Violations de domicile- dégradations- l'énigme
Elles et moi c’est du sérieux. Une relation quasi fusionnelle. On ne s’était pas quittées pendant 5 mois.
On faisait les courses ensemble. On marchait ensemble. On se connectait à internet de même. Et on dormait , à portée de pieds nus l’une des autres , dans le même endroit fermé.
Pendant les nuits en voiture, elle étaient posées devant moi, sur la plage avant du véhicule, pour ne pas les abimer par un positionnement semi-couché déformant , et contraire à la nécessité de pouvoir rester ensuite, droite dans ses bottines .
Dans l’appartement , elles étaient toujours enfermées avec moi, dans une pièce ou l’autre.
Il y a quelques jours , le talon du pied s’était effondré dans la bottine. Cheville tordue.
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Un examen attentif de la chaussure , au retour dans l’appartement , montrait ceci : deux coupures verticales de la semelle. Sans doute au couteau de cuisine, et sinon au cutter. A l’intérieur de la chaussure, la semelle avait été décollée . Elle était enfoncée dans un trou, creusé dans l’épaisseur du talon.
C’était le plus intrigant , compte tenu du temps qu’un violeur de domicile aurait du passer en sus, pour cette manigance de creusement .
Mais l’énigme tenait au fait qu’en 5 mois, les bottines n’avaient jamais été en libre accès pour les gougnafiers locaux.
Il fallait donc penser à une dégradation faite sur les bottines dans le véhicule ou l’appartement . Moi , avec.
Ce qui pouvait indiquer , que je puisse avoir été anesthésiée pendant le temps de la violation.
Cela permettrait aussi ou ainsi , d'expliquer certains réveils dans un état bizarre et que j’attribuais maintenant au seul harcèlement électronique.
Cela permettrait aussi ou ainsi , d'expliquer certains réveils dans un état bizarre et que j’attribuais maintenant au seul harcèlement électronique.
Mais, et sans pouvoir lier les phénomènes, j’avais déjà eu l’occasion de faire état de périodes de quasi coma, dans des appartements fermés et où j’étais restée dans l’impossible de réagir : à Paris X rue des Récollets ( plusieurs jours), à Paris XIV ( plusieurs fois) Fbg St Jacques , dans un cinéma du Bd Montparnasse …..
A Paris XIV, le vol de mon sac à main avec papiers personnels et argent , avait été un vol de nuit. Le sac sera retrouvé , au matin, au moment de partir travailler , sur le siège arrière de la voiture stationnée dans la rue.
Et , ici, dimanche matin , à 1h45 de la nuit , la serrure de ma porte d’entrée avait claqué. Il y avait eu tentative d’intrusion d’une clé. Mais , cette fois, la mienne de clé à l’intérieur , était dans le bon sens : à l’horizontal.
Cette porte d’appartement , ici, a en effet la particularité de s’ouvrir de l’extérieur, serrure fermée, à condition que la clé qui a fermé la serrure à l’intérieur soit à la verticale.
Cette nouvelle dégradation de bottine pourrait donc être liée à un oubli de positionnement de la clé, et de ma part. Cela signerait aussi , une constante de tentatives de violations , et un temps passé considérable pour essayer ,et enfin, trouver le bon moment.
Les dégradations sur les chaussures représentent un point de fixation quasi obsessionnel , des violeurs de domicile/dégradeurs français , allant de Dos-Santos et Lelong ( Paris XIV) à Walti (Paris XV) , en passant par Leblay (Dol de Bretagne).
On trouve trois exemples de dégradations de chaussures sur l’aperçu ci-dessous.
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On peut aussi y ajouter quelques souvenirs retrouvés en cherchant les photos des chaussures .
Toutes ces dégradations avaient été faites lors des violations de domicile sans effraction et que les psychiatres français désignent d'un terme savant . Pour ces médecins accusateurs de victimes et protecteurs de facto (ici) de délinquants et souvent de criminels harceleurs , à la demande de la police, il s'agirait "d'hallucinations" de la victime
Voici donc , de nouveau quelques images d'hallucinations .
hallucination N°1
hallucination n° 2
hallucination N°3
hallucination N°4
hallucination N°5
hallucination N°6
etc, etc.......
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