Victime de harcèlement électronique, déclarée faible d'esprit par un procureur, expulsée par la force publique
Pour mémoire , ma propriétaire Madame BLAINEAU voulait de l’argent , mais ne voulait pas faire face à ses obligations. Le bailleur du bien , non plus. Mme BLAINEAU avait demandé mon expulsion . Elle l’avait obtenu grâce au harcèlement électronique mis en place aux Cap Olona. Le harcèlement électronique tel que celui qui m’est infligé , prive de sommeil dans la souffrance, et empêche un comportement normal d’une personne . Pourtant la victime à l’apparence normale . Enfin, presque. Un délai à cette expulsion programmée avait été demandée au juge des expulsions du TGI des Sables. Mme BLAINEAU et son avocat Me ROUBERT ne voulaient pas de délai. Pour être sûr d’une décision en ma défaveur , Me ROUBERT avait fait intervenir le futur remplaçant du préfet, Mr NIQUET. Mr NIQUET avait fait très fort , et avait attendu le temps d'être devenu préfet par intérim pour pouvoir acter cette faveur à Mr ROUBERT. Ce jour, Mr VINCENT l’huissier de M