardiaques
- une fatigue cérébrale et physique indescriptible
Les phénomènes de brûlures, picotements, piqûres, maux de tête , étourdissements, brouillard cérébral sont communs aux cibles de harcèlement électronique et aux personnes EHS.
De nombreuses cibles de harcèlement électronique dont le cerveau est « brûlé » ( cerveau dé-vascularisé) par les attaques de signaux pulsés deviennent forcément EHS.
Mais alors qu’ une personne EHS peut se protéger par diverses méthodes répertoriées sur de nombreux blogs et sites, une personne ciblée par harcèlement électronique ne le pourra que très relativement.
Ce qui n’empêche pas d’essayer.
Le harcèlement électronique est connu depuis les années 1950 aux USA, où la littérature sur ce sujet, et les témoignages de cibles et les informations par des spécialistes, abondent avec précision.
En France , 75% des personnes auto-déclarées cibles de harcèlement électronique sont des femmes .
En France , le harcèlement électronique de vengeance, essentiellement aux mains des corses et de leurs copains fumeurs de moquette, est surtout au service de criminels de sociétés secrètes et de groupes industriels aux moyens financiers non négligeables.
Ce harcèlement électronique en pleine expansion est sans frein , sans limite , sans prise en considération au faux prétexte de manque de moyen de détection ( l'armée peut TOUT détecter) , simplement parce que les victimes de sa forme HARD sont surtout des femmes
Il manque, pour le moment, de politiques conscients des risques de généralisation , et de représentants de l’Etat , juges, gendarmes, policiers, autres que carriéristes , pour le dénoncer et le faire prendre en considération pour ce qu’il est :
de la torture de civils par énergie dirigée, par inconnus, sur le sol national.
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