Individus ciblés - TORTURE et/ou TRAITEMENT INHUMAIN




 cadence des déflagrations électriques dans le cerveau
au matin du 26-12-19
Nuit de rafales sur 900 MHz

Torture et traitement inhumain,   sont des termes avec des implications juridiques différentes puisque la Cour Européenne des Droits de l’Humain  ( CEDH)  a fait en sorte de  les différencier.

Les individus ciblés  par du harcèlement criminel global  ( infraction inexistante,  à ce jour) et susceptibles de pousser une plainte jusqu’à cette instance européenne ( CEDH) , après avoir épuisé toutes les voies de recours nationales,  doivent donc en tenir compte dès le début.

De l’article https://rm.coe.int/168007ff60, on pourrait retenir que :

Sans avoir choisi elle-même une définition pour la torture, la CEDH  a repris la définition de la Convention des Nations Unies .
 

D’après l’article 1 de la Convention, le terme  TORTURE , désigne tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aiguës, physiques ou mentales , sont intentionnellement infligées à une personne  - pour obtenir d’elle ou d’une tierce personne , des renseignements ou aveux
- pour la punir d’un acte commis ou soupçonné d’avoir été commis
- pour faire pression sur elle et l’intimider ou intimider une tierce personne
- pour tout autre motif fondé sur une forme de discrimination quelle qu’elle soit

La TORTURE serait une forme aggravée,  et délibérée des TRAITEMENTS INHUMAINS conjugués.

Les TRAITEMENTS INHUMAINS étant  des actes délibérés qui provoquent de fortes et cruelles souffrances.
Il y aurait donc une différence d’intensité,  et de gravité  et dont l’acharnement qui signe la durée,  puisse être une composante.

Dans les cas traités par la Cour et qui pourraient concerner des individus ciblés , prisonniers virtuels  d’un système  de souffrance cachée produite par énergie pulsée , on note que
- les bruits aigus et sifflements  ( en attente d’interrogatoire, qui est le seul cas connu)
- la privation de sommeil ( en attente d’interrogatoire, seul cas connu )
et qui causent des souffrances physiques et mentales entrainant des troubles psychiatriques  , avaient été classées dans la catégorie des TRAITEMENTS INHUMAINS

Ces mêmes techniques susceptibles d’engendrer des sentiments de peur,  d’humiliation  et d’angoisse et de briser la résistance physique et morale des individus , étaient considérées comme D
ÉGRADANTES , mais restaient dans la catégorie des TRAITEMENTS INHUMAINS.

Parmi les actes de TORTURE  acceptés comme tels par la Cour , et que pourraient invoquer des individus ciblés par analogie  , on note :
- les décharges électriques  ( chocs électriques  par agressions électromagnétiques dans le cerveau ou sur le corps )  répétées sur un long laps de temps avec leur  but  supposé (soumission, suicide) 

Dans la partie  qui relève  des OBLIGATIONS POSITIVES    de l’État  et découlant de l’article 3  de la Convention , on peut garder en mémoire dans la perspective des plaintes au pénal d'individus ciblés :
- l’obligation,  pour le système juridiques , de protéger les personnes privées contre les violences des autres particuliers , et pas seulement celles imputables à des agents de l’Etat
- l’obligation d’enquêter sur les cas allégués de mauvais traitement 



de Mireille Giraud 
                                         dans : Être et vivre seule le harcèlement au quotidien 

Pour éviter tout travail d’enquête  sur la TORTURE par énergie pulsée, l’Etat français , comme certains autres en Europe et ailleurs , a pris l’habitude de fabriquer,  des dossiers de  fausse maladie mentale  de victimes , dans n’importe quelle circonstance et sous n’importe quel prétexte . Surtout si et quand la victime est une femme.
 

Cela est fait grâce à  des médecins  psys délirants du type de celui, franc-maçon auto-désigné,  qui  jubilait en mentionnant des extra-terrestres sur son attestation . 

Ces médecins sans vergogne,  pourront être  aidés , ensuite, par des procureurs et des représentants de l’Etat , qui tous déclareront  en toute mauvaise foi , que les erreurs grotesques  des uns ou des autres  médecins ou autres , dans un dossier concernant une femme , sont sans importance.


Les victimes, à la manière de  Dr Katherine Horton , doivent donc recueillir  et accumuler , sans discontinuer, les indices et preuves de leur mauvais traitement ou torture, et ne pas se décourager des rebuffades ou refus de prise en considération de leurs plaintes . 

L'obstination est de rigueur !

 Souffrances aigües et répétées  dans le cerveau
provoquées par des tirs d'énergie
et matérialisées , ici, par les déflagrations électriques 
enregistrées par EEG


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