DRESSAGE DE FEMMES - Harcèlement criminel électronique français



Au retour d'une courte marche tonique de fin d’après-midi, un type attendait en face de mon immeuble. Il  avait tourné subrepticement la tête pour regarder de mon côté plusieurs fois , comme s’il espérait voir  quelqu’un sur ce remblai désert.  Mais  tout  en ayant l’air de ne pas le faire. Comme un mauvais flic. 

La tête de l'individu et  sa dégaine  m’étaient familières. L'individu avait été là, au même endroit avec les mêmes mimiques , avant de précédentes  nuits de torture à l’électronique
Ce qui  me faisait assez simplement penser qu’un récepteur électronique  en plein ou meilleur état de fonctionnement , pouvait avoir été renouvelé dans l’appartement, dans l'immeuble ou dans ma voiture, ou dans les trois. 

Le jour même, j’avais signalé à une correspondante par messagerie internet,  avoir pu dormir normalement pendant 8 heures , dans la rue, dans mon véhicule : un vrai  prodige, mais qui excite les tortionnaires du coin, par ailleurs hackers de ma connexion chez Orange.

Ce message, comme le précédent, a été mis,  sur un de mes blogs.

Il faut donc aussi   garder utilement en mémoire, ce commentaire phallocrate, pour essayer de comprendre ce crime de HE, et qui  expliquerait  les réactions sadiques, précédées de menaces ,  de ces français-là.

Il n’y avait pas grand chose que je puisse faire pour éviter ce qui allait suivre ,  tant que les représentants de l’Etat , représentantes  sans courage et y compris, couvriront ce crime . 



Et ce vieux polar était tout indiqué pour m’aider à ne pas y penser. La compagnie du  teigneux  et sympathique solitaire personnage central, Harry Bosch , était appropriée. Il   incarne, en effet,   à souhait , le flic défenseur des oubliés avec sa détermination à poursuivre les enquêtes , accroché à sa théorie «  tout le monde compte ou personne ne compte » 

Aux alentours de 22 h 45 , le tortionnaire de garde ou son appareil programmé , s’était énervé, avec des jets de signaux brûlants et piquants sur les pieds et les jambes.
Rien sur la tête. 

A 23 H ++ j’avais choisi le salon pour dormir. Et 3 ou 4 minutes après l’extinction des lumières , un jet fulgurant , brûlant, m’avait atteint le cerveau. Sonnée ! Clouée sur place.  L’appareil ou le tortionnaire ou les deux connaissaient mon lieu de couchage.

Il faut ajouter , qu'aucun des appartements au-dessus du mien , n'est actuellement occupé. Le seul autre résident de l'immeuble , pour cette nuit là , se trouvait au dernier étage, dans la partie opposée à celle que j'occupe.

Dès que possible , j’étais partie en voiture en bord de forêt. 

Les tirs,  étaient alors venus  d’abord du haut ou du ciel ,  et avaient commencé sous 4 à 5 minutes . Ils semblaient de même nature que celui que j’avais subi dans l’appartement avant de le quitter.  
En voiture, ces tirs semblaient  déclencher  un autre appareil  ou le mettre en résonance, car ,   après un ou deux tirs espacés venant du dessus ( voiture sans antenne) ,  il s’agissait d’un véritable  matraquage électronique, faits  de chocs dans la tête,  à quelques secondes d'intervalle, et qui impactaient  la nuque. 

A chaque  premier déplacement de mon véhicule , à plus de minuit, une autre voiture était systématiquement venue en reconnaissance dans ces endroits isolés. 


J’avais du m’éloigner de plusieurs kilomètres, à plus de deux heures du matin,  pour avoir la paix. 

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