Christine Cotton entre la vie et la mort après sa plainte contre Big Pharma

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par Mike Borowski

13 novembre 2025

🔥 Les essentiels de cette actualité

• Le 13 novembre à 12h30, Mike Borowski révèle comment la France tente d’effacer Christine Cotton, la biostatisticienne qui a défié l’empire pharmaceutique.
• Christine Cotton, figure de la résistance scientifique, lutte pour sa vie après avoir dénoncé les mensonges statistiques et les manipulations des essais cliniques.
• L’État et les médias imposent une omerta totale, classant sa plainte sans suite et silence glacial sur son combat pour la vérité.
• Soutenir Christine, c’est défendre la vérité, la souveraineté et la dignité face au mensonge institutionnel.

Le 13 novembre à 12h30, Mike Borowski dévoile comment Big Pharma tente d’effacer Christine Cotton, en direct sur Géopolitique Profonde.

Christine Cotton symbole d’une vérité que le système veut faire taire

Christine Cotton, biostatisticienne intègre et figure majeure de la résistance scientifique pendant la crise du COVID, se trouve aujourd’hui entre la vie et la mort. Son corps est ravagé par une maladie grave et invalidante que la médecine officielle prétend ne pas identifier. Cette dégradation brutale survient quelques semaines après qu’elle ait déposé plainte contre les autorités sanitaires françaises pour administration d’une substance sans consentement et tromperie aggravée. La plainte, visant les responsables de l’injection Pfizer qu’elle accusait de ne pas correspondre au produit testé, a été cyniquement classée sans suite. La rumeur de sa mort, devenue virale sur X, illustre à quel point le pouvoir préfère enterrer la vérité plutôt que de lui faire face. Christine Cotton, elle, paie aujourd’hui le prix de son courage.

Christine Cotton n’a jamais fléchi face à la machine d’État. Biostatisticienne de terrain, elle a démonté les mensonges statistiques de la « pandémie », dénoncé les manipulations des essais cliniques et mis à nu la mécanique frauduleuse des laboratoires. Auditionnée au Sénat, elle a osé dire ce que tous savaient mais taisaient : la mascarade sanitaire n’était qu’une opération de contrôle massif. Son combat n’était pas idéologique, mais profondément humain : protéger les citoyens d’un mensonge d’État planétaire. La voir aujourd’hui brisée physiquement est un choc pour tous ceux qui ont défendu la vérité, car son affaiblissement résonne comme un avertissement adressé à toute dissidence scientifique.

L’omerta d’État contre la science indépendante

L’affaire Christine Cotton révèle le cœur du système : une technocratie sanitaire devenue politique d’ingénierie sociale. Ceux qui, comme elle, refusent de plier devant le mensonge sont méthodiquement réduits au silence. Les autorités de santé, loin de répondre sur le fond, ont choisi la disqualification médiatique, la marginalisation et l’oubli judiciaire. En classant sa plainte, elles ont confirmé que la « justice » française n’est plus un organe de vérité, mais le bouclier du mensonge pharmaceutique. Derrière les murs opaques de la bureaucratie sanitaire, c’est la soumission à l’OTAN, à l’Union européenne et aux multinationales américaines du médicament qui dicte la loi.

Les grands médias, eux, observent un silence glacial. Aucun plateau, , aucune enquête. L’omerta est totale, coordonnée, cynique. Ce mutisme médiatique n’est pas une coïncidence : il découle d’un pacte entre les élites politiques, les industriels et les rédactions subventionnées.

 Christine Cotton est devenue un nom qu’il ne faut plus prononcer. Son sort rappelle celui de tant de lanceurs d’alerte écrasés par le rouleau compresseur du mensonge officiel. Mais plus ils tentent de la faire taire, plus son combat résonne comme un cri de vérité dans la nuit du mensonge institutionnel.

Soutenir Christine c’est refuser l’effacement de la vérité

Christine Cotton n’a jamais appartenu à aucun parti, aucun lobby, aucune secte idéologique. Elle appartenait à la France libre des consciences souveraines. Son combat dépasse la question sanitaire : il incarne la résistance du savoir libre face au pouvoir totalitaire. Aujourd’hui, alors qu’elle lutte pour sa vie, notre devoir moral est de ne pas la laisser seule. L’État a trahi la science, les médias ont trahi la vérité, mais le peuple souverain peut encore se tenir debout pour défendre celle qui a eu le courage de parler quand tous se taisaient.

Le moment est venu de rassembler nos forces : communautés, réseaux, collectifs, citoyens lucides. Chaque message, chaque prière, chaque action compte. Christine Cotton n’est pas un symbole abstrait, elle est la preuve vivante que le courage a un prix. Si elle survit, c’est la vérité qui respirera encore. Si elle tombe, son nom restera gravé dans la mémoire de ceux qui refusent de courber l’échine devant le mensonge d’État. Soutenir Christine Cotton, c’est refuser l’effacement programmé de la vérité française.