Harcèlement en réseau et HARCÈLEMENT ADMINISTRATIF en France
http://lezarceleurs.blogspot.com/2016/05/gang-stalking-les-reseaux-de-la-haine.html
Le harcèlement administratif est une composante du harcèlement en réseau et très prégnant dans la société française. Le mot « administratif » ne se limite pas seulement au domaine de la fonction publique . Il indique plus généralement un comportement de nuisance intentionnelle relevant du tertiaire et sans que le participant sournoisement actif et nocif , ait une raison personnelle qui puisse expliquer sa détermination à nuire à une cible devenue commune à son groupe.
Le harcèlement administratif qui s’attaque à une cible à démolir au prétexte de la punir , de l’humilier , de la soumettre , et surtout de lui causer du tort, fonctionne sur la base des méthodes de mutualisation de vengeances et de représailles. En ce sens , ce type de harcèlement est souvent corporatiste ou associatif , et procède tout aussi souvent à partir des fameuses listes noires réelles ou officieuses qui circulent sans limitation de kilomètres.
Ainsi, une cible d’une corporation ou association quelconque à Lille, pourra aussi être ciblée par des individus de la même corporation ou association , ou encore par des individus d’un groupe aux activités connexes, à Aix en Provence ou ailleurs .
Des actes et situations de nuisance intentionnelle active et cachée, donneront ainsi à la cible une impression de malheur , de « pas de chance « ou de « mauvaise étoile à la naissance « mais qui ne sera en fait, et sans qu’elle s’en doute pendant longtemps , que des manigances vicieuses , perfides ou perverses.
Une des tristement célèbres listes noires de harcèlement administratif illustrée par « le mur des cons » avait montré et dévoilé l’organisation moqueuse et hargneuse d’un groupe d’ »infaillibles « censés représentés l’impartialité et l’équité , au nom de l’Etat et de la loi.
Il est reconnu dangereux, de montrer ou dénoncer la turpitude de quelques « infaillibles » qui confondent leur intime conviction avec le droit, et travestissent les intérêts de leurs amis ou leurs propres désirs de domination, en décision irrévocables et couteuses .
Cela n’empêche pas de s’y coller.
Cette jeune dame juge , dont la photo trône sur internet, à de belles dents.
Avec un CV prometteur, elle aligne quatre ans de boite en tant que juge, une expérience fabuleuse en juge placée , et cinq ans comme adhérente à l’association des jeunes magistrats dont elle a pris la présidence en 2018.
Elle y était déjà, comme auditrice de justice.
https://vimeo.com/324164126
La vidéo de présentation de l’association des jeunes magistrats , faite par Madame Bernachot à la Cour de Cassation, nous apprend qu’elle ( l’association) compte 450 adhérents.
Elle confirme par ailleurs l’hyper-féminisation du métier.
D’ un sondage fait sur moins de 1/10° des adhérents , Madame Bernachot tire des statistiques sur cette hyper-féminisation et connue dans la magistrature.
Rien, sur les origines sociales des dites magistrates aux études salariées par les contribuables . Combien de filles de cordonniers ? de B.O.F ? d’agriculteurs ?….. Hors sujet, ou sans intérêt, sans doute.
Madame Bernachot m’avait convoquée fin 2019, pour une audition à 10h du matin, sur une plainte datant de 2016 et ignorée en 2014. Déjà.
Avec 400 kms à couvrir et pour être à l’heure, j’étais venue la veille. Mais pour me protéger des CEM de ce quartier de Paris, j’avais passé la nuit dans ma voiture , au 2ème sous-sol de l’hôtel : ce qui avait effrayé des diplomates/autres clients de l’hôtel , essayant de se garer près de mon véhicule. Ils avaient été ailleurs.
Dans la très grande salle d’audition utilisée par la magistrale , le siège qui m’était destiné se trouvait au milieu de la pièce. Je l’avais légèrement bougé.
« RECULEZ »
m’avait ordonné la magistrate, faisant sursauter la greffiere , qui elle, connait peut-être l’expression « Je vais vous demander de reculer «
Mais , il faut se souvenir qu'à la minute 4,52 de la vidéo, la jeune juge mentionne "l'autorité naturelle" des magistrats.
