PARTIR de PARTOUT


Faire « Partir de partout »  est un des éléments du programme des réseaux de la haine . 
Les réseaux de la haine sont constitués d’individus  en groupe qui  cherchent à détruire un être humain qu'ils se sont appropriés comme proie ou qu'on leur a désigné comme  "leur" victime. 
Certains de ces haineux nommés avaient été jusqu'à énoncer avec un tutoiement de mépris  "je vais te démolir" et  pour un autre encore "Moi, je saurai comment vous détruire"
 Ces individus démoniaques,  agissent sous une couverture de citoyen lambda normal , voire au dessus de tout soupçon. Ce sont pourtant  des   habitués et accros  à maltraiter des êtres humains ou voisins  sur commande et sans raison personnelle . 
Les voisins sont  surtout des voisines. 
La solidarité criminelle est surtout masculine.

Quand, dans un monastère, j’avais expliqué ce phénomène de harcèlement en réseau ,  à des prêtres qui prenaient leur repas avec moi, le silence avait été la première forme de réponse. Puis l’un d’entre eux avait précisé que ce sujet ne pouvait pas donner lieu à un prêche quelconque. Selon lui, les participants de ce type de harcèlement ne pouvaient être que des malades mentaux, et forcément  imperméables  au bon sens  ou à la morale. 
Naïf ou faux cul. Who knows ?
Ce qui suit est un survol  de quelques situations qui illustrent ce sujet. Elles ont toutes été racontées en temps réel. 
Dès  mon arrivée à l’adresse de la rue Ernest  Renan Paris XV , J-J WALTI m’avait annoncé cette partie du programme de harcèlement global , généralement  orchestré en cachette,  avec  un tonitruant   « on va te faire partir  d’ici ». Les autres joyeusetés au programme de ce fou-furieux jamais inquiété allaient  de "on va te faire enfermer" à "je vais te démolir" , précisant alors qu'il s'agissait bien de me tuer.
Oisif bravache , ce  harceleur  habitué   avait  aussi fait  partir de l’immeuble un commerçant du rez-de-chaussé. Noir . Le commerçant.
« On » ,  qui sera précisé plus tard par J-J Walt , était composé d’ « Antoine » censé  me pourrir la vie dans le cadre de la copropriété, pour essayer aussi et en plus de me faire réagir et éventuellement  détester des autres  propriétaires. « Antoine » , était président du conseil syndical   et aurait dû représenter les intérêts des copropriétaires dont j'étais,  auprès du syndic , gestionnaire.
« Antoine » était Antoine De Certaines,  catho très  pratiquant, père de 3 enfants,  ingénieur,  et  détourneur de la loi de la copropriété, et des comptes   .
Venait ensuite « Marie Ange » , l’épouse d’Antoine, que je ne connaissais également que de vue.  Pourtant,  selon J-J Walti, elle aurait eu  constitué un dossier ( ?) me concernant,  à l’usage de la police. 
Laquelle police débarquera obligeamment   sur mon palier, quelques jours avant une assemblée générale des copropriétaires pour faire croire que j’étais recherchée par….. la police . Donc , vue la prétendue urgence de leur bruyante  intervention ,  au moins  criminelle. 
Cette police , au service des réseaux de harcèlement,   et envoyée par le commissaire principal du XVème,  Mr Meyer,  n’avait pas d’autorisation de la copro . pour entrer dans l’immeuble, qui est une  zone non publique. 
Puis en N°4, on avait  Madame Charlot-Walti,  mère de J-J Walti,  qui sortant  un jour de la chambre de son fils, et   dévalant  les escaliers en chemise de nuit à 5h de l’après-midi avait hurlé  à mon encontre « vous êtes folle »  , « vous êtes complètement folle » . De façon à ce que tous les résidents de l’immeuble , l’entendent.
 Cette même dame Charlot-Walti constatant un jour  que je parlais avec la femme de ménage dans le hall de l’immeuble , lui avait interdit de continuer à m’adresser la parole. Ceci est une autre constante de ce type de harcèlement, destiné à parfaire l'isolement d'une cible.
Et enfin, dernier maillon de ce noyau dur de malfaisants et cinglés graves  de  Paris XV et soutenus par des réseaux de la police , la sœur de J-J WALTI, n° 5,   une alors-inconnue était  venue frapper chez moi , déguisée,   et pour m’intimer , en pleine journée ,  l’ordre  d’éteindre mon réveil faiblard ,  à 2 francs  6 sous. 
A la manière des habitudes de sa famille,  Ms Walti,  m’avait annoncé, en hurlant dans le couloir qu’elle me ferait enfermée ( ?) , ajoutant le nom de l’hôpital et l’utilisation des pompiers . 
Hurlements  ,  à l’usage des autres résidents. Naturellement.
Cette intervention de la jeune Ms Walti, faite de propos   grotesques,  inattendus , et incompréhensibles,  avait aussitôt été consignée dans un blog.  
Exprès. Parce qu’il ne s’agit pas d’un délire parano construit à posteriori , mais seulement d’une relation ou  description de situations improbables , inimaginables, et  incroyables, pour toute personne normale. S'il en reste.
C’est aussi cette même Ms Walti, inconnue de moi, qui avait essayé de faire signer  une pétition dans l’immeuble , pour m’en faire partir. Tout le monde avait refusé. Personne ne me connaissait.
Ce petit groupe de criminels de base  ,  haineux, teigneux et menteurs, aidés par des policiers et autres fonctionnaire d’Etat,  avait été obligé de passer à l’étape suivante pour espérer me faire taire et partir  : le harcèlement électronique .
Avec un plaisir immense, J-J Walti et A. De Certaines avaient entrainé  tout naturellement  avec eux dans cette entreprise criminelle, le petit-fils et fils de franc-maçon , Charles Frenove, élève d’un lycée technique et pourvoyeur de conseils , de technologie et d’autres amis corses.

