A l'attention des prochains locataires du A211 à CAP OLONA


Le A211  est le numéro d'un appartement qui se trouve dans la résidence Cap Olona aux Sables d’Olonne (85) , une ville peuplée de gens charmants. Mais pas tous.
Ceux dont il a été question  ici, sont des harceleurs, crapules, escrocs, criminels cachés sous des apparences de gentils garçons, ou de braves  femmes , pour beaucoup d’entre eux et elles .
Il faut rappeler que cet appartement A211 est situé sous le A221, choisi/bloqué pour servir de base à un réseau criminel qui y fait défiler  ses adhérents , membres accros aux tirs  d’énergie sur être humain.
La nuit dernière y avait  été une nouvelle épreuve dont j’aurais bien pu ne même pas émerger,  tant les tirs violents , dirigés dans le cerveau sont devenus  dangereux. 


Ceci est la résultat d’un déflagration électrique produite dans le cerveau par un tir traversant plaques de  métal, cuir, épaisseurs de mousse ,  matelas et coussin superposés.


Ceci indique  la pagaille et l’affolement des différentes parties du cerveau au moment d’un tir,  ressenti comme moyen.
Après une nuit de cette sorte, il faut presque un GPS au matin, pour retrouver la salle de bain.
Dessin de Voutch

Les informations données ci-dessous sont plus susceptibles de concerner   les prochains locataires,  parce que généralisées. Elles expriment, par des exemples, les travers de la société française soigneusement camouflés. 
Elles donnent  surtout une indication de  mode opératoire ou de réaction,   assez habituel pour être reproductible par le besoin compulsif  des harceleurs,  forcément locaux ,  et qui s’y adonnent. 

Après un article mentionnant les découpages des harceleuses de Paris XV * (1) , j’avais trouvé ceci à mon retour chez moi.Il s'agit d'une réaction instantanée qui se veut peut-être de provocation ou de moquerie.


Hier 22 mars , la ou le harceleur(e) avait déposé ceci sur le lit de la chambre. Ce plomb avait été utilisé le dimanche 19 mars,  puis mis à la poubelle. La poubelle avait été portée dans un container   le mardi 20 mars. Cela suppose donc,  que le plomb avait été retiré de ma poubelle le 19 ou le 20 mars , pour être ensuite rapporté le 22 mars. Cela indique 2 violations de domicile.


Quelques jours plus tôt, en faisant mes cartons d’Expulsée, j’avais laissé sur un carton  ce mouchoir trouvé tâché dans sa pile. En rentrant le lendemain, le mouchoir présentait  la déchirure  montrée ci-dessus , et qui ne correspond à aucune pliure.



En déplaçant le lit du salon pour organiser la protection nocturne  de ma tête tant convoitée par le crime organisé de Cap Olona aussi , ceci  ci-dessus était apparu dans sa très grande transparence . Il s’agit d’un sac en plastique qui contenait une réserve de plusieurs dizaines  de plombs  verts à usage unique . Ce sac était normalement stocké dans l’armoire de la pièce voisine. 
L’armoire , actuellement difficilement accessible  pour cause d’entassement de cartons prêts au départ posés   devant sa porte , montrait pourtant et en plus du vol des plombs,  une visite des harceleurs  et  à base des niaiseries très habituelles  :  sur l’étagère vidée de cette armoire , les harceleurs  étaient venus cacher des chaussettes  dépareillées , et provenant d’ un meuble de la salle de bain.


Tous les individus ciblés par ces réseaux et à qui l’on veut faire croire que ce sont eux qui déraillent , doivent savoir et pouvoir dire,  que ces imbécilités destinés à les faire devenir ou faire passer pour  dingos,    existent bien et  sont totalement  inadmissibles , quel qu’en soit  l’instigateur ou l’instigatrice .
Les exemples détaillés dans ces blogs  sont tout particulièrement destinés aux individus ciblés que l'on cherche à déstabiliser,  pour les rassurer et  leur répéter en le démontrant "Ce n'est pas vous qui êtes fous"

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Comment se débarrasser de l'oxyde de graphène des vaccins

Jacques Attali : "L'avenir de la vie" 1981 - Extrait .....et rectifications

Les vaccins à ARNm ont été conçus pour provoquer des maladies graves et être résistants aux anticorps - Explication par Karen Kingston