8 mars 2016 - Femme française sans droits constitutionnels
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Le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes.
Pour le faire oublier par un glissement de sens, certains parlent de « fête des femmes » et organisent des festivals rigolos ou rigolards qui dénaturent le sujet.
Comme à Marseille.
Cet article, ici, sera seulement un recensement de quelques plaintes évacuées vers des poubelles de services de l’Etat, à la convenance de fonctionnaires incités à le faire et couverts pour ce faire, et qui entrainent une privation systématique , quasi officielle, des droits constitutionnels de la citoyenne concernée, et d’autres . .
Les droits bafoués, sont des droits constitutionnels de base, de personne normale et qui paye , bien obligée, les impôts qui les garantissent aussi .
En partant seulement de 2008, on peut se rappeler l’incident du mien harcèlement , photographié à l’intérieur du magasin Monoprix-Montparnasse . Ce jour-là , le chinois mafieux , franc-maçon , harceleur et psychopathe grave, Wen , qui me poursuivait , s’était retrouvé sur la photo.
En sortie de caisse, j’avais été empoignée par un vigile qui voulait mon appareil photo, pour détruire la photo du chinois. Niet . Lâchant le poignet , le vigile avait alors agrippé mon vêtement, pour me plaquer et sol et me trainer sur plus de 10 mètres
Quelqu’un avait appelé la police.
Nous avions fini au commissariat où un lieutenant avait tenu à se charger personnellement de l’affaire. Ce qui avait transformé ma situation de plaignante de brutalité et d’agression physique violente , en accusée de vol. Selon le lieutenant de police, j’aurais eu essayé de voler 2 crayons , et le vigile , dont c’est le rôle , aurait eu voulu l’éviter. C’était faux.
Et il faut surtout se souvenir qu’un vigile n’a le droit ni d’agresser un client, ni de lui arracher son appareil photo, ni de plaquer le client au sol en le brutalisant , ni de le trainer sur le sol.
Une convocation de police plus tard, j’avais demandé des nouvelles du visionnement de la vidéo du magasin au moment des faits. Vidéo illisible , selon le policier du jour, qui avait aussi ajouté qu’il était originaire de Saint Malo (35), une ville où j’habitais alors en doublon avec Paris.
A Saint Malo (35), le harcèlement global en réseau avait ensuite redoublé.
Et en tous endroits, le harcèlement de vigiles de sociétés de sécurité avait décuplé, jusqu’au ridicule.
image du site de Dilem
En 2010, une requête présentée à la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) institution alors présidée par un français , avait glissé en poubelle, avec l’aide efficace du collègue/ juge tchèque du président français .
Une requête ne peut être présentée à la CEDH qu’après avoir épuisé tous les recours nationaux possibles.
C’était le cas.
Une requête à la CEDH se fait contre l’Etat français, si et quand des fonctionnaires français (policiers- gendarmes- magistrats ) qui le représentent, et aux salaires payés aussi par les impôts de la victime, ont failli à leurs obligations .
C’était toujours le cas .
Les manquements de procédure présentés dans cette requête contre l’Etat de droit français, étaient même aussi grossiers que grotesques .
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Cette requête à la CEDH notait aussi un viol, volontairement ignoré par la juge d’abord en charge de ce dossier. Les autres juges, des deux sexes, avaient suivi son exemple.
Il s’agissait d’un viol en appartement .
Ce type de viol en appartement avec traces et d’habitude sans souvenir , sauf cette fois-là, est connu comme l’expression de dominants criminalisés. Il serait , selon certains, destiné à traumatiser la victime, la faire passer pour folle, la faire taire et l’ humilier .
Pour parfaire le scénario , des pions/harceleurs sont parfois envoyés pour nier la réalité de la cible et selon un procédé de harcèlement classique.
Cela consiste à se taper dans la cible, dans la rue et à délivrer un message pendant ce temps d’attention captée.
Dans le cas du viol , le message est « trop moche , pour qu’on ait envie de la violer » qui crée une confusion entre un viol frénétique par pulsion sadique ou possessive , et un viol programmé et camouflé . Ce message d’inconnus, propose , aussi ,une humiliation classique supplémentaire: « trop moche » .
Une fois cette requête évacuée par la CEDH, une autre requête pour droits de base d’être humain bafoués, avait été déposée , sur place, à l’ONU à Genève.
Elle avait aussitôt été rejetée sous le faux prétexte de traitement double (CEDH + ONU)
Une nouvelle même requête , envoyée au bureau ONU de New York était revenue à Genève et avait cette fois été taxée d’impossible à traiter.
Comme si les conventions et chartes garantissant les droits humains avaient oublié d’en exclure certains.
