Criminalité française cachée
A cette époque , au 81 rue du fbg St jacques, les serrures de ma porte palière d'appartement avaient déjà été changées plusieurs fois.
Pour le temps de mes absences , j'avais également inauguré des poses de cadenas sur 3 portes intérieures successives côté chambre .
Du côté accès salon, les poignées de porte avaient été enlevées, emportées avec moi . Pour compléter et varier le dispositif de sécurisation , cette serrure-là avait été bouchée avec du mastic recouvert de vernis à ongle rouge.
A mon retour, les cadenas numérotés sur les portes successives côté chambre avaient été retrouvés en ordre inversé. Le premier était le dernier et le cadenas intermédiaire de la 2ème porte avait été enlevé, posé sur des livres à portée de main.
La serrure sans poignée du salon , présentait un mastic frais et mou, recouvert d'une peinture verte, venant d'un petit pot stocké dans un placard de l'entrée.
Une caméra sur batterie cachée dans l'entrée avait par ailleurs été vidée de son information par les intrus.
Plus tard , ce sera en coupant l'électricité quelques secondes , qu'un 2ème système de détection vidéo des violations de domicile sera mis en berne par les (peut-être) mêmes. Vraisemblablement..
Un troisième système de détection avec caméras cachées avait finalement été installé par internet avec visionnement en doublon par la société vendeuse . Le système était en général mis en panne dès mon arrivée ailleurs , 300 kms plus loin .
Cette nuit-là , décidée à piéger si possible les intrus, j'avais fait le parcours inverse pour un retour à Paris vers 2 h du matin . Voiture cachée au loin, j'étais entrée dans l'immeuble à partir du numéro suivant et en accédant au mien par l'étage des chambres de service.
Enfermée chez moi, à l'intérieur, derrière toutes les portes avec cadenas posés, j'avais attendu.
A 6h du matin , quelqu'un était entré dans l'appartement. Mais, j'étais restée coincée sur le canapé. Paralysée. J'étais INCAPABLE de bouger. ( première moitié de la décade 2000)
Cela faisait suite à d'autres situations semblables et peu rassurantes, où j'avais entendu quelqu'un entrer chez moi ( serrures et verrous fermés) , avant de sombrer dans un état de type comateux . Au réveil, il ne restait que le souvenir premier , sans aucun autre détail , sauf une fois .
Quelques années plus tard ( deuxième moitié de la décade 2000) , j'avais opté pour une toile en après-midi dans une salle de cinéma du Bd Montparnasse. C'était un jour de grande manif. Nous n'étions que 2 amateuses de ce film et assises très loin l'une de l'autre .
Un groupe de 3 hommes était entré après le début du film s'installant au dernier rang.
Une soudaine torpeur envahissante et croissante avait allumé une alerte au cerveau : se lever et partir . IMPOSSIBLE . Je ne pouvais déjà plus lever un bras.
Cet état s'était dissipé à la fin du film où j'avais recouvrer le contrôle de mes muscles encore faiblards.
Les types du fond de la salle attendaient debout et narquois , pour me regarder sortir .
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