Les deux escrocs - pour mémoire
A cause de la souffrance et des changements bio-électriques incessants dans le cerveau et dus au harcèlement électronique, une cible n’est jamais sûre du temps qu’il lui restera pour témoigner, dénoncer, se défendre. Ni de sa capacité ou de sa pertinence à le faire.
Les harceleurs et les escrocs comptent sur ce phénomène d’usure et d’épuisement du cerveau . La justice, qui connait bien le problème, aussi !
Les deux personnes concernées , ici, sont liées dans une action concertée pour berner leur victime, la banque et la justice.
Seule la justice a été volontaire pour se faire ridiculiser par ces escrocs.
En 3 ans, il avait été impossible d’obtenir de ces deux personnes mentionnées des réponses pertinentes aux questions posées et qui concernent l’argent que l’une ou l’autre me doit toujours.
Isabelle Blaineau , demeure 27 rue Saint Joseph 85600 Saint Hilaire du Loulay. Elle était propriétaire de l’appartement que je louais aux Sables d’Olonne (85)
Cédric Vincent est huissier de justice dans le cabinet BRICARD TESSON VINCENT 7 place Collineau aux Sables d’Olonne (85)
Isabelle Blaineau était la cliente de Cédric Vincent.
Le 25 janvier 2017, j’avais reçu de la Banque Postale une information de SAISIE ATTRIBUTION sur un mien compte bancaire. et formulé ainsi :
Donc Isabelle Blaineau demandait 3580, 41 euros et les faisait saisir sur mon compte par Cédric VINCENT.
Il faut savoir qu’une SAISIE ATTRIBUTION correspond toujours à une somme due, augmentée des frais et/ou des intérêts.
Mais plus important encore, une SAISIE ATTRIBUTION ne peut être signifiée qu’à l’appui d’un TITRE EXÉCUTOIRE. C’est à dire d’une décision de justice.
C’est aussi le rôle d’une banque de s’ assurer de la conformité de cet acte.
A ma connaissance, il n’existait aucun TITRE EXÉCUTOIRE émis par une magistrate.
Ne soupçonnant ni Isabelle BLAINEAU , ni Cédric VINCENT de turpitude , j’avais imputé à mon état catastrophique lié au harcèlement électronique, un oubli aussi fâcheux que monstrueux , pour ce montant dont je ne voyais même pas l’origine.
- Sachant qu’une SAISIE-ATTRIBUTION ne peut être faite que pour une somme due , et
- faisant confiance au professionnalisme de la Banque Postale chargée de vérifier le formalisme de cette demande, j’avais immédiatement , le 1er février 2017, envoyé un chèque à Isabelle BLAINEAU et couvrant ( avec le précédent ) la totalité de ce montant.
Mais ………SURPRISE, le 2 février 2017, Cédric VINCENT m’avait envoyé un document à signer , demandant mon accord pour cette SAISIE-ATTRIBUTION décidée par lui-même et Isabelle Blaineau.
On peut lire au bas de cette page que Cédric Vincent aurait voulu me faire signer
BON POUR ACQUIESCEMENT DE LA SAISIE ATTRIBUTION
Si et QUAND il y a dette, pas besoin de l’accord de l’endettée. Seulement de la prévenir.
Comme il n’y avait aucune dette , Isabelle BLAINEAU qui avait pourtant demander la saisie de ce montant sur mon compte, m’avait renvoyé mon chèque le 11 février 2017.
Et Cédric VINCENT avait continué à multiplier actes et prestations. Tous payants.
En août 2017, les comptes de Cédric VINCENT montraient qu’il avait accaparé, pour feindre justifier le bien fondé d’une saisie-attribution bidon, 3 mois de loyers déjà payés à Isabelle BLAINEAU, sa cliente.
J’avais demandé le remboursement . Et je continue.
La réponse de Cédric VINCENT en mai 2018 se résumait en une constatation de (ma) bêtise et une accusation de harcèlement à son encontre. Ce qui , selon lui, lui permettait de ne plus répondre .
De l’avis d’un avocat, Cédric VINCENT , huissier de justice aux Sables d’Olonne, ne pouvait pas avoir gardé cette somme des trois loyers censés appartenir à Isabelle BLAINEAU….. mais qui ne lui appartenaient pas vraiment, puisque qu’elle les avait déjà encaissés en temps et en heure.
Et , le pompon revenait à Carine HALLEY , procureure de la République et qui avait affirmé que les escroqueries de ces deux-là , qui jouent au bailleur et au magistrat pour arriver à leurs fins , ne relèvent pas du pénal
Ouïlle . Les Sables d'Olonne mieux que la Corse et le Var réunis ! .
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