Le masque - un rite d'initiation à la soumission

Cette analyse est extraite du blog d’Olivier Demeulenaere .
Olivier Demeulenaere est journaliste indépendant , spécialisé en  Macroéconomie Macrofinance,  Questions monétaires,  Matières premières
Le texte complet  de cette explication de l'usage politique  des masques se trouve  à https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/07/15/coronavirus-et-manipulation-politico-sociale-le-masque-comme-rite-de-passage-vers-un-nouvel-ordre-mondial/

" Ainsi, le masque devient une espèce de “rite d’initiation” de masse à un nouveau paradigme social complètement construit, comme le furent l’État, les institutions, le commerce, l’argent et les modes de contrôle, au fil de l’histoire. Ces rites de passage existent depuis des millénaires et sont devenus courants dans les sociétés secrètes, dans l’armée qui n’est qu’un gigantesque rite d’obéissance et de soumission à tout un système.
Les rites d’initiation renforcent le désir de se conformer, d’appartenir à un groupe, et donc par ce truchement d’obtenir une validation identitaire. La méthodologie rituelle est presque toujours identique quelque soit le lieu ou le temps où elle prend place.


1) Dans un premier temps, l’initié est placé en isolement, ce qui le conditionne psychologiquement à ce qui va suivre et insiste sur l’importance du processus


2) Ses routines quotidiennes sont chamboulées à dessein afin de faciliter le passage aux nouvelles “normes”. Ceci relativise sa réalité, “désacralise” l’établi et le prépare au changement à venir.


3) Normalisation visuelle des initiés entre eux, comme avec par exemple le port d’un uniforme, se raser la tête, le tatouage, la scarification ou le port d’un objet, d’un artifice distinctif. Le but est d’annihiler l’identité individuelle de chaque initié(e) pour la remplacer par une identité collective et contrôlable à souhait. De la même manière, l’initié(e) se sent partie intégrante du groupe, puis…


4) L’initié(e) est mis(e) en situation traumatique de plus ou moins grande intensité. Une confusion et une angoisse plus ou moins importantes sont induites, à ce moment psychologique vital, l’initié(e) est mûr(e) pour sa transformation d’appartenance.


5) Cet état psychologique favorise l’introduction d’une nouvelle “norme”.
Nous voyons que ce rituel du masque est en train de créer une dissociation entre l’obéissance et la désobéissance, la conformité et la non-conformité, dans un nouveau rapport dichotomique.
Dans un contexte “initié / non-initié”, les initiés sont endoctrinés à voir les non-initiés, les rebelles, comme des ennemis et à agir en conséquence (agressivité, violence, délation, ostracisme).


Dans ce contexte, le port du masque devient une reconnaissance collective et permet aussi d’identifier les “déviants”… et de préparer le terrain pour cette nouvelle escroquerie vaccinale qui vient. Soyons aussi clair là-dessus: aucun vaccin ne peut marcher (si tant est qu’un vaccin puisse être efficace), le virus mute en permanence…
A partir de là, le pas à franchir vers le goulag réalisé n’est plus bien loin, ce n’est plus un pas insurmontable, mais un petit pas, un de ces petits pas de la “nécessité” sociale dans le meilleur des mondes mis en place et que bien des gens trouveront normal de franchir… si on laisse faire et laisse verrouiller cette grille de contrôle planétaire.
Pensons, soyons critiques, unissons-nous, et agissons de concert, flinguons cette dictature en marche avant qu’elle ne nous flingue ! »


On peut rappeler, par ailleurs, que l'étude danoise sur l'in-utilité  des masques , a finalement été publiée dans la très prestigieuse revue Annals of Internal Medecine.

Une analyse de cette étude est proposée par Daniel Horowitz à https://www.theblaze.com/op-ed/horowitz-massive-danish-study-on-surgical-masks-found-no-statistically-significant-benefit-against-covid-19
Le passage le plus important de cet article est comme suit :
"Les résultats de cette étude massive et contrôlée dans la vie réelle montrent que le groupe qui portait des masques chirurgicaux en avril a connu un taux d'infection 0,38% inférieur à celui du groupe témoin qui ne portait pas de masques. C'est environ un tiers d'un pour cent, ce qui est si bas qu'il pourrait s'agir simplement de variances statistiquement aléatoires qui ne démontrent aucune efficacité définitive, même à ce niveau infinitésimal."


Rappel : Les dangers (connus)  des  masques
- une maille de masque fait 3 microns ( c’est écrit sur les paquets)
- un virus mesure 0,02 micron et s'il est aéroporté, il fait ce qu'il veut. Il a le choix entre toutes les mailles du masque pour pénétrer
- une grande partie des masques sont faits dans des sweat shops, pliés et assemblés à même le sol,  sans conditions d’hygiène minimale. ( une analyse de pollution des masques neufs a été présentée par un journaliste )
- un masque  acheté dans le commerce , selon sa catégorie , est fait de fibres de plastique ( polyéthylène,  polypropylène et  polyéthylène téréphtalate ) qui se détachent avec le frottement et l'humidité de la respiration confinée et
- le porteur de masque inhale et stocke  les fibres de plastique
- le % de perte d'oxygène  ( non) inhalée  normalement , est estimée à 20 % = fatigue cérébrale et mauvaise oxygénation du sang et des organes
- le CO2 expiré est re-inhalé et auto-intoxique l'organisme
Enfin
- un gouttelette fait 10 microns et c'est le seul cas où le masque pourrait  se justifier
Et pour finir
En salle d'Op pour compenser les  points  concernant oxygène et CO2, les intervenants sont gratifiés d'une oxygénation renforcée.

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