Bientôt le 25 novembre- Violences de femmes contre une femme - Catherine BARRAT
Le hall du TGI était désert. Moi, mise à part. Ce n’était pas un jour d’audience.
J’attendais l’ouverture d’une des deux portes qui encadrent ce hall, pour aller payer ma consignation.
Le buste de la magistrate Catherine BARRAT s’était soudain glissé dans l’entrebâillement d’une de ces portes et s'y était coincé. De son regard vide d’expression, la juge suivait mes déplacements d’impatience. J’avais salué. Sans réponse.
L’ouverture de la porte me libérera de ce harcèlement muet et insistant et reconnu par expérience comme typique, aussi , de franc-maçons exprimant ce qu'ils pensent être leur droit de dominants.
Pour descendre de son bureau au bon moment, il fallait qu’elle ( Catherine Barra) ait été avertie.
La petite dame de l’accueil du TGI fait très bien ce boulot-là de participation au harcèlement en réseau.
Catherine BARRAT était la juge des expulsions du TGI des Sables d’Olonne, au service des dominants de cette ville. Ces dominants divers avaient organisé « mon » harcèlement électronique par les canalisations électriques de l’immeuble avec la complicité de misogynes violents locaux.
Ce fait ( utilisation des canalisations électriques) avait été noté, donc reconnu, dans un courrier , par le gestionnaire de biens CM-CIC Gestion Immobilière, complice de criminalité sur une de ces clientes . Ou crue comme telle à cette époque.
Ce fait ( utilisation des canalisations électriques) avait été noté, donc reconnu, dans un courrier , par le gestionnaire de biens CM-CIC Gestion Immobilière, complice de criminalité sur une de ces clientes . Ou crue comme telle à cette époque.
A la manière de certaines de ses collègues psychorigides , Catherine BARRAT dont mon sort dépendait, n’avait qu’une seule lecture de la situation : le désir de violence des mâles de son groupe à l’égard de leur victime: une femme à abattre.
Catherine BARRAT, adepte du grotesque et forte de ses soutiens mâles locaux habitués à voler dans le cadre de leur fonction, , n’avait pas hésité à transformer la probité d’une victime , malade, épuisée mais résistante , en turpitude et sanctionnée par une décision de justice applicable sans délai,
Et Catherine BARRAT m’avait fait jeter à la rue par son copain franc-maçon , huissier de justice et voleur.
Il se trouve que la criminalité de tirs de micro-ondes et d’énergie dirigée dans le cerveau avait fait de moi une EHS grave. Ce que personne n’ignorait.
EHS est sans doute une des pires conditions de SDF
Cet état de « sans domicile fixe » en attendant de trouver un lieu de vie , m’ avait obligée à évoluer ou vivre dans des collectivités ou des espaces collectifs, tous saturés de WiFi et d’appareils émettant par hasard ou volontairement des ondes sonores ou radiatives diverses.
Mon véhicule, aussi, avait été piégé par des zozos criminels à l’aide d’un gadget mis en résonance à la volonté de ces sadiques.
Certains monastères où j’avais difficilement trouvé une pose en plein été , hébergeaient des individus harceleurs et sadiques aux téléphones munis d’applications électroniques invalidantes. D'autres n'avaient pas hésité à mettre des appareils propulseurs de signaux , en proximité de ma chambre ( Craon)
Catherine BARRAT , magistrale amie de faussaires et d’escrocs , à l’origine de la violence d’une expulsion avec perte et fracas , est bien la responsable de toutes les violences qui ont suivi ensuite dans cette période SDF et perduré .
Elle avait fait en sorte et permis que la violence et la criminalité par atteinte à l’intégrité physique de harcèlement électronique et qui s’organise en cachette contre les femmes , en FRANCE, ne donne lieu à aucune enquête et continue en se pérennisant.
Le vidage de la victime était censé débarrasser les criminels qui finissaient par redouter d'être reconnus.
Le vidage de la victime était censé débarrasser les criminels qui finissaient par redouter d'être reconnus.
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