Harcèlement en bande organisée. Escroquerie chez CONFORAMA






L’escroquerie consiste en l’emploi de manoeuvres frauduleuses pour tromper une personne  tout en l’obligeant  à payer un bien quelconque .
Conforama est une société française qui propose entre autres  des pièces de mobilier à monter soi-même.
Pour retirer un petit paravent, après avoir payé , il fallait se propulser vers l’entrepôt où chaque achat sorti du stock  attend son client servi par ordre d’arrivée.
Tous les « arrivés-après-moi » étaient passés avant moi et partis depuis longtemps.
Quand mon petit paquet m’avait été livré , l’employé de l’entrepôt était hilare . Ses copains aussi.
Dehors , il pleuvait des cordes et le paquet et sa nouvelle propriétaire s’étaient engouffrés   dans la voiture, à toute vitesse.

Au moment de l’ouverture du carton entourant l’objet en kit  , il avait fallu lutter avec un sur-scotchage , preuve habituelle d’un remballage. Le remballage consiste à re-conditionner un produit défectueux pour le fourguer à une innocente victime.



Effectivement, ici,  le bois brut prévu comme cadre de ce paravent était parsemé de trous de vers et qui grouillaient sans doute à l’intérieur….. L’objet était  donc théoriquement invendable.
Pourtant, j’avais continué le montage . Pour voir . Et cela donnait à voir un  paravent  insolite qui ne  tenait pas debout.



Après une dépense d’énergie non négligeable en lettre et appel téléphonique, il avait été convenu d’un rendez-vous en magasin . L’employée s’était engagée à ce qu’un nouveau paravent, entièrement  monté par un vendeur , soit à  disposition, à l’heure convenue.

Et c’était sans compter avec l’humeur de harceleurs en bande organisée  des employés  mâles de l’enseigne
 A mon arrivée , à l’heure, le paravent n’était , soit-disant pas monté. J’avais donc été priée  d’attendre le bon vouloir du vendeur-monteur .
Ce denier m’avait livré l’objet juste avant la fermeture du magasin pour l’heure du repas.




Lors de mon premier arrêt voiture, l’évidence  du harcèlement  organisé  s’était imposée en regardant le dessous de l’objet  : cet autre paravent était également défectueux et le vendeur-monteur ne l’ignorait pas : un montant  du dessous du paravent était cassé au niveau d’une vis  . Cette partie lâcherait forcément , très peu de temps plus tard , au moment d’une manipulation, ou d’un déplacement .

Après les deux heures d’attente de temps de déjeuner des employés, j’avais reporté l’objet d’où il venait et demandé un remboursement .
Pas question, selon l’employée de la caisse . Selon, elle , c’était le client maltraité qui devait, de nouveau,  se propulser à l’entrepôt cette fois ,  à l'endroit où l’on  fabrique le harcèlement   de cliente,  pour y implorer le SAV.
Sinon rien. Pas de remboursement !


La paravent était resté sur sa caisse . La caissière  avait même continué à râler !





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