La fureur des dénonciations- Le bruit des mots nécessaires.

Dessin de GROSS

Les torrents de boue  déversés sur des femmes et des proies de toutes sortes depuis des décennies  viennent de se transformer en coulées  de lave brûlantes , fracassantes , sur les réseaux sociaux. 
Il parait que la bienséance  des victimes n’est pas au rendez-vous .
Comme si les injures et les obscénités  des prédateurs , à l'origine de ce dégobillage de mots nécessaire et salutaire,   étaient du bon goût, eux.


Certains pudibonds s’ offusquent  même  de ce mot à mot de la dénonciation. Ils n’oublient pas , en plus, d’essayer de retourner les situations contre les victimes. Comme tous harceleurs, nourris au biberon de la récupération systématique de toute situation qui tournerait à leur désavantage, ils utilisent les mêmes habituelles et grossières  ficelles, en accusant les victimes d’exagération ou de manque de retenue.



 de Benoîte Groult

Certains  se paient même  d’abord le culot de longs exposés d’apparente  compassion intellectualisée pour mieux fustiger  après un  préalable listage  des maux dénoncés.   


 En plus,  au nom d’une démocratie mise en miettes  depuis longtemps par les complicités habituelles des nantis et dominants  de tout poil et qui assurent   l’impunité des goujats et  des criminels  , les bien-pensants , veulent des preuves , des actions en justice. … pour des classements sans suite, assurés par des étouffeurs aux bonnes places .



Cette fois-là , les menaces de mort proférées contre moi par le gros Walti, à Paris XV , avaient été enregistrées. 
Une copie  de l’enregistrement était jointe à ma plainte au procureur de Paris. 

D’autres copies avait suivi à l’usage de tous les copropriétaires du 22 rue Ernest Renan, où certains ne pouvaient pas ne pas avoir entendu les propos du tonitruant WALTI.



La plainte  pour menace de mort et injures sexistes , citait  les propos de WALTI  mot à mot




 La réponse rapide du Tribunal de Paris  avait été un classement sans audition. Sans suite. 
Ce que j’avais immédiatement contester.
Une autre réponse  m’était parvenue illico. Elle précisait que cette plainte avait été traitée par UNE AUTRE ADMINISTRATION, .

Mon courrier suivant et  immédiat , voulait légitimement connaitre  le nom de cette administration parallèle à la justice pénale  française,  puisqu ‘elle  empêche les  plaintes des victimes d’être prises en considération. 

Aucun greffier  du TGI n’avait daigné répondre.

Une plainte avec CPC ( constitution de partie civile) avait été faite après les délais requis. Elle sera classée sans suite par un subterfuge aussi grotesque que familier.

Et  l’illettré Walti qui  avait inventé des citations d'auteur chinois pour me traiter  d'hémorroïde , m’avait menacée
- de plainte en diffamation 
- d’enfermement en hôpital psy , si je continuais à réagir.
Ce dernier point est  aussi l'ultime méthode des dominants en bande organisée,  pour discréditer une proie cohérente, et censée,  par un chantier  entièrement fabriqué  avec l'aide des administrations  justice et police et de leurs obligés du corps médical.


Alors,  pour les victimes, et à défaut d’être traité(e)s en citoyennes et citoyens, avec les droits que  propose  une démocratie , il reste la fureur d’expression  de  la dénonciation  et le bruit  des mots de toute nature,  même si cela  fait étouffer de rage  mal contenue ,les habituels prédateurs et leurs complices les dominants .


Pour un autre point de vue  sur l’actuelle difficile situation des femmes en France, on peut lire ci-dessous l’article de cette artiste qui connait bien les deux faces d’une société de non respect et d’intolérance. 


Ouest France, 24 octobre 2017

Et pour essayer de détruire un mythe à l'origine de beaucoup des maux produits par les porcs désignés et  dénoncés par la déferlante  des mots  des jours derniers  , il y a aussi ceci :





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