Harcèlement électronique- Crête - Cuba

Mes deux voyages en Crête et à Cuba avaient été achetés dans une agence HAVAS.
Lors de mon second passage dans l’agence, le réseau beur y avait envoyé une des siennes. Avec ses babouches d’appartement, son sac à provisions et sa raquette de tennis sans housse, elle avait ignoré les remarques de l’employée qu’elle avait interrogée. La beurette , restée debout pour ne rien rater de  mes destinations et dates de   départs,  n’avait quitté les lieux qu’une fois renseignée.

C’était ensuite un jeu d’enfants  pour les autres, de trouver  les informations complémentaires pour organiser le harcèlement. Comme d’habitude ,  par copinage ou intrusion dans le système informatique du voyagiste.

Le séjour à Analipsis,  (Crête) dans un hôtel unique , avait été une épreuve de matraquage d’ondes égale à celle d’Islande.  L’horreur.   Toutes mes notes sur ce sujet avaient  ensuite été volées  dans un bagage  fermé à plomb de mon appartement . Les plombs  volés ou falsifiés  utilisés par un des réseaux voyous, servent à cela. 

Le voyage à Cuba était sur la base d’un circuit. L’itinérance pouvait donc être une forme de protection. Sauf si…..

La surveillance de mon arrivée à Orly sud  avait d’abord  été prise en charge par trois noirs en voiture. Les suivants, dans l’aérogare étaient des beurs.
Au contrôle de sécurité , j’avais reçu sur les pieds, balancé sous le tapis à rouleaux qui passe nos affaires au scanner,    un CD . Ce CD des Andrews sisters  avait été volé dans mon appartement de Vannes une semaine plus tôt.
Les agents de sécurité d’Orly étaient donc complices des voleurs  avec clés copiées ,en bande organisée. , qui s’acharnent sur les femmes.


La Havane
 
A Cuba, les GPS sont interdits . Notre  voyagiste  l’avait rappelé dans sa notice. Dans notre groupe un grand gars de Narbonne ( ou Tarbes) en avait hyper planqué un dans son bagage de soute. Le petit GPS tout neuf, avait été hyper trouvé par la police qui avait hyper fouillé le bagage du grand gars qui nous avait fait hyper poireauter  à l’attendre.

Tout notre circuit était entre les mains expertes d’un chauffeur de bus et d’une super guide trilingue et dévouée. Personne n’allait se perdre ou s’échapper et l’utilité d’un GPS dans ces circonstances intriguait. Interrogé, le grand gars avait expliqué que cela permettait d’avoir notre position donnée par 3 satellites à tout moment.
Mais pour quoi faire ?

Mes notes sur ce voyage font état de brûlures  / pointes de feu aux pieds et aux mains à l’intérieur du bus et pendant divers trajets. J’avais noté les horaires à chaque fois.  Compte tenu des variations de vitesse  du bus , il fallait donc penser à du matériel de proximité mis en œuvre par quelqu’un du groupe.
Pour ce qui est du matraquage des ondes au cerveau, ces mêmes notes pointent tout particulièrement trois nuits d’horreur, que j’ai naturellement essayé de rapprocher de (non-)évènements  de la journée pour essayer de comprendre.

La première nuit d’horreur avait suivi un raté.  Ce soir là, j’étais arrivée en retard à la soupe. Tout le monde avait déjà mangé et sortait d’une petite fête avec gâteau que le grand gars de Narbonne avait organisé pour l’anniversaire de sa maman. J’avais souhaité son anniversaire  à la dame et présenté des quasi excuses au fiston avant de filer prendre mon repas encore autorisé malgré l’heure tardive.
La nuit avait été épouvantable.

La deuxième nuit d’horreur était consécutive à  un  incident bizarre. Pour ne pas laisser à l’entrée  d’une fabrique de cigares  mon sac,  non autorisé  pendant la visite, j’avais abandonné le groupe ( sans GPS !) Un jeune gentil  garçon  qui voyageait avec ses parents  s’était précipité vers moi pour une explication. Il avait eu une boutade  en réponse. Ce qui m’avait valu, pour le reste de la journée,  l’hostilité d’une partie du groupe  incluant le grand  ( vieux) gars  de Narbonne. 
La  nuit suivante avait été de souffrances cérébrales par coups au cerveau  et sans sommeil.

La fin du circuit nous donnait 4 nuits au même endroit . Des petits objets avaient été volés dans ma chambre,  et au bar au dernier moment, comme à l’habitude. Je les trouverai une semaine plus tard,  dans une valise restée sur place, dans l’appartement de Vannes. Sans doute transportés de Cuba en France  par quelqu’un de mon  groupe.

La dernière nuit du séjour avait été celle d’un matraquage  d’ondes au cerveau  digne d’un salopard sadique .
Le seul (non ) événement de cette journée  où le grand gars de Narbonne cherchait absolument le contact était le fait que je  l’avais absolument évité.




Tag de rue à Bayamo
 

Le vol de retour m’avais laissé  7 heures de sommeil absolu .
Ce qui permet plusieurs hypothèses dont les plus simples :
soit le matériel de torture avait été mis à disposition sur place et laissé sur place, ou rendu à celui qui l'avait transmis
soit le préposé –volontaire n’avait pas voulu se faire repérer en utilisant  son matériel de tortionnaire  ( interdit ?) pendant le vol.

Si je ne trompe pas, on voit dans ces tortures  perpétrées et que je mets en relation avec des  micro-faits du quotidien, la faculté fournie à un sadique volontaire et misogyne auto-déclaré,  d ‘infliger des  tortures-représailles pour des affronts imaginaires à une femme  cible ,inconnue  de lui,  mais désignée comme « sa » proie .

Ce grand gars sadique  là , avait aussi peu de cervelle en bon état que  Walti,  Charhi ou Church ,   eux aussi à la recherche de toutes occasions et qui servent de paravent  facile à une situation CRIMINELLE .

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