Plus récemment, ce sont des plaintes au pénal que le système français avait encore étouffées. Ces plaintes, majoritairement portées directement auprès de procureurs de la République sont de deux sortes
- plaintes pour crime (7 plaintes)
- plainte contre faussaires.( 3 plaintes)
Les plaintes pour crime, 5 plaintes à Paris (75) et 2 plaintes aux Sables d’Olonne (85) couvrent les divers aspects du harcèlement électronique qui entraine et de façon intentionnelle
- privation de sommeil continue
- atteinte à l’intégrité physique et mentale
- souffrance volontaire inutile , infligée en continu
Les intervenants , auteurs/promoteurs ou acteurs du harcèlement électronique, si connus, avaient été nommés dans certaines de ces plaintes. Non seulement , ils n’avaient pas été inquiétés mais en plus ils avaient été laissés libres de continuer, prouvant ainsi la volonté criminelle du système.
Les plaintes pour ce crime de harcèlement électronique ont plusieurs possibilités de traitement .
Ces plaintes avaient été renouvelées et pourtant malgré l’urgence , toujours laissées non traitées .
La méthode parisienne avait consisté à ne pas répondre.
A LSO, les plaintes avaient été travesties par des spécialistes du droit et du respect de la loi.
Ces plaintes contre des dominants criminels de ce pays et leurs associés, avaient abouti en 2013 à créer et faire créer de faux dossiers médicaux pour pouvoir piéger et enfermer la cible(moi et bien d’autres) à faire taire et à décrédibiliser.
Ces faux dossiers sont fabriqués avec la collaboration active , inconditionnelle et systématique d’habitués du corps médical, spécialistes de grilles de lecture mais incapables de prouver ce qu’ils avancent ou annoncent comme maladie et pourtant de façon péremptoire.
Pour les aider , ils peuvent compter sur de nombreux appuis d’intermédiaires qui vont des pompiers aux policiers , susceptibles d’orienter ou canaliser les cibles à éliminer, vers leurs services.
Ces médecins fabricants de faux dossiers sur commande sont des faussaires souvent pervers. Jamais contestés , ils procèdent en réseau et sans gêne en multipliant les décisions privant une cible de ses droits par paliers successifs .
Ce seront ensuite , et si possible, autant de verrous de type administratif , à faire sauter pour sortir . Pour l’éviter ( la sortie) , ils utilisent des neurotoxiques à forte dose. Ceux qu’ils m’avaient donnés, tout spécialement, la veille d’un entretien avec le juge , et que j’avais fractionnés et partagés avec les poissons de la Seine, donnaient des manifestations de type LSD.
Deux plaintes contre des médecins faussaires qui sévissaient à l’hôpital Européen Georges Pompidou, n’ont jamais été traitées. Elles ont été « oubliées «, malgré mes lettres de rappel à Mr Molins Procureur de Paris .
Une plainte contre un gestionnaire de biens et également faussaire, de Vannes (56) portée en août 2014, avait d’abord été détournée vers la catégorie petite escroquerie. Une fois recadrée à l’initial « plainte pour faux et usage de faux » , elle était passée sous le coude de quelques policiers étouffeurs, chargés , paraît-il d’ une enquête qui dure …. qui dure…. et durera.
L’absence de traitement judiciaire des plaintes de femmes est un élément majeur d’un sytème de domination par déni de droits constitutionnels .
Ce système de domination s’ auto-alimente par détournements des qualités, des fonctions et des salaires liés à des responsabilités utilisées pour nuire à une partie de la population , par des individus qui prennent des poses ou parodient des actions de protection .
Cette absence de traitement judiciaire de plaintes de femmes alimente une forme d’omerta mafieuse faite d’oublis volontaires, d’intimidations et de menaces diverses , pour permettre le secret et le silence sur une organisation de représentants du droit qui le bafouent pour assurer leur pouvoir , à un premier niveau .
A un autre niveau , elle se révèle comme l’expression la plus flagrante d’un système de solidarité et de fraternité criminelles qui entretient en ne le combattant pas, voire promeut, le crime violent , barbare et caché qu’est le harcèlement électronique par exemple , et ce, à n’importe quel prix de santé ou de vie pour les victimes qu’on essaie de faire taire en les privant simplement de leurs droits constitutionnels élémentaires .
Pour essayer de contraindre les victimes au silence on prétend en plus qu’elles sont
« procédurières »
ce qui est censé être un trouble du comportement., alors même que la multiplication de leurs plaintes relève du non traitement des précédentes et surtout de la continuation des horreurs non traitées et non arrêtées.
Ce système criminel permet donc en fait la destruction programmée de personnes dont il ne restera aucune trace de plaintes et par conséquent aucune trace non plus des faits incriminés , que ce soit dans les archives de la police ou dans les annales de la justice à la rubrique des cas ayant fait jurisprudence .
"Elle dit qu'elle vote contre la lapidation"
Lettre au ministre de l’INTERIEUR ( lettre portée. Aucune réponse)
Lettre au Préfet de police de PARIS et en référence à une réponse du Tribunal Pénal International
Aux élus français
Quatrième lettre au Président de la République française François Hollande
PARIS (75)
VENDÉE (85)
ONU et CEDH
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