8 mars 2020 - Des dames magistrates à la COUR SUPRÊME aux Sables d'Olonne - pour mémoire
On peut rappeler rapidement que le harcèlement en réseau est largement nourri de désir de vengeance et basé sur des détournements de qualité et d'outil de travail mis au services d'individus liés dans des regroupements par intérêts et corporatismes divers .
Le texte anglais " the syndicate" traduit par "l' organisation" et qui est le témoignage d'une harceleure , précise que le système judicaire est un des moyens cachés utilisé pour éreinter une cible en parallèle ou complément avec le harcèlement électronique .
Dans certains pays , une Cour Suprême peut aussi jouer un rôle dans la validation d’une procédure de destitution du chef de l’État.
En France, les instances , qui sans porter le nom de Cour Suprême , pourraient être reconnues comme en ayant les attributions sont :
- La Cour de Cassation qui juge de la validité formelle d’une procédure judiciaire
- Le Conseil d' État qui conseille le gouvernement et tranche les litiges relevant des administrations
- Le Conseil Constitutionnel , qui se prononce sur la conformité à la Constitution des lois et règlements qui lui sont soumis.
Que le tribunal de Grande Instance des Sables d’Olonne soit désigné Cour Suprême par Google, pourrait faire penser qu’il s’agit d’un endroit où se prennent des décisions au nom d’un pouvoir absolu et unique, peu soucieux d’impartialité ou d’équité.
C’est sans doute ce que voulait signifier, celui ou celle qui a qualifié le tribunal judiciaire des Sables d’Olonne de COUR SUPRÊME
Ce qui est succinctement rappelé ici, a déjà fait l’objet de billets divers d’indignation sur ce blog.
- une propriétaire sans qualité légale de bailleur m’avait assignée devant ce tribunal judiciaire dit Cour Suprême des Sables d’Olonne
- l’huissier de justice et cette propriétaire avaient fabriqué une fausse Saisie - attribution et produit une fausse comptabilité , pour se servir dans mon compte bancaire, comme cela semble la coutume chez ces faussaires en bande organisée
- la propriétaire , l’huissier de justice, le gestionnaire de bien et l’ avocat de la première , avaient réclamé mon expulsion à toute vitesse .
Cela était destiné à couvrir la turpitude des protagonistes listés ici et qui relevait d’un fonctionnement hors la loi et autoritaire des uns et des autres..
Les actions en justice de ces hors la loi, étaient donc destinées à cacher et faire perdurer le système mis en place par le gestionnaire faussaire d’un groupe bancaire (CM-CIC).
Pour cela , il fallait que ces 4 protagonistes complices gagnent leur procès et fassent capoter toute tentative de réaction de leur cible et dont ils espéraient ne plus entendre parler.
Pour ne plus entendre parler d’une cible , il y a le harcèlement électronique .
Le harcèlement électronique , perdure actuellement encore avec le corse d’à côté,
Le harcèlement électronique constant, à base d’énergie pulsée vers le cerveau, épuise la cible par souffrance et privation de sommeil en continu.
Aucune enquête n’a jamais été faite en France, par les représentants de l’État qui reçoivent les plaintes de torture par énergie pulsée.
Les gendarmes se substituent même à la justice et classent les plaintes ,sans document officiel. Cela est fait en 24h ou quelques jours.
La criminalité par énergie pulsée , mise en action à la base par des corses , et contre des femmes , à un boulevard d’exactions possibles dans toutes les arnaques que cela rend possible , grâce à la protection des représentants de l’État.
Dans le procédure re-racontée ici, les 4 acteurs de cette forfaiture sûrs de leurs appuis politiques n’avaient reculé devant aucun obstacle pour obtenir la soumission du judiciaire à leur volonté.
La Cour Suprême des Sables d’Olonne s’était couchée.
Après s’être fait remplacer localement, comme c’est la coutume, l’avocat de la propriétaire s’était finalement présenté en personne à l’audience.
L’avocat était venu donner sa feuille de route à la juge Catherine BARRAT
En audience publique, l’avocat sûr de lui , avait dit à la juge C. Barrat, d’attendre pour prendre une décision d’expulsion.
L’avocat , fier de son entre-gens, s’était engagé à produire sous quelques jours un ordre d’expulsion venant de la préfecture.
L’ordre d’expulsion avec effet immédiat, était venu quelques jours plus tard de V. NIQUET, le bien nommé .
Le préfet de Vendée en titre étant parti, V. NIQUET avait pris sa place . Sa signature complaisante avait été offerte au groupe de hors la loi, privant la juge C. BARRAT de son boulot de décision impartiale et équitable.
Ainsi, en grand frère attentionné, l’avocat avait soulagé celle qu’il traitait comme sa petite soeur juge, de la responsabilité d’une décision inique . Mais qui le restait.!
La deuxième partie de ce procès portait sur la Saisie-Attribution , que je contestais.
Fort de sa relation d’autorité privilégiée avec la juge Catherine BARRAT, l’avocat avait fait simple :
« elle peut payer « avait-il déclarer en me désignant , et donnant l’ordre déguisé à C. Barrat d’accepter la saisie attribution .
« elle « ne valait pas sa civilité
Et Catherine BARRAT , obéissante à son grand frère avocat, ,
- avait recopié le faux document comptable et
- décidé que le tribunal n’était pas là pour le vérifier et
- décidé que la cible serait condamner à se faire délester de son argent au profit de l’huissier de justice
Cette histoire s’était poursuivie par 3 plaintes distinctes au procureur de la république ( je ne connaissais pas alors la Cour Suprême) puis transformées en plaintes avec CPC devant un juge
- escroquerie au jugement contre la propriétaire
- faux et usage de faux contre le gestionnaire de bien
- escroquerie en bande organisée contre l’huissier de justice
Les fondements juridiques et les demandes de condamnations étant distinctes, j’avais demandé que les plaintes soient disjointes.
La juge semblait avoir accepté .
Sur la base d’un détail annexe dans la plainte d’escroquerie au jugement , la juge d'instruction cornaquée ,par la chèfe suprême de la Cour Suprême aux Sables d’Olonne avait décidé d’un classement de cette plainte contre la propriétaire
Par le fait de la jonction des 3 plaintes, la chèfe suprême de la Cour Suprême aux Sables d’Olonne s’était débarrassée des 3 plaintes d’un coup... mais sans aucune Requête préalable de Refus d'Informer , transmise à la plaignante , comme c'est habituel.
Alors quand un article d’Ouest France du 30-1- 2019 nous relatait qu’ En ce qui concerne le pénal, le parquet des Sables a connu « une augmentation de plus de 6 % des affaires nouvelles » et le taux de réponse pénale « est toujours élevé avec plus de 94 % ». La procureure souligne l’efficacité des services d’enquêtes.
On se doutait que le taux de réponse pénal « élevé » est obtenue par des décisions suprêmes de classement sans suite.
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