Torture électronique pour faire taire et soumettre par conditionnement
Le mot électronique désigne une forme de technologie utilisée pour pulser de l'énergie.
Je peux préciser ou confirmer ici, que je n’ai jamais pris mes blogs pour des confidents.
Les narrations des contextes où se produisent et se produisaient les divers phénomènes et événements rapportés, étaient et sont destinés à permettre des analogies à des personnes qui vivent des situations similaires. Les explications ou hypothèses d’explications de type science physique, proposées pour expliquer cette torture ne sont pas , loin de là, des vérités révélées ou absolues. Ce ne sont que des tentatives de compréhension.
Il existe pourtant quatre faits incontestables :
- une surveillance constante
- une réaction sadique immédiate de mes ennemis à une quelconque de mes actions, pour
- une volonté de dressage/soumission, et avec
- une participation d’individus en proximité et qui se met en place quelque soit l’endroit . Cette participation existe donc à l’état latent .
La présente anecdote qui a déclenché une nouvelle nuit de torture par énergie pulsée a été à rebondissement.
En journée, j’avais subi le harcèlement d’un dingo, employé d’un magasin , qui m’avait visé les fesses avec un jet de flotte, au moment où je me baissais pour récupérer mes articles . Il avait raté son coup et arrosé seulement la jambe de mon pantalon.
Et ça l’avait tellement distrait qu’il en avait oublié de me facturer et faire payer une partie des articles achetés et emportés.
De retour chez moi, j’avais raconté ce harcèlement de crétin sur Google.
Le soir , peu de temps après la fermeture des stores de la maison, côté rue, j’avais été la cible de tirs d’énergie violents et imparables.
Parce qu’il existe un autre taré du voisinage qui vient dans ma cour avec sa torche électrique une fois les stores de la maison baissés, j’en avais déduit , à tort ou à raison, qu’il était venu une nouvelle fois se défouler éventuellement en déclenchant un appareil mis en fonction en proximité.
Un changement de place de couchage n’y avait rien changé. Et par ailleurs les protections utilisées laissaient tout passer ( l’énergie brûlante) avec douleur dans le cerveau et sursauts de la cage thoracique.
Ce qui m’avait incitée à bouger et aller sur internet mettre en ligne :http://lezarceleurs.blogspot.com/2020/11/resistez-cessez-de-vous-faire-tester.html……
Au retour dans la chambre et sans avoir débranché le téléphone, le matraquage d'énergie avait recommencé en pire , à une cadence effrayante.Ce qui peut être le signe de radio-fréquences pulsées portées par des fils de cuivre .
Je savais alors, que la journée suivante serait faite de maux de tête, fatigue, auxquels s’ajouteraient les habituelles et redoutables manifestations neurologiques des périodes d’intense torture.
La torture propre
Dans un dernier effort de survie, j’avais encore bougé mon matelas , m’éloignant le plus possible des murs et avec toujours , serrée au plus près de la boite crânienne, l’étouffante masse des protections imaginées pour sauvegarder ce qui reste de viable dans le cerveau.
Et cela m' avait sans doute permis de dépasser la courte phase de l’endormissement par l’éloignement souhaitable de l’endroit qui pour cette nuit-là semblait véhiculer l’énergie : les murs.
Cette hypothèse d’explication de l’origine de la torture par énergie pulsée de cette nuit-là, fait bien sûr redouter les situations qui se multiplieront avec la mise en place de la 5G, capable de cibler n'importe qui, porteur d'un élément incorporé par vaccination,par exemple .
Nous sommes actuellement quelques centaines de personnes victimes de ce type de criminalité par énergie pulsée, en France .
Avec les 5G nous serons des millions de potentielles cibles , à punir et/ou soumettre au gré des dominants.
Sans vouloir interférer avec la conclusion présentée ici par la personne ciblée par harcèlement électronique ,et tirée de sa propre histoire , il faut cependant garder en mémoire plusieurs éléments.
Ce type de situation de harcèlement électronique , découvert à ses dépens par une personne ciblée , parait
- sophistiqué à cause du moyen utilisé ( l'énergie) et de la possibilité de le mettre en oeuvre sans être repéré, comme si l'opérateur était forcément un pro du combat,
- onéreux , en imaginant un matériel cher et compliqué à utiliser ,
- disproportionné , en matière de temps et d'organisation, par rapport à ce qu'est ou représente la cible sur le plan social , et qui lui fait de nouveau penser que cette organisation ne peut qu'être étatique.
Mais c'est ainsi oublier que le harcèlement en groupes organisés
- existe depuis longtemps et est basé sur des techniques d'espionnage/contre espionnage classiques , mais inconnus des cibles ,
- que les jeunes s'y frottent très tôt et sont ainsi formés pour continuer avec tous les moyens cachés nouveaux qui leur sont proposés puisqu'ils adorent le petit pouvoir que cela leur confère,
- que l'énergie utilisée, que les cibles découvrent avec douleur en imaginant le pire, peut être gratuite pour les opérateurs concernés par cette forme de criminalité, quand il s'agit de leur outil de travail détourné à leur profit, ou à celui de ce qu'ils prennent pour une cause à défendre,
- que ce harcèlement a peu de raison de cesser sans une volonté d'enquête de ceux qui sont payés pour cela , mais qui malheureusement font aussi la guerre aux personnes ciblées ...... quand et si , ce sont des femmes ,
- que les magistrats dont les actions ou résultats dépendent des enquêteurs, ici dans bien des cas complices, n'ont que peu de moyens, quand ce n'est de volonté , d'être efficaces .
Les organisations criminelles ont , comme les militaires qu'évoque la personne ciblée algérienne, des relais à peu près partout, chez les opérateurs de téléphonie, dans les entreprises distributrices d'énergie, dans les milieux d'électroniciens et de bricoleurs d'électricité . Ces organisations criminelles ont les même méthodes, apprises d'elle, que l'armée. Elles font donc illusion.
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