Coiffeur et harceleur - harcèlement d'artisan
Le harcèlement en réseau existe dans toutes les villes et dans les moindres villages où il se reconstitue au hasard d’une opportunité : l’arrivée d’une cible.
Le harcèlement en réseau existe dans tous les pays , avec des bases communes et des modalités locales , en fonction des traditions et habitudes culturelles de chaque endroit. En ce sens on peut dire qu’il est mondial. Cela n’en fait pas , cependant , un mode de gouvernance mondial.
Quand, à propos d’exactions de harcèlement en réseau, une cible propose l’explication du Nouvel Ordre Mondial, et en profite pour se positionner en guru, elle fait surtout éclater son égo.
Il existe de multiples moyens et façons de faire harceler une cible en tous points du globe et sans pour autant que cette cible soit importante . Ce n’est pas faire régner une forme d’ordre planétaire que de la faire maltraiter en tous. lieux . C’est seulement une démonstration de puissance d’un groupe souvent lié à des réseaux d'influence ou des réseaux criminels , et qui donnent le coup de main, localement.
Être harcelée sur ordre d'un magistrat de Montréal ( Canada) ou par un magistrat de Sydney ( Australie) avaient seulement prouvé l'existence d'informations qui circulent et anticipent les déplacements et les possibles situations d'exactions diverses .
Dans un contexte de harcèlement en réseau « hard » c’est à dire constant, des cibles peuvent utilement retenir que faire deux fois la même chose ou passer deux fois au même endroit , sera considéré comme une habitude par les harceleurs / suiveurs. L’information sera immédiatement transmise en prévision d’une anticipation de situation de sabotage
Ça paraît dingue et incroyable , aux non initiés. Mais ce n’est pas plus dingue que le harcèlement de rue qui précède une cible comme cela est expliqué dans :
Ainsi une cible qui prendra un train à l’improviste pour essayer de déjouer une poursuite, s’apercevra qu’un harceleur/suiveur se trouve sur « son » quai. Tout simplement parce qu’un groupe d’harceleurs/suiveurs a été disséminé sur chacun des quais de la gare , en prévision et surveillance de la destination.
L’anecdote qui suit, montre le harcèlement d’artisan. Comme les autres, un artisan participe au harcèlement en détournant la finalité de son métier ( satisfaire le client) , pour saboter une situation de la cible désignée , et en plus, lui faire payer ce sabotage.
Ce salon de coiffure d’un centre Leclerc reçoit sans rendez-vous quand c’ est possible.
Lors d’un premier passage, le salon était vide, la coupe avait été possible , rapide et impeccable .
Une coupe boule est réputée facile , quand la forme existe déjà. Il suffit seulement de raccourcir, en respectant la forme existante.
La première fois le salon de coiffure avait accepté mes espèces sans reçu ni ticket de caisse.
Fraude à la TVA, et petite gratte. Not my business.
Derrière les vitres su salon de coiffure, un grand type me fixait depuis un moment , avec un sourire narquois. VU
Peu avant Noël, pour rafraîchir la coupe , j’étais repassée au même endroit qui se vante de prendre sans rendez-vous.
La salon était vide de clients. Le patron lisait la presse.
C’était NAN pour une coupe sur le champ. La patron oisif se disait débordé et ne voulait rien couper. Il faudrait revenir. Bizarre… mais OK.
Deux jours plus tard, l’ efficace employée de la première fois m’avais prise en charge . Elle ricanait nerveusement, avant de se mettre à tailler et raccourcir un côté à tout va. Et il avait fallu égaliser et raccourcir l’autre côté. Ce petit désastre me laissait avec un style "coiffure de gendarme " ….
....la coupe seulement.
L’employée aux ordres , avait continué son ricanement en demandant si c’était assez court.
Puis elle avait voulu enregistré mon nom dans le système informatique et qu’elle avait feint de ne pas pouvoir retenir ( le nom) . Même chose pour le prénom., jouant la comédie soit de la surdité , soit d’un cerveau diminué.
Elle avait pris mes espèces. Sans reçu, ni ticket de caisse en échange.
Ce même type d’anecdote avait également été racontée à Paris, Lors d’un 2 ème passage, également avant Noël , dans un salon de coiffure Dessange tenu par deux femmes corses, j’étais ressortie avec une coupe en brosse.. Les deux corses , à l’humour vachard , m’avaient offert une brosse à passer sur ma tête dégarnie. Ça aussi ( leur cadeau) les avait follement amusées.
Ce type de harcèlement récurrent en salon de coiffure avait également été raconté à ANGERS. Une employée du salon où je passais pour la seconde fois , et qui était normalement partie déjeuner, était revenue toute essoufflée . Elle avait appris à ses collègues , en me montrant du doigt, ce qu’on lui avait dit et qu’ils devaient faire. J’attendais la coiffeuse après le shampoing ….. et j’avais continué d’attendre …. avant de partir. Sans coupe.
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