Lovely anecdote
Lovely's paillasson
Ceci est une anecdote dans le genre de celles que concoctent J-J Walti à Paris, avec intervention de policiers , à la clé .
Pour mémoire, deux policiers étaient venus sur mon palier deux fois de suite faire du boucan , et quelques jours avant une AG de propriétaires. Ils y avaient crié mon nom , comme s'ils étaient à la recherche d'une criminelle qui se cachait.
Au final, dans le commissariat quelques jours plus tard, et après quelques propos insultants , ils s'étaient contentés de m'interroger sur des problèmes de copropriété de nature complètement et uniquement privative.
Là ce lundi matin , à Vannes, vers 6h++ , quelqu’un semblait faire des claquettes sur le sol carrelé de la salle de bain d’ A. Roux. C’était plutôt tôt.
Puis le relais du bruit avait été pris à partir de l’appartement de Lovely 92, au même niveau que moi. Le bruit ressemblait à celui de morceaux de bois frappés très fort l’un contre l’autre.
A 6h ++ du matin , c’était bizarre.
Il y avait eu ainsi une ronde de bruits entre au-dessus et à côté . Non stop. Avec, même et en plus, des coups sonores portés sur la tuyauterie de la salle de bain . Ces deux grands jeunes-là semblaient jouer à s’agacer mutuellement. Et 6h++ , ce n’est pas 2h du matin. On peut faire avec.
Sauf qu' à 6h45, ça avait été des coups sur ma porte palière, cette fois. Un grand policier en uniforme demandait des comptes.
Pour qu’un policier vienne dans l’immeuble, il fallait :
1) Qu’il ait été appelé
2) Que la personne ait donné son nom et une bonne raison de le déplacer
3) Qu’on lui ait ouvert la porte extérieure de l’immeuble après qu’il ait eu sonné sur le nom donné à l’interphone
Pour qu’un policier frappe à ma porte et alors que le numéro de mon appartement n’est indiqué nulle part, et donc pas sur l’interphone, il fallait
1) Que j’ai été désignée comme l’auteure du bruit
2) Qu’on ait donné l’indication de ma porte d’appartement .
Sans importance . Mais …..Lovely. Isn’it ?
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