CM-CIC et Mme Blaineau - Méli-Mélo - Anticipation par des harceleurs
Pour venir à Cap Olona , j’avais du signé un engagement de location. Il indiquait que CM-CIC était le propriétaire. On ne savait pas trop de quoi.
Pour éviter de me retrouver locataire d’une bergerie en Haute Corse, j’avais bouché les trous, dans la partie complémentaire de la fiche d'engagement de location.
Au moment de la signature du bail , un nouveau nom était apparu: celui de Madame Blaineau.
Par précaution j’avais interrogé pour savoir qui était bailleur et qui signait. Le représentant de CM-CIC Gestion Immobilière avait répondu « MOI » .
OK . C’était clair
De toutes façons Madame Blaineau ne souscrivait pas aux conditions légales et obligatoires d’un bailleur :
- adresse de contact
- signature du bail
Le bien loué, tout neuf présentait des anomalies notoires
- pas de cuisine aménagée
- les robinets d’arrivée d’eau des machines, montés à l’envers
- un appartement tout au gaz, sans gaz disponible
- une électricité qui cramait tous les cordons électriques.
et très vite
- d’incessantes violations de domiciles et vols ( dont chèques et documents)
Et , rien de tout ça chez des voisins, où j’étais partie enquêtée.
C’est à cela que l’on reconnaît, quand on à habitude d’en être victime, le harcèlement en réseau . La victime est la seule, l’unique à faire face à tout un tas de déboires et problèmes , totalement inédits et complètement fabriqués avec des apparences de petits accidents malheureux .
Le robinets montés à l'envers et la privation de gaz , étaient les sujets de conversation favoris de ma voisine , quand on se parlait encore. Pas une bonne idée !
De multiples demandes de corrections de ces anomalies à CM-CIC Gestion Immobilière avaient eu comme réponse du gestionnaire / bailleur : circulez …
Il y avait eu , là encore, malfaisance en bande organisée , avec la complicité de ceux qui encaissent l’argent de diverses commissions, et fournissent les copies de clés aux futurs nuiseurs.
Le harcèlement s’était fait en cachette , dans le cadre du métier pour ce qui est des harceleurs/escrocs, et dans l’intimité de l’espace privé pour la cible.
Une cible est ainsi laissée seule pour témoigner des méfaits et de préférence, les prouver, mais surtout pour se dépatouiller de tous ceux qui allaient ajouter des complications aux autres.
La lettre suivante, envoyée à Madame Blaineau , qui n’est pas bailleur de ce bien , mais que la juge Madame Soizik HELLEUX avait choisi de reconnaitre comme telle , explicite ce phénomène , et en notant , en plus , quelques coûts entrainés par le harcèlement en réseau .
Ce type de harcèlement est aussi destiné à ruiner une victime, par vols et dépenses induites à répétition.
Ce 10ème déménagement en 12 ans, s’il a lieu , en est un exemple criant.
Le 29 novembre 2015
Objet : votre appartement
Madame ,
Je vous remercie de votre lettre du 24 novembre 2015.
Ce qui suit ne constitue pas des récriminations à votre égard , puisque vous avez délégué la gestion de votre bien.
Cela peut , cependant, répondre un peu à votre interrogation.
Quand j'avais emménagé en février, j'avais eu la surprise , en plein hiver, de n'avoir pas de gaz, contrairement à ce qu'avait signalé l'agence. Donc pas de chauffage, pas de cuisine possible, pas d'eau chaude pour shampoing et douche. Cela avait duré 10 jours. J'avais acheté une plaque de cuisson et fait claquer ma bouilloir électrique sur-exploitée.
J'avais demandé une compensation financière que CM-CIC aurait du négocier avec l'agence. Rien.
Peu après mon installation, il y a eu de nombreuses violations de domicile avec vols et dégradations, prouvant des copies de vos clés d'appartement.
Par ailleurs, les robinets d'arrivée d'eau des machines étaient montés à l'envers. Ma demande de rectification à CM-CIC avait été rejetée. J'avais fait intervenir un plombier local.
Comme la cuisine de l'appartement était dépourvue de placards, j'avais demandé à CM-CIC si vous accepteriez de la conditionner un minimum. La réponse de CM-CIC avait été « on vous répondra » . Par 3 fois.
Une anomalie sur le circuit eléctrique produisait des étincelles lors de branchement d'appareils sur les prises. 4 cordons électriques avaient grillé à tour de rôle. Il s'agissait de cordons électriques d'appareils de précision et pourvus de l'équivalent d'un parratonnnère . Deux d'entre eux coûtaient 40 euros/pièce , les deux autres 71 euros/pièce . J'avais demandé à CM-CIC si l'assurance de l'immeuble était susceptible de prendre ces dépenses en charge. CM-CIC n'avait jamais répondu.
Pour exposer le problème des agressions à distance, je m'étais déplacée à Orvault, au siège de CM-CIC , demandant une intervention pertinente de votre gestionnaire qui avait répondu « ça passera »
Un courrier postérieur demandant une réaction appropriée sur le même problème avait vu le sujet détourné par des réponses sur des questions d'absence de blindage des câbles.
Or, le phénomène dont je fais état , détections à l'appui, est constitué par des « tirs » ou
« impulsions « faites volontairement.
Pour éviter ces agressions, j'avais pris l'habitude de dormir dans ma voiture.
Il y a quelques mois, j'avais regagné l'appartement pour la nuit et acheté une à une des plaques de métal pour blinder le dessous du lit . Après une nuit de répit à chaque fois , les tirs avaient systématiquement augmenté en intensité, montrant la malignité .
Il y a actuellement sous mon lit, 8 plaques de métal dont deux à 50 euros et six à 40 euros.
J'ai , par ailleurs, porté plainte auprès du Procureur de la République .
J'ajoute, qu'en venant ici , je ne connaissais aucun des voisins de cette résidence, et personne aux Sables d'Olonne.
Le rôle d'un gestionnaire de biens est d'assurer et de faire assurer l'usage normal d'un appartement. J' ai demandé à CM-CIC d'assumer son rôle au nom du règlement de copropriété de l'immeuble , et par ailleurs , j'ai retenu le paiement du loyer de novembre en attendant qu'il s'exécute.
Ce n'est pas encore le cas .
Je vous ferai parvenir le loyer de décembre directement.
Avec mes meilleures salutations
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