A Vannes (56) où j’habitais plus souvent ( Paris XV étant un pied à terre) les  méthodes traditionnelles de violations de domicile , vols et dégradations,  de ces tristement fameux réseaux de la haine  avaient immédiatement doublonné  avec du harcèlement électronique. 
Tout avait, ici aussi ,  été consigné dans des blogs  et raconté au jour le jour, pour faire connaitre dans toute son horreur au quotidien,   ce   harcèlement global monstrueux, cruel, barbare et    inhumain. 
Ce qui avait fait sortir un loup du bois. 

C’est le gestionnaire du bien même, M.  LE ROUZIC de SOFI-OUEST GESTION  , autre adepte de « faire partir de partout » ,  qui m’avait   écrit une lettre de menaces officielles, censée me faire peur et  taire.
Une seconde location , dans la même paisible et  jolie ville de Vannes avait montré une organisation en tous points similaires, avec un ivrogne et une chômeuse aux commandes dans l’immeuble,  et des inconnus , adeptes /habitués à chasser l’être humain, à « faire partir de partout » ,  avec des tirs d’énergie dirigée à volonté , dans toute la ville.

Cette même situation de chasse à l’être humain, à « faire partir de partout »  s’était reproduite deux fois, ici aussi , en Vendée (85) où je ne connaissais , non plus personne . 
Les participants criminels orduriers,  adeptes du « faire partir de partout » ont , ici, aussi  un comportement de barbares et   ont , comme ailleurs des airs de gens normaux au-dessus de tout soupçon . Ils sont là aussi ,  protégés par la police, le maire et le préfet. 
Face au mépris affiché et habituel  des élus et fonctionnaires de l’Etat en charge de sécurité, pour une victime qui raconte et porte plainte sans effet ni recours accepté , les criminels français ordinaires  n’ont pas de limite et aucune raison d’en avoir.
Ici, de nouveau,   la propriétaire Mme Blaineau  et le gestionnaire de biens  CM-CIC, refusent de faire respecter mes droits de locataire, pourtant acceptés comme  obligeant  l'une,  et l'autre par mandat,  devant notaire.  

Ils risquent d’écrire le dernier chapitre  de cette ignoble histoire.

Ce texte est  seulement destiné à répéter : cela  existe. Je l’ai subi et vécu, aussi , ainsi . Comme beaucoup d’autres .
Il y a peut-être autre chose de plus grave encore, derrière chaque histoire racontée. 
Pas forcément, pour toutes.
En racontant, on peut se tromper  parfois sur les motivations des criminels. 
Pas sur les faits., inadmissibles . 
Ni sur les preuves indispensables. 
Et   même si,  ils et elles , ne sont qu’à usage de témoignage  personnel, de bonne foi , et qu'ils et elles,  peuvent pourtant  être contestés  par tout crétin, arrogant ou  mal intentionné.  




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