On perçoit ici, la confusion naturelle qui peut exister dans son esprit, entre impolitesse, brutalité et autorité .
Cela dit, 5 ou 6 mètres et un large bureau nous séparaient , la magistrate et moi . Sans compter que je venais de passer avec succès le test de la fouille anti-terroriste au rez-de-chaussée .
Là, sur ce siège à la bonne distance, j’avais appris que ma plainte avait été exhumée par la volonté de la magistrate.
Ce qui me faisait, à ce stade, hésiter entre quelqu’un qui reconnait mes droits bafoués ou quelqu’un décidé à me couler.
Et, la magistrate avait également mis la main sur une autre plainte de la même époque (2016) , et non traitée , mais, à l’origine, confiée à une de ses collègues.
Sans m’avoir préalablement avertie, elle proposait de s’en occuper maintenant. Etais-je d’accord ? .... , Devant une telle apparente bonne volonté de faire avancer le smilblick, difficile de faire autrement qu'accepter
J’avais accepté et signé. Sans préparation. Sans mon dossier sous les yeux.
Et l’affaire avait été réglée fissa par la juge, déclarant à l’aide d’un article de loi qui, vu le contexte , ne s’appliquait pas ici, que la plainte était sans fondement.
La magistrate évoquait "le secret partagé" dans un dossier sans secret, sans partage, parce que sans traitement.
Ouille .
Retour donc à l’objet de cette convocation, et à la traduction façon charabia de ce que j’exprimais et qui était destinée au procès-verbal de cette audition que je serai, bien sûr contrainte de ratifier.
Cette méthode est également largement utilisée par certains policiers et gendarmes et sert à prouver que la plaignante est confuse.
Puis tout d’un coup, la magistrate s’était levée et avait quitté le bureau de l’audition. Sans explication.
A son retour, devenue encore plus péremptoire, elle avait constaté « finalement vous n’avez rien à ajouter sur ce que vous avez écrit ».
Effectivement. Mais, si et quand , un professionnel et accusé, piétine la loi qui régit son métier et qui encadre ses décisions, on dit qu’il commet une infraction.
Si cette infraction porte préjudice à la plaignante , au pénal, l’accusé est passible de sanctions. La réalité des faits, prouvée par des écrits, est d’habitude une preuve suffisante et qui ne nécessite pas une accumulation de faits annexes. La quantité ne fait pas la qualité.
Alors , pour finir, cette jeune dame et jeune juge, avait posé la question qui tue. « qu’attendez-vous de cette plainte » Ma réponse « beaucoup « assortie de quelques précisions l’avait fait sourire.
La sienne de réponse, ressemblait à la chute du couperet d’un échafaud « j’ai un an pour décider ». Et cela fait déjà six mois qu'elle ne le fait pas.
Pourtant, l’accusé n’ayant pas été mis en examen, on sait que cela signifie un classement sans suite ..... mais différé d’un an.
Une demande de l’entier dossier pénal s’était soldée par une demande d' engagement de la plaignante ( moi) , par la juge , à ne pas diffuser les pièces du dossier.
Avec à la clé, une amende maousse pour la contrevenante ( toujours moi).
Mais … à ce dossier finalement reçu, manquait , justement , le procès-verbal de l’audition. Il avait été re-demandé. Jamais envoyé.
Diverses demandes pour connaitre la suite donnée à cette plainte auditionnée, étaient restées sans effet. La juge trop occupée, par ses interventions un peu partout à expliquer la bienveillance de la justice à des ados ( voir sur internet), en ne concluant pas ce dossier , évitait ainsi à la plaignante ( encore moi) la constitution d'un dossier d'appel, avec un risque de transfert en Cour de Cassation , puis éventuellement à la CEDH .
Une plaignante , cible de harcèlement en réseau , à la réputation sauf célébrité personnelle, d'être UNE NON-PERSONNE. Quelqu'un dont dont les droits constitutionnels sont niés, dont les dossiers de plainte sont systématiquement vidés ou contrés. C'est ce qu'on m'avait seriné pendant plusieurs décades.
Mais, il faut pour cela, en face , des volontaires .
Je venais d'en rencontrer une nouvelle.
https://lesharceleurs.wordpress.com/2014/03/08/lorganisation-2/
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