Harcèlement au TGI des Sables d'Olonne ( 85)


L’homme fort du TGI des Sables d’Olonne est le gardien du portique de sécurité. 
Il est là pour vérifier qu’aucun quidam n’entre dans le TGI  avec une bonbonne de gaz dans chaque poche, une kalachnikov à la ceinture , un couteau dans les chaussettes ou des lames de rasoir sous la langue. Entre autres.

En fonction de son humeur ou de ses poussées d’adrénaline, ce responsable de sécurité  passe et repasse avec insistance le détecteur de métaux sur le dos de femmes.  Un truc  connu de vicelard,  pour faire sonner l’appareil sur les agrafes d’une pièce de vêtement et   obliger à  le  faire enlever 

Comme tout représentant d’un service de sécurité privé et délégué, il est aussi l’oeil et l’oreille du réseau local des dominants . Soucieux de remplir ce deuxième rôle  caché, il   prend  donc la liberté  de demander à une contribuable ce qu’elle vient faire dans le TGI  .



D’habitude c’est  plutôt à  la gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne  qu’on le dit . Car c’est elle qui ouvrira , ou pas, la porte d’accès aux services.

Ce jour-là , un mercredi , je venais  pour obtenir des informations  du bureau des plaintes avec CPC .  Il s’agissait de  démêler un pataquès de flics mutiques, et d’ essayer d’apprendre SI la juge  des plaintes avec CPC, m’avait faite convoquer.

Car , le commissariat des Sables d’Olonne,   semblait bien s’être  payé une nouvelle bosse de rire au dépend d’une victime . Moi.
Ce commissariat , dirigé par l’imposant  Mr Deridder,  m’avait  fait envoyer , par une « bleue « ,  des convocations pour audition. Ces envois  avaient été faits en août,  après   que j’aie eu  été jetée à la rue par les services locaux  de l’Etat . Justement.



Extrait du n° spécial du Canard Enchaîné M 02149-141

Ceci  est une méthode connue de harcèlement de flics. 
 « Flics » est un terme familier pour « policier » . Comme « toubib » est un terme familier pour « médecin » 

J’appelle « flics »,  des policiers qui  utilisent leur fonction pour des règlements de compte personnels en groupe, ne respectent pas les citoyens et  le manifestent par leur comportement .  Ce faisant , ils usurpent  leur salaire , bafouent leurs engagements à l’égard d’un Etat de droit,  et se déconsidèrent tout seuls.


Ce sont des harceleurs cachés , de femmes surtout,  même s’ils  tapissent leur  bureau d’accueil d’affiches de conseils aux femmes victimes de violence.  Avec un  slogan  fort « portez plainte » .

 Cette méthode de harcèlement  de type administratif  utilise, aussi,  les moyens de l’Etat  (convocation et respectabilité supposée de la fonction) , pour feindre la régularité d’une réponse à une demande de magistrat .  

Mais cette méthode de harcèlement  utilise  simultanément et vicieusement une information connue des flics : l’absence de la victime qui ne recevra donc pas les convocations. 

Ainsi ,  des convocations sont envoyées , ou pas ( mais  les flics le prétendent) à une personne injoignable. La personne ne connait pas l’existence de ces convocations et ne répond pas ou ne répond pas à temps ( délai souvent très court) . Puis quand la personne  devient joignable , un avis de flics ou du tribunal,  lui apprend   que faute d’avoir répondu  régulièrement aux convocations, son dossier a été enterré.  
On me l’avait déjà fait plusieurs fois.
Ce qui me situe, comme beaucoup d’autres citoyens français,  en victime des réseaux  de harcèlement dont les flics font partie. Manifestement.



 de Kiro,  page 82  du dossier du Canard Enchaîné n° M 02149- 141

Or, il se trouve qu’aux Sables d’Olonne (85), comme ailleurs,   où les représentants de l’Etat  se moquent des femmes et des victimes, en bande organisée et avec les notables et voyous du coin ,  peu de gens ignoraient ce fait de mon expulsion  par LA FORCE PUBLIQUE. 
Sauf, peut-être,  la « sous-brigadiere »,  utilisée par ses collègues pour envoyer les convocations. Elle ne connaissait sans doute pas encore le système .

Car, la police avait bien été conviée à la comédie de mon  expulsion , imaginée par les enragés ROUBERT/NIQUET/VINCENT/  . Dans cette comédie , hilarante pour eux, la police représentait LA FORCE PUBLIQUE, demandée par Vincent NIQUET  de la préfectureet mise en oeuvre par  Cédric VINCENT, huissier de justice .

Monsieur DERIDDER, commissaire de police aux Sables d’Olonne avait  ainsi facturé  19, 80 euros,  la figuration de son policier délégué à la comédie d’expulsion  d’un appartement vide,  et dont la propriétaire avait les clés.



Lorsque j’étais allée dans ce commissariat pour  une explication , la « sous-brigadiere » en charge du dossier  venait, parait-il,  justement de quitter son bureau. Il était 17H30.  

Et  Monsieur DERRIDER ,  le commissaire , qui faisait faire des A/R à son  proéminent estomac  derrière le policier de l’accueil qui me répondait , était censé ne pas avoir de temps pour recevoir une victime pour une explication de 2 minutes et demi, sans rendez-vous.
La victime  était priée de revenir un autre jour. 

C’est une autre méthode de harcèlement de fonctionnaires  : faire  perdre le temps des contribuables et faire revenir … 3 fois, de préférence.  
3 est le signe  présumé de la suprématie  de franc-maçons HORS LA LOI  et criminels autorisés , ou tout simplement de leur entre-jambes  vénéré.

Faire perdre le temps des contribuables se fait aussi , dans certains TGI. 
Les petites villes où la police et les employés du TGI  participent au harcèlement de victimes ,  deviennent alors de véritables étouffoirs par harcèlement corporatiste de collusion.

Essayant de contourner ce harcèlement de flics, j’étais  malgré tout  allée au TGI le mercredi 28-9  pour savoir  SI une juge avait initié  cette ou ces convocations et QUAND.



Et la gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne, m’avait appris que le bureau du Doyen des Juges d’Instruction était fermé le mercredi. Le mercredi , la greffière de ce bureau  est en  repos. 
Le mercredi  , est, en effet souvent appelé en France «  le jour des mères «  C’est un jour sans école pour les enfants  que leurs mamans choisissent de garder, en séchant officiellement et légitimement  le bureau.
Faute de greffière  disponible le mercredi, il faudrait revenir.

Deux jours plus tard, la gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne, avait déclaré que les greffiers du bureau d’Ordre étaient absents pour la journée. Ça ne me concernait pas. J’avais demandé l’accès au bureau des plaintes avec C.P.C. et non pas au bureau des plaintes au Procureur.

SI. SI . La dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne, n’en démordait pas. Elle savait mieux que moi ce que je voulais. Elle se  savait surtout, par l’informatique de ce TGI ,  face à « une simple d’esprit « et  elle semblait bien décidée à en profiter pour rigoler avec sa bande.

 La gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne m’avait  finalement ouvert la porte  d’accès aux bureaux, me conseillant d’aller  chez l’austère et très sérieuse  Christine (Madame HERIAUX) et qui  s’occupait d’autre chose . Christine , agacée, m’avait envoyée bouller. Avec raison. 

En insistant un peu, dans le couloir,  j’avais fait sortir l’homme de maintenance , enfermé avec les autres dans un bureau. 
Selon lui , Madame PALAMARA et Monsieur LEPECQUET avait  eu, la veille,  une journée de travail très chargée . Alors , ils avaient eu ensemble , une journée de repos  de compensation , ce vendredi 30-9 . Ce qui  expliquait leur bureau vide, porte ouverte.

Il fallait peut-être comprendre de ce type d’explication,  que travailler  ou travailler  beaucoup une  journée,  est si peu  normal qu’il était important de s’en remettre,  par un repos immédiat,  dès le lendemain , un jour oeuvré.

En bas ,  à mon retour vers la sortie,   la gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne n’en pouvait plus de rigoler .

J’avais quitté  le TGI , pour revenir 15 minutes plus tard , avec un enregistreur tout plastique , bien planqué. 
Il était 11H45. 
La gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne, avait protesté . Les bureaux allaient fermer . Avant l’heure ? 

Et elle avait répété  pour mon enregistreur ….. qu’elle ne savait pas ce qu’était une plainte avec CPC  ( ma faute : je disais n’importe quoi) …. et que je parlais trop vite pour qu’elle comprenne ce que je disais ( ma faute : j’avais un langage confus ou inarticulé)…. que le seul endroit où je devais aller était le bureau  201 ,vide ce jour ( ma faute :  je ne savais pas ce que je voulais ou/et  je ne comprenais rien ) …. et qu’il ne fallait surtout pas croire ce qui est écrit sur le site du Ministère de la Justice  en matière de plainte avec CPC  et qui était faux  ( ma faute ? : je ne sais pas lire) …. qu’une victime ne peut pas déposer une plainte avec CPC ( ma faute : je  suis ignorante et je m’obstine)  …. qu’elle seule savait  ( ma faute : mon ignorance  de béotienne) …. et qu’il faudrait que je revienne la semaine prochaine. 

Ce serait la troisième fois . Le compte  des harceleurs serait  bon.

Parmi les habitudes des harceleurs, les fausses informations relèvent du tout-venant.
La 1ère fois que j'avais souhaité prendre connaissance de mon dossier, La gentille-dame-de-l’accueil-du-TGI-des-Sables-d’Olonne, avait prétendu que le greffier du  bureau d'ordre où se trouvait ce dossier, s'appelait  PELLOQUET. Elle l'avait même écrit.


Elle l'avait aussi répété , hilare, lors de ce 3ème passage . 
En fait,  ce jeune homme aux yeux bridés porte un autre nom et ne risque donc pas de répondre aux courriers mal libellés.


Se moquer des victimes semble le summum du comique en TGI.




Accessoirement, le maintenant ex- procureur des Sables d’Olonne,  Gilbert LAFAYE avait bénéficié récemment d’une promotion. Il est devenu Avocat Général à Mayotte. Un endroit, parait-il ,  avec une magnifique barrière de corail.



A quand la promotion de Catherine BARRAT, comme 1er présidente du TGI de Saint Pierre et Miquelon ? 


Un  endroit idéal  pour s’intéresser aux moeurs des Inuits…. ou lire des textes sur l’IC/EHS et apprendre que ça ne se guérit pas avec 3 rustines et 3 comprimés , 3 fois par jour pendant 3 ans ,  tant que la source des attaques n’a pas été stoppée.



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